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Show : hasard des inte rstices est pour constituer une :, élastique, fluctuan te, clquefois du thorax au tion et de toux. Cett e othèses sur sa nature ; ge au pus entraîné par 15 la peau, et qui était ulmonaire cutanée. La que fois que le malade MALADIES DES BRONCHES. 677 II. Les lèvres. - ‘ raï, chez ladulte branes , Sérîuses d'envïo îïetgî surtout, que la tuberculisation se borne aux mem- en divers p0ims des surfaces de}: pIÊVËZZÎ (15 51:55 flsg)uvent elle ‘est consécutive et se montre surtout granulation grise, demi-wan . . quemment a la surface pulmonaire qu'ailleurs. La |. . _ … . spalente, y est souvent le pornt de départ de la lésion tuberculeuse* la granu at1onyaune mrharre, discrète, ou l'infiltration, s'y voient égalementassez fréquemment Le micrbscope y fait v01r les mêmes éléments que partout ailleurs, et il fait reconnaître en outre lestibres de la membra ne séreuse et parfois son épithéliurn %] la surface des tubercules. Bien souvent ces cor s etrangers provoquent autour d'eux un travail phlegmasique qui a pour effet une exsudation pseud£- membraneusc ou un épanchement puriforme. Beaucoup d'observateurs ont cru, dans ces circonstances, q ne les " tubercules ét aient ' la conséquence d'un épanchement pleurétique; cette manière de voir nous parait reposer sur une erreur d'observation. Les petits corps d'apparence tuberculeuse que l'on obser ve àla surface des plèvres lorsqu'il n'y a en q ne sim,p le peuresre l ' ' , ne se montrent en effet, &‘ l'examen microsco ' pique, que comme de simples maturation buccale; le fragments de fausses membr … obturuleur de linge lement dansces cesavec circonst des différen anceînÎo la mah-è"; îtîep:îsuse whercme sciÏ:rrî D f,1croscope de con5iSta , et lorsqu Il est e' nce cr'é'meus traité ("lue par acétrque, lion lacrde 'rer'comr e 'éga_ ‘ . ans des cas rares, dont nous avons vu pour notre compte tion. Dès qu'il cesse de nul son ne sort de sa M. Bouchut me paraît un exemple, la plevre est recouverte de petites granulations du volume d'une grosse tête d'épingle, isolées ou groupées ensemble, demi-transparentes, composées entièrement, dansleur intérieur, d'éléments fibro-plastiques. S'il est bon de bien savoir distinguer le tubercule de la plèvre des autres altérations morbides de onatiou est impossible. ervir pour alimenter le tures rapprochées, plus cette membrane, celui-ci ne constitue cependant pas, à beaucoup près, l'affection la plus importante à verte de suppuration. connaître dans l'étude de la phthisie. Parmi ces autres altérations, il faut surtout tenir compte des ll‘ huit ouvertures. Un rovoquer de toux ni de adhérences entre les poumons et les plèvres, qui sont d'une extrême fréquence, car, sur 102 individus, M. Louis n'a vu qu'une seule fois les deux poumons libres dans toute leur étendue. Bornées rarement à dans le poumon, sans quelques points de la surface, elles recouvrent le plus souvent les deux poumons dans la majeure partie rerne. Toute la douleur de leur étendue, et sont en rapport avec le développement destructif des tubercules pulmonaires. " 95'facile, en les étudiant sur un grand nombre de phthisiques, de reconnaître leur origine pseudo-mem- braneuse. On trouve, en effet, tous les degrés intermédiaires entre une fausse membrane, libre encore, tre fistuleuse. ; et très lentement, si la nes points (observations verue et dans le trajet ilaire, où rien ne peut ; former un emphysème ale et la surface de la mais les choses ne se a publiés, où la fistule la à la fois, a travers sur deux points opposés la trées qu'elles sont par ns, à la marche Et au nte dont :Gption importa rthorax est rare. cinq lée et qui existe sur :s cartilages, consécutive t accident duction de ce p endnnt qui les entoure destrucus dé termine la se!'n de lieu dans le c , qui a eu dépourvue de tous ses caractères physiques, une fausse membrane adhérente et vasculariséc, une fausse membrane notablement amincie, et formant, à la surface des poumons, des expansions lamelleuses de tissu cellulaire richement pourvues de vaisseaux et finalement de simples brides cellulaires d'adhérence. Il faut distinguer de ces pleurésies partielles et souvent multipliées dans le courant de l'affection celles qui sont plus étendues et ont pour effet un épanchement trouble et plus ou moins considérable, survenant, d'après M. Louis, dans un dixième des cas, vers la fin de la maladie. Ce même auteur 3 observé aussi un épanchement de sérosité claire de la valeur d'un litre et au delà, survenant quelquefois très rapidement. On sait que la plèvre s'épaissit souvent considérablement dans la tuberculisation pulmonaire; nous l'avons vue atteindre jusqu'à 2 centimètres d'épaisseur et au delà. il y a alors quelque chose de plus qu'un simple travail phlegmasique, et le tissu cellulaire q… s'est accumulé par suite des changements qui vasculansatron des fausses membranes finit par subir un véritable travail d'hypertrophie. C'est la ces cas, S'est établie dans leur substance qui préside à cette nutrition ex agérée; aussi trouve-t-on, dans recherches . _ de des éléments fibro-plastiques nombreux dans cet épaississement de la plèv re. D'après les Schrœder van der Kolk (l) et de M. Guillot (2), nous savons en outre qu'à mesure que la tubefCUl153ll°" x pulmonaires proprement dits, pulmonaire, par ses progrès, Oblitère un plus grand nombre de vaisseau nt de l'aorte, surtout avec les arteres il s'établit une nouvelle communication avec les vaisseaux provena latoire se fait en partie bronchiques et avec les artères intercostales. Cette dernière 0 ommunication circu de circulation ne plèvre, épaissie et adhérente, qui sert ainsi d'o rgane supplémentaire à travers la ne faut toutefois point charriant une partie du sang que les poumons ne peuvent plus contenir. Il (1) Observatz‘ones analerice-pathologicæ. Amstelod., 1826, iii-8. (2) Expérience, 'l°r volume, p. 5b5. ANAT. pATHOL.--i9‘ LIVR. 470 "AAAAÂPfi. ; muqueuse de nouv elle s'étend plus ou mo ins |