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Show ANATOMIE PATHOLOGlQUE GÉNÉRALE. 305 éreux pend,ante des dépôts , canc des os est tout à fait .indé _ . , l'autopsie, en ouvrant le crâne. Cette fragilité em atrem 0Pdlû contenus dans les cav1tes vrscerales sont secondaires. Les organes parenchymateux accidentelle, point sur lequel ……5 exsangues, à moins d'être le siège d'une hypérémie inflammatoire mollesse, d'une petitesse et d'une flaccidité remarreviendrons plus loin. Le cœur est très souv ent d'une nale à l'autopsre, sans que, pendant quables. Il n'est pas rare, e nfin, de trouver une pneumonie termi aires dans la cav1té thoracique aientpu la vie, on ait pu la reconnaitre, et sans que des dépôts second lamotiver. s de l'organe cancéreux. " est impos- Jetons a présent un coup d'oeil sur les altérations non cancéreuse de constant que la disparition des tissus organiques àla sible de formuler une règle générale. Il n'y a reste de l'organe, il peut avoir conservé en grande place même que le cancer occupe, mais quant au , augmenté de volume et être vraiment hypertrophié partie ses qualités naturelles, il peut avoir no tablement inflammation exsudative ou d'un épanou être raréfié et atrophié, être le siège d'une byp érémie, d'une chement hémorrhagique à divers degrés d'intensité. tions secondaires. Dans le Nous allons citer quelques exemples pour montrer la variété de ces altéra ngé, qu'il ne reste qu'une partie du corps; d'autres fois cancer de l'utérus, le col est souvent tellement ro nt infiltré de matière encépbaloïde, et offre en tous sens le don ble et le triple de ses il est généraleme surface interne, d'un dimensions normales; sa cavité, alors, est notablement élargie et recouverte, à sa est encore conservée. Le tissu de l'utérus, lllUCO-pUS d'origine inflammatoire lorsque la muqueuse utérine dans Beaucoup d'endroits, a complètement disparu; là où il persiste, il est mou et friable. Deux fois nous avons noté l'existence d'abcès multiples dans l'utérus cancéreux, et une fois ces abcès renfermaient de cancéreuse ratatinée ou nombreux filaires. Dans le cancer des ovaires, nous avons trouvé la partie non auteurs qui atteinte au contraire d'une hypertrophie spongieuse, et comme caverueuse; de plus, tous les le. ont observé le cancer des ovaires ont noté sa complication avec un développement kysteux considérab Dans le cancer du sein, nous avons été frappé de la disparition totale du tissu glandulaire, partout où tantôt une le moindre grité de l'« que, lorsq un ramolli ments sert une ménir Dans le termine p disparaiss normales phlegmasi Dans 14 encore at d'une intl la structu gnon, pr( tunique [ on rence presque | essentiel] térations Un des atteint, (] cancer es le cancer était déposé, et dans son voisinage le reste de la mamelle avait la tendance la plus prononcéeà s'atrophier. Les conduits galactopbores seuls résistent. nent les « Des kystes se rencontrent quelquefois au milieu du tissu encéphaloïde. Nous y avons plusieurs fois du périto souvent a trouvé une infiltration ou une collection purulente, et dans des cas plus rares, des concrétions d'appa- rence ostéoïde, mais non formées de vrai tissu osseux. Dans le sarcocèle, on cherche quelquefois vaine- ment les traces du testicule, et d'autres fois on le rencontre à la surface de la tumeur, presque intact et accusant encore fort bien, au microscope, ses conduits séminifères ; mais on n'y observe point, dans ce cas, de travail hypertrophique. Dans le tube digestif, le cancer, un peu avancé, provoque ordinairement un travail inflammatoire dans la muqueuse ambiante, qui favorise l'ulcération ; en outre, un rétrécissement plus ou moins notable, et au-devant de ce rétrécissement, une dilatation avec hypertrophie des tuniques portant essentiellement sur la tunique musculaire. Cependant, dans le cancer de l'estomac, nous trouvons la cavité de cet organe quelquefois extrêmement diminuée. Les portions situées au-dessous d'un rétrécissement dans le tube digestif sont ordinairement atrophiées. La distension au-dessus et le travail ulcéreux_au niveau de ces cancers engendrent ces communications anormales, que nous décrirons avec beaucoup de détails dans les chapitres spéciaux. Le cancer du foie provor:1uc une augmentation notable du volume de cet organe, qui remplit quelquef0l5 la cavité abdominale presque en entier; cependant, dans un cinquième de nos observations, cet eng0rgement a manqué, et plusieurs fois le volume était au-dessous du volume normal. Lorsque le cancer et les mn en proch sa face p aux épipl dairemer les plus a l'œsopha tant dans en ce ser elles doit dans leq l'entoure Parmi diverses Siege dans la vésicule du [le], la formation des calculs biliaires est constante. Que le foie soit augmenté terons dt de volume ou non, son tissu est toujours mou et friable. dans les Le perttorne cancéreux subit rarement un épaississement notable et étendu; le cancer y a, par COHW, presque toujours pour conséquence, une affection inflammatoire de cette membrane séreuse, des épanchements sereux ou purulents, des abcès circonscrits, etc. Dans le cancer cutané, on constate quelquef01s une hypertroplne des glandules et des papilles autour des dépôts cancéreux, et un Observateur peu frappé d digestifs la phleg mort du ;îÏîïîäfi;ë :î0:îeaïîïglïîîêrle à une tumeur mixte. Dans le cancer des os, nous observons tantôt une pultacée ‘YPef05t059, Surtout lorsque le cancer siège dans le voisinage du périoste, étMeme ‘ -A fReâcf_, ANA .. aæx.æ;..æ…-__, __ |