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Show MALADIES DES BRONGHES. ms les divers organe s. icroscope est fort uti le volumineux au début e plus résistante et un vésicules pulmonaires, nt nous ne ferions pas as de petites vésicules s inférieurs, mais don t et des globules du pas ésiculaire peut exister 'autre sont, du reste, capillaires, qui, alors, 4571 d . ,. _ _ . _ . . pro u1ts de ] inflammation, ams1 qu avec les épithéliums, les fibres et la matière colorante du poumon Si, par . C0nSéqu ] ent . , ! on V 0ulait . . . U"er ]. {" de l a n atu l e du lamoiils ‘ l'examen de ces portions ' s€m€flt d , apres ‘ du [15511 pu monaue, ()ll arr1veratt & des COHCIUSiOÏIS fausses; tandis que, chaque fois qu'on aura sous les yeux un ramollissement central isolé, il ser a : . 7 ‘ . ' , de la ma{pèc:èetÎÊelsîqu:;îiqÏc}iaeis, s:1îp:t a laide du microscope, qu'il s'agit d'une altération physique _ , _ , ment d une transformation pur-ulente ni dun travail phlegmasique intérieur. La cavité des tubercules ramollis est irrégulière tandis que, lorsque le tubercule est déposé autour d'une petite bronche restée perméable cette cavité esi , tout à fait régulière. Le ramolhssement de la matière tuberculeuse s'accompagne souvent d'un travail ulcèreux et destruc- teur tout autour, et c'est alors que se forme l'ulcère pulmonaire tuberculeux, la caverne, destruction d'autant plus grande, qu'autour de ces ulcères il se dépose le plus souvent des tubercules crus qui à leur tour, suivent la même marche destructive. Nous avons à examiner, dans les cavernes, leurs parois propres, leur contenu et le tissu pulmonaire qui les entoure. :uleuse, soit grise, soit sée à la fois. C'est dans araît, pour ainsi dire, on arrive à une membrane pyogénique, tantôt plus ou moins complète, tantôt interrompue dans un certain nombre de points par du tissu pulmonaire tuberculeux. Cette membrane est ordinairement très une teinte d'un jaune vasculaire, tomenteuse, ce qui se voit surtout bien sous l'eau. Les vaisseaux forment des réseaux et des asse accélère la marche houppes; les plus fins n'ont guère au-dessous d'un cinquantième de millimètre de largeur. La substance intervasculaire offre une structure fibroïde et granuleuse. Cette membrane tend évidemment à cerner i'ulcère pulmonaire, mais elle le fait rarement d'une manière complète, parce que les éruptions successives de matière tuberculeuse au-dessous d'elle la détruisent souvent en partie. Nous ne l'avons jamais vue manquer complétement dans des cavernes un peu étendues. Dans quelques cas même dans lesquels la tuberculisation s'était arrêtée dans sa marche, la membrane pyogénique revêtait toute la surface interne de la caverne. Qu'elle soit entière ou partielle, elle devient, avec le temps, plus épaisse, plus fibreuse, et it apparaitre la matière 'a ensuite retrouvée par olitliisiques; cependant te, pour mon compte, es doutes sur sa nature : exsudation destinéeà ru dans les poumons, : dépôts successifs de plus étendue, et les tit pois, d'une aveline mélanique est déposée oints indurés du tissu ouge autour des tuber- te crépitant, perméable istes, qui regardent les j'ai dit ailleurs sur ce ‘ l'origine inflammatoire _ue, dans la pneumonie que dans la pneumonie t la pneumonie, et enfin l pulmonaire, sans qu'i f0ls int j'ai pu maintes is- )oumons es t le ramoll n de la avec liquéfactio t ours périphérie, ses cou avec les 'e tuberculeuse 1° Lorsqu'on débarrasse la paroi interne d'une caverne de tout ce qui ne lui adhère pas intimement, prend un aspect fibro-cartilagineux. 2° Le tissu pulmonaire qui entoure les cavernes renferme de la matière tuberculeuse à tous ses divers degrés d'évolution, granulations grises ou jaunes, tubercules infiltrés à l'état de crudité ou à l'état de ramollissement. Lorsqu'une couche mince sépare la caverne de la surface libre du poumon, on y trouve non-seulement les éléments de l'infiltration tuberculeuse et de l'inflammation, mais le plus souvent aussi ceux du tissu fibreux et du tissu fibro-plastique, ce qui donne à cette couche une densité suffisante pour empêcher la perforation dans la majorité des cas. Il est plus rare de trouver autour d'une caverne tuberculeuse étendue une hépatisation rouge étendue ou récente. Quant aux vaisseaux autour des cavernes, il en sera question bientôt. Schrœder van der Kolk a trouvé aussi que les nerfs offraient, près des limites de la caverne, un renflement et une rongeur dus à l'injection du névrilème; un peu plus loin, D'après Rokices ramuscules se perdent dans les tissus indurés et lardacés ou ramollis et diflluents. tansky, dont nous avons confirmé l'observation, il se développe quelquefois de la gangrèiæ autour des cavernes, fait sur lequel nous avons déjà attiré l'attention en parlant de la gangrène pulmonaire. une 3° Le contenu de la caverne présente, dans les couches les plus rapprochées de ses parois, liquide consistance membraneuse, tandis que la matière qui recouvre cette pseudo-membrane est p1Ulôt tantôt l'aspect d'une fausse-membrane dense et gluante. Dans la première de ces couches, qui & de la fibrine coagulée, qui renferme élastique, tantôt un aspect plus gélatiniforme, on trouve les éléments d'etendue. La cone he demi- de nombreux globules de pus. Ces fa usses membranes varient naturellement ts différents : les premiers sont ceux liquide et gluante montre principalement tr ois espèces d'élémen des, des restes de petites liémorrhagœs d'un travail phlegmasique, du muco-pus, des globules pyoï . osé; ce .sont . des t plutôt a u tissu pulmonaire. nécr capillaires, etc. Le second ordre d'éléments appartien des épitliéliums pavimentcux,.cylindi'iques ou v1brahles, paquets de fibres pulmonaires bien conservées, graisseux et cristalloides que l on‘ y rencontre des granules et des globules pigmentaircs; les éléments matiere d'éléments, enfin, appartient a la parfois appartiennent plutôt au pus. L (: troisième ordre y voit on nombre de corpuscules intacts, tuberculeuse altérée; on y reconnaît bien encor e un certain y est en ordinairement la matière tuberculeuse même des grumeaux caséeux de tubercules crus; mais ... .... t.... ,. .. -- t--nt.Al----.ii-o-i p...: .-.li |