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Show envisageons ces produits mort)…es ivision actuelle des tumeurs, basée DE L'HYPERTROPHIE. ttt TROISIÈME DIVISION. - Ilypertrop/zz‘e d'organes compo.st non glandalairvs. l tlrganw rompactes : centres Ill‘.l‘\‘r'll\î ‘) …"J:lllt'>‘ creux composés de plusieurs tuniques: t‘<rtlt'. utérus. tube digestif, voies urinaires. vesit‘ule du tiel. QUATRIÈME DIVISION. - ][ypvrlrophic des organes glandu/aires. RS. l" tilanrles sanguines : rate, tli_vmus, tliyroide; 2 ‘ glandes llt'llltllllf‘lättthtl‘liltttlllt‘5I poumons: 23 glandes l)"!llt)ltîllltlllt‘iï 'l ‘ glandes sittliiI'i1)zii'é.<: .'>° glandes s«'=lxaw‘es: ti‘ glandes Inuelpares: ,‘.. follicules simples ou l(_\'stes du vol utérin, tl<'s‘ levres, des patt- piéres. des sinus Inaxillaires, des glandes lenticulairi-s du fr.-atom lt", des follicules clos des intestins et du la vessie: Il. glandes airement servir ici de base. Nous nous trouvons un simple accrois. arineu.srs en grappe: l.tllldll‘S, lau*rales, palatilws, \IIl\'o\*agiiiales. glandes de .\li"r_v; (', glandes compos£ves a follicules clos multiple» : :un);dale& glandes de l'<'}t‘l‘; 7" ;.‘lltllllt'5 >alt\‘aitrsï suliiiiigiiale, soit.-'una\illait'e, parotido; 8° glande laer_v- tion 15 n'y constatons qu'une Pl‘0duc male; tl ‘ glandes l:ili-saerlmripares : foie: lt)" glande pancréatique; ll" gland… lll‘lllllitll't‘s: reins: l2‘ glandes spern1ogmws: testicules: lil" glande prostatique: l'i" gland… o\i_'f'nws : ovairrs ; 13" glandes l.u'togviiM: mana-ll:-s tien autrement nombreuse que les est, de sa nature, essentiellement l'économie dans lesquelles il ne se lagineuse au milieu d'une glande. : l'ancienne division des tumeurs tissus normaux %: siège anormal). Itemurths. -- La lecture de notre travail sur l'hypertrophie elandulaire montrera combien ce groupe naturel est étendu et combien il y aura, a ce sujet, de points nouveaux à communiquer. .l'_v ai donné satisfaction a un autre besoin de la science : c'est de cesser d'envisager les tumeurs selon qu'elles sont externes et chirurgicales, ou internes et du domaine dela médecine pr<qwement dite, division aussi irrationnelle que funeste pour les progrès de la science. J'ai préféré prendre pour principe de division les fonctions physiologiques des glandes plutôt que leurstruetare. D'un côté, la première est souventen rap- il et de manifestation locale, ne se port. avec la seconde; d'un autre côté, j'ai voulu éviter des séparations qui auraient été évidemment temple, le cancer et le tubercule. 3rmation sont bien, pour ces tissus, pathologique; mais des caractères factices. Si, par exemple,j'avais pris le caractére de follicules clos et de glandes aeineuses connue principe de division, j'aurais du décrire ensemble les follicules nabothiens de l'utérus et les taunes de la peau. J'aurais dû séparer conq>létement le groupe naturel des glandes mucipares. En un mot, le principe des autres tissus, de même que des anatomique trop absolu n'aurait pas été moins nuisible que la trop Complète négligence de cet ordre de istincts. caractères. êtres parasites du règne animal ou DEUXIEME CLASSE. - l'aonccrmxs monoconoarnns IIÉTÉIIOTOI>IQUES. Irrait encore faire à cette division, PREMIÈRE DIVISION. - I'ro:laclimzspignzmtuires. fmitive. mais seulement comme un DEUXIÈME nmsw.v. - Productions graisseusas. les tumeurs. 'l‘IIOIs‘Ii-AIE n1v1s1o_v. -- Prmlac/Mnrv «"/n'rlm'mz‘r/aes et corilfi'£'$; .'/ """l"'li5 {"S ""‘CTUÜI Œ "" /" I'"… et des membranes muqueuses. QUATI‘JÈME n1v1s10.v. -- I'rodac/[om /i/n‘etis@s‘ «l /ibroïdes. CINQUIÈME DIVISION. - Product/onsfilm)-1dust/ques. SIXIi-JMI: Dl\ISION. - Product/ons (free/Nes. e; à" tissu musculaire: ti" tissu eart1lagumus; SEPTIÈME Dl\'ISION. - I‘roduc/ions car/(lug…cases. HUlTIÈME DIVISION. -- Productions osseuses. Arpavmcc. "seaux -- 6 ° Hits ' membranes b€IetIses, iqueuses; u° toujours être tracées entre l'hypef' ment histologique formant tumeuli NEU\‘IÈME DIVISION. - kystes {_i/ compris les altérations «les bourses saura/aies). DIXIÈME DIVISION. - P0/j")cs : affections hypertroph[ques locales des mmnbranes muqueuses. It'emarques. -- J'ai commencé cette division, dont les coupes laissent bien à désirer, par les tumeurs t"(itiipt)5étfs (l'éléiliéiils pigmentaires qui doivent souvent leur origine a une modification de la matière coloraute du sang, et qui sont formées d'éléments peu susceptibles d'une véritable organisation. venons d'indiquer et celles des pl‘0‘ Si .lfilVillä Youlu diviser ces productions en tissus vasculaires et non vasculaires, j'aurais un placcrles Is indiquons de cette façon, d'une tumeurs cartilagineuses au bas de l'échelle; mais il aurait été parfaitement irrationnel de les séparer des its accidentels, et nous pout0ns "" onsd€5 , d'après les anciennes divisi ioste, l'hypertrophie éléphanttaälll"e tquer d'abord la place que don‘tfll rigine, et de les rattacher enstlllfä | des tumeurs avec laquelle ils 0fÎl‘e"' , '« tion est de donner une egale satl:fac tumeurs osseuses. Je reviens de plus en plus de cette exauération, qui dondue encore toute la physiologie et la pathologie moderne et fait envisager les tissus non vasculaires comme d'un ordre inférieur. (l'est la une erreur semblable a celle qui a régné pendant longtemps en zoologie et qui a fait admettre la divi- sion des animaux inférieurs, parce qu'on croyait quils étaient presquedépourvus d'organes. Le carti- lage, dont l'étude a été si néglieée jusqu'a pré-ent, est devenu, aprés les savantes recherches de MM. Redfern, Vireltou et Broca, une des parties de l'économie qui offre les altérations a la fois les plus variées, les plus importantes et les plus instructives. Les kvstes et les polypes seront bien souvent men- |