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Show ANATOMIE PATHOLOGIQUE GÉNÉRALE. 226 v " n'v observe p"" itive ilitiques, nous y voyons bien plutôt une altération nutr Quant aux périostoses et aux exostoses syph exister tertiaire, qu'un travail inflammawire qui peut spéciale produite sous l'influence de la syphilis tout Spéc…| l'altération fondamentale. il y a meme un siege comme complication. mais qui n'en est point VV" , . . . , mala ires et le maxillaire inférieur, sont le Siège de prédilection pour ces caslà. La voûte crânienne, les os le tronc; le cnbitus et la partie inférieure du radins, po…- po ur la tête; la clavicule et le sternum, pour res inférieurs. Dans c es maladies, un blastème fibro- les membres supérieurs, et le tibia pour les memb flammer ou s'abcéder, mais qui, ordinairement, plastique ou fibreux est d'abord dépose, qui peut s'en us étendue et peut atteindre la densité éburnée; à mesure devient le siégc d'une ossification de plus en pl . et . constituent provoque nt moins de douleurs locales que la dureté devient plus grande, ces tumeurs 1'iodure de mal adie que le produit d'un agent pathogénique encore actif. Anss1 , . 1 x - / AMM plutôt des résidus de al‘. "".A Ar‘\A ñ‘ _‘_,‘ ‘ même une Couche " . ( . le dures et plus compactes. potassium a-t-il d'autant moins de prise sur les exostoses qu'elles sont plus s lesquelles l'origine cartilagineuse a pu être nettement Parmi les cas d'exostoses non sypbilitiques dan Dubourg (l). Il s'agissait d'une tumeur du sinus démontrée, nous citerons un fait curieux rapporté par M. d'un oeuf, et offrant asa surface im maxillaire attachée à sa paroi par un pédicule, présentantr le' volume _ . . / 1 _ 1 . , . . . . du tissu osseux disposé mrcuaspect cartilagineux, tandis que l'mter1eu1 de la tumeur etant f01me par , lairement. l'ossification fibreuse jouait un rôle important dans beaucoup de tumeurs osseuses; que haut J'ai dit plus j'en citerai quelques exemples. Une tumeur fibro-plastique du maxillaire supérieur était héflssée d'aiguilles osseuses, longues, minces, très nombreuses. J'aipu suivre tous les passages entre ces aiguilles osseuses, et de simples houppes ou papilles fibrenses qui ressemblaith à du tissu podopbylleux du pied du cheval. A l'occasion des tumeurs fibreuses, j'ai cité le cas d'une tumeur énorme de l'humérus dans laquelle cet os s'était, pour ainsi dire, éparpillé; on n'y voyait d'autres éléments que des tissus Dafl5 les 051é0p'Ï) resp ondante du crar Quant aux mal0lfe- clusioflfi voici les °°" une Pf°d"C"on 0556 lus grande que les dure-mère) {19 P":‘5 particulier, au m0ln Les osté0th tes le principe, le PWll surles côtes qui sont la là une exagémtl que la formation pr quatre phases de de‘ t° fusion intime a\‘€ dontla lame compa fication normale. Je sont propres' Les ostéopbytes d extension et les tom exemples. Le cas da fibreux et des réseaux osseux avec tous les passages intermédiaires. J'ai vu, au musée l)upuytren, une tumeur du bassin qui prenait son point de départ àla face antérieure du sacrum et à la face interne de l'os-des iles. Dans son intérieur, cette tumeur était composée d'un tissu fibreux généralement très riche- ment parsemé de réseaux osseux nettement caractérisés. Je serais disposé à croire qu'en cas pareil, les ostéoplastes se forment par ces corps allongés que Virchow et lioelliker ont décrits dans ces derniers temps dans le tissu connectif, et qu'en outre l'apparence de ces corpuscnles est souvent simulée par de simples lacunes entre les fibres. Si l'on veut décrire les tumeurs osseuses d'après leur disposition exté- rieure, qui correspond souvent à un mode différentiel de formation, nous arrivons avant tout aux formes suivantes : 1" aux ostéophytes plats et superficiels; 2° aux tumeurs osseuses plus circonscrites, d'origine ‘ama connaissance, des deux tiers du til l'intérieur était sp01 tumeurs osseuses, ar J'ai en occasion, ( intracrânienne qui e pement d'une tumeu plus compacte qu'a superficielle et spongieuse ou d'origine plus profonde et de structure plus compacte. Les ostéophytes superficiels peuvent se trouver sur les os des membres et sur ceux du crâne; leur forme est ordinairement celle de lamelles qui peuvent se pédiculiser et affecter des formes variées, toujours plates cependant, et ne tenant aux os qui leur ont donné origine que par une base étroite. Mais la forme la plus curieuse des ostéopbytes plats est celle signalée depuis vingt ans par l'école de 3centimètres de di Vienne, et décrite surtout avec une minutieuse exactitude par M. Ducrest (2) pour les os du crâne, chez du tissu osseux de l : les femmes enceintes. D'après cet auteur, on voit d'abord quelques impressions cérébrales de la voûte crânienne devenir plus rouges et se recouvrir d'une pulpe molle. Le premier degré a été rencontré surtout aux parties anté- rieures et sur les côtés du frontal (8 fois sur 48}, et bien plus rarement (5 fois seulement) sur les parié- racines. Ces colonne l'exostose. Dans les très rapprochées; d; interne, les réseaux gieux, qui prenaient Les tumeurs osset face, et se développ4 taux; elles étaient ordinairement symétriques des deux côtés. Les plaques, d'abord isolées, bientôt se de la forme de lenti les sinus frontaux et réunissent en s'élargissant, et s'étendent ainsi en arrière, en ell'açant en même temps la ligne médiane. Ces ostéophytes n'acquièrent guère une grande épaisseur, ne dépassant point 4 millimètres, et vont en maxillaire, on les voi Société de chirurgie [ s'amincissant, en mêmetemps que leur consistance augmente. Je n'ai pas pu bien savoir. d'après la des- par une multitude d cription de M. Dncrest, si cette consistance était celle du cartilage ou celle du tissu fibreux. Bientôt les pomts durs y apparaissent, l'ossilication y devient complète; le poli n'en est cependant point altéré, et (l) Iiutlcfrîns {le la, Société auatonu‘quu, 1828, p. 2. (2) Mémoires de la Société médicale d'observation de Paris, t. II, p. 318 à li32. disposé par couches notablement élargi. ! …" des tumeurs se dét été mises à au par u (l) .lléiuoires de lu Soro! |