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Show ANATOMIE PATHOLOGIQUE SPÉCIALE. 6111 de l'âge) et Le tissu, trés mon, trés cassant, s'écrase avec une grande facilité La déchirure est faite, le tissu résiste médiocrenient et s‘écrase franche. Au sous la pression des doigts. sous la pression. Les parties malades sont humides et fournissent, par la pression ou le grattage, un liquide sanguin ou sérenx sanguin. et des trainées de mum-pus qui sortent évidcnunent des bronches. Par le raclage on déchire facilement la surface, mais les portions ainsi enlevées conservent leurs caractères anatomiques. La congestiondisséminée se développe indifféremmentdarts toutes les parties de l'organe, mais le bord postérieur du lobe intérieur est son siège de prédilection. Le taitest vrai, surtout lorsque la conge5- ……e Elles sont assez sèches et l‘ournissent, a la pressron, une homogène, d'un rouge grisàtre ou grise. j'avais recut mort que _] 4 Le raclage détruit le tissu et n'amène qu'un détritus ronge gris, dans lequel a disparu toute apparence d'organe. lflti"pèdisûilult diSSémlntËU se développe Îïlflllféï‘emltlent dans toutes les parties de l'organe; mais les noyaux volumineux et ceux qui, par leur réunion, forment une surface étendue. siégent de enfants, l'u préférem-e en arrière, aux environs du point de réunion des trois Nous avons anatomique Barthez, Ge Jetons et tion est généraliste Lorsque … congp_;ii…, est g,}.yél-(ll‘xsée' l'organe est plein et |……L lobes du poumon droit, et dans la partie correspondante du poumon gauche. Dans l'ltépatisation généralisée. le poumon est lourd, gros, mais llasque, et rappelle certains cas de compression du poumon compacte, turgescent par un épanchement pleural. L'insulllzttion Modifié toujours plus ou moins les tissus courges… tionnés; elle color-c … ]….» l()ulpg …, pr,\>q|"j ……es le_; D…"… malades. L'air pénètre partout ou presque partout, et rend la «ré. pitation et la légèreté spécifique a la plus grande partie du tissu. L'insuftlaiion ne modifie jamais en rien les tissus hépatisés_ Elle n'a pas d'autre el'l‘rt que de faire disparaitre l'engouement ou la congestion des parties environnantes , et de rendre, s'il est possible. les parties malades plus distinctes et plus tranchées surla n'avons tro Trouville, : vateurs, tel Morgagni, indiquent & rences qui Cette afi coupe. auteurs ou En effet, la dont elle ] , telles qu'on les Pour compléter ce tableau des altérations pulmonaires consécutives à la bronchite l'on a observe surtout aux deux âges extrêmes de la vie, nous ajouterons un dernier mot sur l'état que carnificalion un peu désigné sous le nom de carnisation, et qui, a notre avis, n'est autre chose qu'une suffocant | de passage à la prolongée devenue, par cela même, un peu plus sèche et plus ferme. C'est une espèce pneumonie chronique dont MM. Billiet et Barthez n'ont observé que deux faits. e Dans l'un de ces faits, il s'agit d'un enfant de trois ans et demi qui succomba à une broncho-pneumoni alternative rubéolique. La maladie présenta, au milieu de son cours, une amélioration de peu de durée, et entraîna tue ordin n la mort au trentième jour environ. A l'autopsie, le poumon offrit des noyaux nombreux de congestio partielle, des grains jaunes de bronchite vésiculaire, des grains rouges de cette hépatisation partielle, atteignait que nous supposons être un premier degré de certaines granulations purulenles, une bronchite générale avec dilatation de quelques bronches, une sécrétion abondante de mucus bronchique. De plus, le pourtour antérieur de la base d'un des poumons, dans une étendue de 3 a 4 centimètres, était comme qui comp; décoloré, et sur cette portion, saine d'ailleurs, tranchaient par leur cavité des grattuialions du volume les lobule d'un grain de chènevis, saillante:, non grenues, plongeant au fond de l'eau, dures sous le doigt, résistant R. Prus ( a l'écrasetnent, ne fournissant pas de liquide à la pression, et dont la couleur était d'un gris blanchâtre. pneumoni Chez l'autre enfant, que nous avons trop incomplètement observé, le tissu malade était d'un rose clair, Cette allé à peu prés lisse a la coupe, formé par une réunion de lobule dont les séparations étaient très distinctes; d'un ron; il était solide, dur sous le doigt, et avait complétement résisté a une insufflation énergique. dans les | Parmi les complications que l'on observe dans la bronchite, la brouette-pneumonie, la carnificalion lobulaire, etc., de l'enfance, nous citerons comme assez fréquent l'engouement des glandes bronchiques, coloratior la pleurésie, et l'emphysème pulmonaire vésiculaire en rapport avec l'intensité de la bronchite, mais pesant, d prononcé surtout a la partie antérieure, sur les bords tranchants, tandis que les altérations bronchi- tiques primitives et consécutives s'observent de préférence aux parties postérieure et inférieure. Nous reviendrons plus loin sur le rapport qui existe entre ces deux affections. Comme pendant l'enfance, la broncho-pneumonie est une affection ordinairement secondaire, ou n'y trouve aussi les altérations des carnisatir autres organes que comme part de la maladie ptemiére. rencontn en affect… de la pue Ici eau peu ou pc facile pou l'infiltre. M. Roccz a établie: « La c Chez les vieillards, non-seulement la broncho-pneumonie est fréquente, mais elle domine toutes les semble 51 affections aiguës des voies respiratoires, et la véritable pneumonie lobaire, avec hépatisation, est aussi degré; e bien l'exception chez les vieillards que chez les enfants. Toutefois il ne faudrait pas non plus exagéref cation d' cette proportion. nisation, DePUÎS que je suis médecin-directeur de l'hôpital de Zurich, je suis frappé du fait que, dans cette apOplect localité, la broncho-pneumonie idiopathique, avec des petits foyers disséminés de respiration bronchique cl de bi onchophomc de peu d eteudue, est fréquente a certaines epoqucs chez des 1ndtVldus dans la fleur t‘)» lle/L i . ' .) .‘I ‘ . , . . - - ?) lier/( .‘.. , ouL‘fl‘w.-Ï .. .. |