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Show devienne impossible d'atteindre le col. ps fibroïdes Nous avons vu que le point de départ fréquent de ces tumeurs était la paroi pt_>stérieure de la matrice; charntr,une aussi le toucher par le rectum est-il toujours nécessaire pour avoir une idée compléte du siege, du rs ambiants, nombre et des rapports de ces tumeurs. Lorsqu'elles fontsaillie darts la cavité du corps (ll/. Col, les malades res éléments éprouvent des douleurs semblables aux coliques ntérines de l'accouchenn:nt, mais bien rarement ces que du tissu enté jusqu'à douleurs cxpulsives réussissent a débarrasser réelletnent la matrice d'une de ces tumeurs. Nous devons au contraire lluguier ont présenté à la Société de chirurgie des pièces qui ont démontré que l'extirpatiou de tumeurs rtion séreuse volumineuses de ce genre au moment de l'accouchernent a seule rendu la délivrance de la femme possible. VIII. -- I'llnrrtlr3 fibroi'tlcs constituant les corps {I'/rangers (103- ,,…,,b,-……- sw'rcuws. mentionner enfin la GOtttpliCation grave que ces tumeurs opposent a l'accouclremcnt. .\Hl. l)an_vau et 't des kystes. 'a-kysteuses. mrtiellement Nous avons en occasion d'observer ces tumeurs dans le péritoine, dans la tuniqttc vaginale chez l'homme, et provoquer à la surface de la plèvre pulmonaire et du péritoine hépatique chez le Cllt val. Plusieurs faits de ce genre mniquée par i'expulsienà ont été décrits dans les Bulletins tlc la Société (littilmnlqræ, et nous attirons surtout l'attention sur les communications faites par M.". Deville {l) et Barth (2). Nous avons déjà dit que nous trouvions tttre grande analogie entre ces corps libres des membranes encore citer séreuses et ceux que l'on rencontre dans les kystes synoviaux du poignet et méme avec les plrlél…litlres. Nous pouvons aller plus loin, et dire que, abstraction faite des tlill'érences fondamentales de structure, le à la Société 3urs fihreuses mode de formation des corps étrangers articulaires rentre cru-mc dans la loi de formation de tous ces celui du col, produits. Vouloir admettre qu'un corps étranger se forme d'emblée comme tin cor ps libre au milieu d'une ires dont on cavité, est non-seulement contraire attv lois physiologiques générales et. a celles dela nutrition en parti- anse, laquelle culier, tnais contraire aussi à l'observation. Qu'il s'agisse d'une membrane séreuse, d'une membrane nde partie de synoviale articulaire, de la membrane sçvnoviale d'une bourse ntt.rqueusc ou de la membrane interne d'une veine ovarique, ces corps étrangers se forment toujours connue une espèce de bottrgeonnement ‘s fibreuses se r la guérison, soit de la membrane interne, soit plutôt, darts la généralité des cas, du tissu sous-sércux. Cette petite grosseur, à mesure qu'elle s'accroît, proérnine davantage dans la cavité libre, se coiffe, pour ainsi dire, de cette membrane, qu'elle a por15sée au devant d'elle, se pédiculise, puis le pédicule s'amincit de plus 'us. A un âge nt; mais elles agent bien au en plus et finit par se rompre, et alors, probablement, le corps étranger ne s'accroît plus, et subit, la plupart du temps. des changements rétrogrades. Nous laisserons de côté, pour le moment, les corps cartilagineux qui se forment dans la synoviale et y constituent les corps étrangers articulaires Nous ne nous arréterons pas davantage aux corps riziformes des kystes synoviaux du poignet. Nous dirons seulement ‘e les époques, en passant, pour y revenir avec détail par la suite, que trous avons eu entre les mains les piéces trés ngestion et de malades" dans le cancer de Se abondante, curieuses décrites par M. Michou (3l, et (lesquelles il résulte que ces corps rizilbrrnes, arant d'étre libres, sont constitués par de véritables végétations provenant de la surface interne des kystes. Nous : cancer. Chez comparerons tout a l'heure entre eux seulement les corps des membranes séreuscs et les pltlébolitlres. 8, et, recueilli tr qu'il existait un trice. Darts Les corps libres des membranes sérenses présentent, chez l'homme, les animaux et dans les diverses cavités dela plèvre, du péritoirre et dela tuttiqtte vaginale, des caractères a peu prés analogues. Leur volume varie entre ceux d'un graitr de clrénevis, d'un petit pois, au commencement de lettr développement, et ne considérables s pre les tumeur dépasse pas généralement la grosseur d'une noix. Cependant nous avons vu présenter a la Société arra- et, défécation, pas celui d'une grosse noisette ou d'un œttl'de tuerie; leur forme est généralement ovoide. Quant it l'etr- bars. L'ltystérie veloppe séreuse, qtti, aprés les avoir entourés, leur sert de pédiculc, on l'observc de préférence darts les tomique une tumeur de ce genre ayant le volume d'une bille de billard: en rno_vcnne, ils ne dépassent petites tumeurs de cette espèce, mais je l'ai vue aussi bien conservée dans des tumeurs déja volutnineuses que… %"ère de , . .|. "les, qu, q… pat‘f0l5 mêmes il) /fltllt'lllla‘ (le //t Socle/(: «rmi/mnqum 1851, p. l"äl ""." tumeurs .<[/)tot‘l!llcx (le la /iltl'/ll,' ordinairemen' thl. (2) litrllcllus (le lu Novi/tr" (l/Ii/lo/l:lt/M‘. 1852. p. 5. Paris. lb‘bl. ln/i'r'lW/r't' ill: l'«/t'rtrrl-luus, (le lvl /'r/ir*//Hl7/trti/‘i, t/ll ["‘»'."/"'v' " '/' ," """"- """" "!" "‘"""""" \. \ les tumeurs ftbreuses, et, dans des cas exceptionnels, cette déviation peut étre telle que, par le toucher, il v.-Jv-:JWfi' l.s -.' l'utérus et le vagin. 'l'outefois faut-il étre prévenu du fait de la fréquence de la déviation de l'utérus par 35 fibro‘r‘des, \ reconnaître les tumeurs abdominales; le toucher vaginal rend compte de celles qui font saillie darts ent presque !‘ .'.' l‘; Y."); ! ‘ .‘a'1 .\n ,. 167 rusidérable, ': DES l‘llOlll'tl'l'lleS l"llîllt)llllfiS E'l' FIBREl'SES ;\tLtlllllfi_\"llil.Llî.\ |