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Show ANATOMIE PATIIOLÛGlQUE SPÉCIALE. A'AA RAA-- "MMMMM tas un usage trop etendu, par exemple, des tenir à l'abri de tout systè me préconçu, de ne pas faire dont brusquement ] es habitudes‘ antérieures du malade, de méthodes affaiblissantes, de ne pas changer trop valvules par des considérations tr0p ne pas prescrire l'emploi de l a digitale dans les maladies graves des er la méthode sédative, et qu'il conthéoriques. Il ne suffit pas enfin que le médecin sache bien appliqu des ; naisse a fond la valeur du remède cardiaque par excellence, de la digitale; il faut qu'il connaisse aussi miet ne doit pas se homer les indications des moyens excitants et de la médication tonique. L'hygiène, enfin, mar parc n'es malade, autant que ses à régler avec détail le régime; elle doit comprendre aussi toute la conduite du médecine. conseils sont conciliables avec les prescriptions de la plus le viennent L'anatomie, la pathologie et la thérapeutique forment donc la triple base sur laquel principes est d'une n s'appuyer la pathologie rationnelle et une saine pratique, et l'applicatio de ces up démonstration plus facile encore pour les affections qui nous occupent en ce moment que pour beauco care d'autres parties du système nosographique. Nous diviserons cette section en trois chapitres : 1° Maladies de l'enveloppe du cœur, du péricarde; 2° maladies de la substance du cœur; 3° affections localisées dans les cavités cardiaques, et surtout sur les replis valvulaires. sur* indi pue det un pli( CHAPITRE PREMIER. diff MALADIES DU PÉRIC.\RDE. aus Nous passerons très rapidement sur les affections congénitales du péricarde, car elles sont plutôt du cli1 domaine de la tératologie, et, en thèse générale, nous ne parlerons des affections congénitales avec ent quelque développement qu'autant qu'elles intéressent la médecine pratique. L'absence du péricarde est une affection des plus rares, et bien souvent, dans les autopsies de sujets prétendus anormaux, un examen superficiel pourrait faire croire à son absence, tandis qu'un examen dif attentif le fait reconnaître. Quelquefois une cavité commune peut renfermer le poumon gauche et le coeur, mais alors encore on retrouve des rudiments du péricarde a l'origine des gros vaisseaux. Dans les monstres doubles, un seul péricarde renferme parfois deux cœurs; cependant, ici encore, une dis- section minutieusc est nécessaire pour ne pas confondre la fusion de deux péricardes avec une seule et unique enveloppe. On a aussi observé quelquefois de véritables diverliculums péricardiques qui, d'après Rokitansky, se forment comme de véritables hernies, le feuillet séreux faisant saillie à travers des érail- lures des libres du feuillet fibreux; la communication avec le péricarde a lieu alors par une ouverture étroite, une espèce de collet ou un canal. Il est rare de trouver la quantité du liquide renfermé dans le péricarde notablement au-dessous de au l'état normal; nous avons rencontré cette disposition dans des cas dans lesquels il y avait une forte VU déperdition séreuse, et notamment dans le choléra épidémique. Bien plus souvent on observe une augmentation d'exhalation séreuse dont nous parlerons plus loin à l'occasion de l'hydropéricarde. Une simple augmentation d'exhalation, ne dépassant pas 60 a 100 grammes d'un liquide séreux et transpa- rent, s'observe dans beaucoup de maladies du coeur et des organes de la respiration après une certaine gène circulatoire. Cet état est fréquent aussi dans les affections cachectiques et chez les malades qui succombent a une maladie tuberculeuse ou cancéreuse. Une exhalation plus abondante, véritable hydropéricarde, s'observe dans les diverses espèces d'hydropisies générales, par suite d'une maladie du cœur, du foie, des reins, etc. Il est douteux qu'il existe un hydropéricarde essentiel en dehors de toute affection hydropique ou sans inflammationdu péricarde; mais l'hydropéricarde peut avoir SUCCédéà cette phlegmasie sans qu'il reste trace d'hypérémie et d'flsudation fibrineuse. Dans l‘hydropéricarde hydropique, la quantité du liquide peut varier entre 100 et 500 grammes; elle est susceptible d'être beaucoup Plus Considéralfle encore dans l'hydropisie d'origine inflammatoire. ARTICLE anum‘.. - PÊRICARDITE. I 1- ‘ . [\ . r.: . La peucatdttc cla1t (l€_jd connue des anciens, et l'exsudatiou rugueuse et papillaire de la surface du perteardé avait frappe les observateurs de l'antiquité sans qu'ils eussent pu s'en rendre un compte Par" attement'us J tc . >: '.[‘r. ‘n‘-LWXW .u» 4uh..….-….. ., ' ualmn r . ., ld- dutoml « . ' -t l v état du cœur, . v UC "à UltOlb de cer rz/[osum , par laquelle on désignai ca |