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Show >v"-" ms les affections bronch o- al, et que les lobule s ainsi :rvateurs admetten le t fait des vésicules pulmonai res, [ MALADIES DES BRONCHES. (ill déprjmees. On trouve a peu près constamment, dans leur voisinage, les signes non douteux de la bronchite et, d apres Garrdner, des bouchons obstruants dans les petites bronches. , Toutefois ces lobules, devenus imperméables arm, jusque-là simplement congestionnés, hypérémiés ii un haut degré, comme me l'a démontré l'examen microscopique, ne restent pas dans cet état dans un grand nombre de cas, et peuvent devenir le siège d'un véritable travail inflammatoire, véritable pneumonie lobula1re 1ntervésiculaire. Je reproduis ici une note que j'ai donnée dans le temps sur ce point à M. Barthez: Lorsqu'on examine des tranches minces de la surface, vues par le. côté interne, on reconnaît très bien les vésicules pulmonaires entourées de réseaux vasculaires très nombreux et montrant, dans leur intérieur, un épithélium pavimenteux infiltré de granules graisseux. On n'y voit … pulmonaire, qui accom- point de produit inflammatoire, qui paraît s'être opéré dans les bronches capillaires et dans le tissu monaires restés affaissés ll l'aller plus loin, décrire ce intervésrcularre. Les premières sont en partie remplies par un muco-pusjaunâtre, montrant des globules purulents à noyaux. Le tissu intervésiculaire estplutôtinfiltré par un sérum granuleux sans globules distincts. …Ë'Ê AAA. ;_ nparaison comm e exagéiËé ons de citer. C'es tainsi que . ! e sous le nom de l'alélectasic _. v=--t.f\,‘ En résumé, cette lésion est une bypérémie vive, avec exsudation séreuse autour des vésicules pulmoecrit avec som cet état, et naires, qui ne paraissent pas malades dans leur intérieur. Nous partageons donc complétement l'avis de MM. Rilliet et Barthez, qu'il y a là quelque chose de plus qu'un simple affaissement avec hypostase passive, et qu'il peut se former un travail congestif, inflammatoire même, qui mérite à la maladie le aAa:\a naissances sur les maladies )de îa;qmparai son si juste ns 0 u aires de le ur ti nom de branche-pneumonie ; seulement, tandis que, dans la pneumonie vraie, l'exsudation se fait essen- nt chez le fœtus avant qu'il tiellement dans les vésicules, dans lesquelles elle offre un mélange de cellules exsudatives, de sang et de matières protéiques, elle est plutôt séreuse et extra-vésiculaire, dépourvue de corpuscules exsudatilè, dans la condensation lobulaire hypérémique. Mais qu'on ne s'imagine pas que des séparations nettes et ns des lobules disséminés, tranchées existent entre cet état d'apparence fœtale et les formes ordinaires de la pneumonie. Nous ‘tie postérieure et dans les reviendrons, du reste, sur ce point. n rouge brun ou violacé, à Avant d'aller plus loin, il faut que nous exposions en quelques mots l'ingénieuse théorie de M. Gairdner 5, avec une coloration bien que les recherches sur l'affaissement des vésicules pulmonaires. La lecture attentive de son travail, ainsi és, et la plèvre correspon- les doigts; celle-ci est lisse, propres que nous av ons faites sur ce sujet nous ont pleinement convaincu de la justesse de ses explià la fois dans un cations, d'après lesquelles un obstacle in écanique, un bouchon exsudatif, déposé aux vésicules correspondantes. certain nombre de petites bronches, fermerait peu à peu à l'air l'accès ; de recherches exactes sur 55 concrétions calcaires que ; peuvent reconnaitre cette et :omplicalion accidentelle, lobules n'y participentpoint. n décrite comme pneumonie cute condensation lobulaire surtout que M. Gairdner fait uel nous tion, point sur leq s taches lectas ie. Ce sont de poumons, tie postérie ure des leur coupe au, est déprimé, e de cas, s un certain nombr ques vési cules tement de quel us entier; pl coupe un 10 bule et s vésicules, fl'aissement de tun lobe. é et au delà de t°" t es et léger emen re. apparent Voici un court résumé de sa théorie : certaine quantité d'air se trouve Lorsqu'une bronche est obstruée dans un point de son étendue, une du poumon. emprisonnée au-dessous de l'o bstacle, dans les petites bronches et les vésicules d'une portion respiratoires? Est-elle augmentée ou Que devient cette quantité d'air sous l'influenc e des mouvements diminuée, ou bien reste-t-elle la même? sur c elle d'expiration, on peut croire que D'après l'idée commune que la force inspiratrice l'emporte sur la puissance comparée des deux mouvements cette quantité d'air doit augmenter. Mais cette opinion et de Mendelssohn ayant démontré respiratoires est radicalement fa usse, les expériences de Hutchinson (l) l'inspiration. Bien plus, dans les efforts de la que l'expiration est d'un tiers env iron plus puissante que pa r tout l'avantage mécanique d'une impulsion sou- toux, cette puissance de l'expiration est augmentée mé. Auss i lorsqu'il existe une bronchite, ce n'est daine et de la force expansive qu'acquiert l'air compri malade. pas l'expiration qui exig e l'emploi de toutes les forces du plus, obst acle bronchique ne peut pas augmenter; bien Donc, la quantité d'air emprisonné derrière un ù l'auscul- l'air s'accumule et dilate les vésicules là 0 elle diminue. En effet, lorsqu'il existe une bronchite, L'air, d'un obstacle, c'est-à-dire au sommet du poumon. tation comme l'autopsie démontrent l'absence l'exis- là où le stéthoscope et le scalpel démontrent au contraire, disparaît, et les vésicules s'affaissent tence de l'obstacle, c'est-à-dire à la base de l'organe. ' dans les bro n "-hes ' urts - ux et les observations de corps étra ngers 1ntrod s sur les anima Les expérience à s'affhisser. tacle bronchique le poumon tend démontrent aussi qu'au-dessous d'un obs d'air emprison né dans struction des bronches, la quantité oh une e exist s'il que, vé prou donc 11 reste nce la faiblesse relative de la puissa cela est dû, en partie d u moins, à les vésicules diminue, et que ‘1 zullÉl‘iEll' ns ce' suje' t publ \" détails sur .A, ais à mesure qu'on s'éloigne inspiratrice. 'Traité de pathologic général"- PMS, 18577 P. 72 (1) Archives de médecine, 1856. - Bouchut, «ÂAÂÀpA.A,,,A l'eau. Leur insufllation est .« ésicules el des lobules |