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Show MALADIES DES BRONCH ES. : qu'à pallier fort peu ce dernier très nombreux et très étendu d ntrer, chez l'homme, nt fréquentes, les traces de pleurésies sèches, réitérées, sont manifestes; mais on observe r arem ent une pleurésie aiguë avec épancheme .it injectée et parfois ialadies tuberculeuses uleux; ces ulcérations ; muqueuses internes, >lutôt un travail ulcè- . Du reste, nous avons souvent ramollie et ltérations. Nous avons 'étendait jusque dans petites ramifications t s'il y a infiltration arties oblitérées. il être la conséquence, Nous avons trouvé une fois le cœur flasque et dilaté, avec amincissement; une fois la veine crurale était le siège d'une thrombose étendue. Les méninges étaient habituellement hypérémiées, et, chose dig ne pitre sur l'emphysème de remarque, dans un tiers des cas, nous avons trouvé les ventr icules cérébraux distendus par du liquide, surtout les latéraux, et les parties centrales du cer veau très molles, vrai hydrocéphale aigu auquel ur ce sujet important. correspondait, pendant la vie, du délire d'abord, puis du coma et une prédominance telle des symptômes 3 mode de production l'on observe dans les . Nous avons occasion quinze cas de phthisie arement, par suite du iellement curables (l). ., rarement un seul, et ses demi-transparentes ; tubercules à tous les aires. Le tissu pulmo- grand nombre sous la amblable à des gouttes , tantôt rapprochés au cérébraux, que ceux du côté des voies respiratoires en étaient tout à fait masqués . Cela nous engage à décrire dans nos cours une forme cérébrale hydrocéphalique de la tuberculisatio n aiguë des po unions, outre les formes typhoïde, catarrhale et latente que nous admettons avec la plupart des auteurs. Deux fois nous avons trouvé la tuberculisation dans les méninges. Un de ces cas était remarquable parle fait que, chez le malade, qui avait succombé à la maladie de Bright, il y avait dans la pie-mèr e et dans le poumon gauche une multitude de granulations tuberculeuses fléti'ié5, non entourées d'hypé- rémie, mais de beaucoup de pigment dans le poumon, preuve pour nous non douteuse que la maladie s'était arrêtée dans sa marche. Chez un emphysémateux nous avons trouvé aussi des tubercules granu- leux nombreux, anciens et guéris, entourés de beaucoup de pigment noir dans les deux poumons, mais surtout dans les parties supérieures. Nous avons observé aussi deux cas dans lesquels la phthisie aiguë intense s'est ralentie dans sa marche au point de faire espérer, dans un des cas surtout, à la possibilité d'une guérison, si les symptômes fournis par l'auscultation ne démontraient pas une tuberculisation dus égale à travers les bservations j'ai même devenue chronique, maisà marche progressive. Toutefois ces faits suffisent pour encourager le prat101en dans sa thérapeutique et lui démontrer que cette maladie, réputée constamment promptement mortelle, . peut s'arrêter ou au moins ralentir sa marche. autres parties. Cepen- Nous avons vu, dans les cas mortels, la durée varier entre douze jours et deux mms; elle a été, en e développent aussi de , lorsqu'il y a ramolhs- :ipalement. he aiguë ordinairement plus rarement par de ont pas rares. J'ai vu s anatomy "C‘-"» cuis (Recherche ' ler, vai'l (it.- \\ "'di ‘ ) . dans le tra 51 em ct do le s M. n de 7 nos élève 7 moyenne, de cinq à six semaines. Nous avons observé les deux tiers de nos cas avant|trcntp ados, un tiers après trente, entre trente et quarante-cinq, une fois même a quarante-septans,ê et i texis e es Î:: Où les sujets étaient d'un âge beaucoup plus avancé. Les hommes, dans nos faits, taiben , un p]e"ue ;}Ois souvent atteints que les femmes. A peu d'exceptions près, nos suyets perm/55.31€… PO uses, nous avons constaté l'influence de l'hérédité. Un de nos malades etait diabétique, et nous connaissons a une certaine "' di q nes. Il. m'a ' peuo ' ' ' ' analogues disseminés ' fait … d'…(res , "‘ qu " .. enfin . paru dans les recueils faits plu51eurs époque on observait un bien plus grand nombre de cas de tubercuhsat1on/aiguî‘eqlu dluscflrand, …"…qu Vie… à 1"appui de celui signalé par M. Leudet, qui, en ‘l851, €" a°ËÏL‘ÊêËËflÂéæP dans les hôpitaux de Paris, pendant que la grippe régnait, que dans L a 0 z-\ ne, et la trachée les sous-muqueuses dans les petites du lobe supérieur d'un poumon bronches . Ordinairemen t la muqueuse de l'arbre respiratoire est gé néralement hypérémiée, elle offre quelquefois des ecchymoses ; nous n'y avons observé qu'une fois une ulcération . tte et au larynx, fait Signalé ‘a l'épiglo par M. Louis. Dans les deux tier s de nos faits , les ganglions broncluques renfermaient des tubercul es. Une fois nous avons trouvé un tubercule sous-muqueux du v olum e d'un petit pois dans l'estomac; une autre fois la muqueuse de cet organe était ramollie dans le grand cul-de-sac; trois fois seul ement nous avons trouvé des tubercule s crus et accompagnés (l'ulcères dans l'int estin grêle , ainsi dans un cinquième des cas. Dans un des cas, la matière tuberculeuse paraissait être déposée dans des glandes solitaires; celles-ci, ainsi que les agminées, étai ent plusieurs fois tuméfi ées. Dans un tiers des cas, les glandes mésentériques renfermaient des tube rcules. La proportion était la même pour le péritoine, mais deux fois seulement la tuberculisation y était v raiment étendue. Les cas de tubercules disséminés dans le foie, les reins et la rate, étaient d'un cinquième à peu près pour chaque. Dans un cas récent, nous avons trouvé les poumons, les plèvres, la glande thyroïde, le péritoine, le foie, la rate, les reins, les glandes bronchiques, mésentériques et lombaires, parsemés de nombreux tubercules, chez une femme âgée de vingt-cinq ans, qui avait succombé à la phthisie pulmonaire dans l'espace de six semaines.? ÂÂÂAFflAAAP'ZAA‘AA " )i‘ésente surtout vers nt abondant. Dans un tiers des cas il y avait des ' tubercules dans les plèvres. Une seule fois nous avons trouvé de nom breuses granulations tu berc uleuses -fi;\ de M. Louis ont, par dépôt tuberculeux s'y |