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Show ‘ ""-(«+. -.+.'_ ; M. M',‘P-w '{,.Ï,_‘. b me, a l exemp le d'Elliotscn Il la generalr té de ce fait , ce r tre elles au mo yen de tube! 1 ‘ . , I . I ' ' li et, : ou par‘ une dila ' tation 5, ou par une dilata tion am- MALADIES ncs nnorvcnns. ""-"$ . ‘. t ( ' ' . pleérïlqîltslemsupêleaîîïa£îï ï$îâî°ïÿïîflî des recheqehes importantes a'faire, et à examiner si les fibro- mOS"Î'îtîïglat… IÎ,.oulenfin 5 lbs agit d une hypel‘tt‘ophre cellulcuse Simple. Il faut en effet queg le augmenté, au moins dans la dilatation modérée, pour que ces cavités ;}isseîï: epox{rq)ta tique-soit lelpi-(contcnu. Probablement trouvera t-on, p…. des recherches exactes qui (les élaîs 1î'0 83r;ss‘ei [(t3 _len.l_l eren s c e] ament musculaire correspondent aux diverses phases de la maladie: les C " tropbiés dans la dilatation n…déréo. " . ., . - . e ceaux cart! agmeux sont également eparsms et hyP‘"‘* tais lorsqu un lobe pulmonaire, parsemé de cavernes qui commu- ant-étre aussi leurs vésicules ) niquent etltl"0 elle-5 par une trame caverneuse, n'offre plus des cavités bien délimitées, on comprend qu'une :- formes réunies et dans un atrophre mterslrtrellc doit avoir fait place à la nutrition exagérée_ , . . t a une dilatation pouvaient ; bronches aboutissautes sont : l'avons indiqué plus haut. liaire s'atrophie, les conduits elastique, et c'est ainsi que tt une multitude de cavités ns une foule d'endroits. ail progressif de distension; [. étatdu tissu pulmonaire qui entoure les bronches dilatées subit des changements analogues à ceux des parors. Dans les dilatations encore fraîches, consécutives à une inflammation récente, le tissu pulmo- naire est byperémré, non hépatisé, presque normal; seulement, par places et quelquefois autour des "3.0U0165; Il Presente l'état de carnification dont nous avons parlé plus haut. Dans les dilatations cylin- drrques plus etendues, on observe un état semblable; il n'y a qu'une hypérémie du tissu, tous les caractères de la bronchite concomitante, quelquefois simultanément des pneumonies vésiculaires et des condensations lobulaires, soit par hépatisation, soit par carniflcati0n. On saisit ainsi, dans les premières phases de la dilatation des bronches, les liens directs et intimes qui existent entre elle et la bronchite. ée des éléments musculaires 0, et il n'est pas rare qu'il A mesure cependant que la dilatation bronchique prend le dessus, que des ampoules, des cavernes, des cylindres, des chapelets de dilatation se développent, le tissu pulmonaire se condense tout autour; une partie des vésicules disparaît d'abord, après avoir diminué graduellement(l'étendue et de capacité, puis les terminaisons bronchiques et même des bronches d'un ordre plus élevé disparaissent ou ne laissent plus d'autres vestiges que des cordons ramifié5, arborisés, solides, imperméables. La vascularité pulmonaire est réduite en proportion de la disparition des vésicules et des bronches. Dans le tissu pulmonaire condensé on trouve une augmentation du pigment; de la sa teinte d'un gris noirâtre, puis une augmentation du tissu fibreux. Au lieu des réseaux élégants des fibres élastiques, qui circonscrivent les espaces réservés aux vésicules pulmonaires, on ne trouve plus qu'une trame fibreuse, presque homogène, et même cette condensation fibreuse fait place à son tour à la disparition complète par absorption, lorsque les parties dilatées se rapprochent de plus en plus et tendent à former une trame i outre que, dans des cavités caverneuse. Juve alors dans leur intérieur 5 crétacées et pouvant offrir listinguera facilement par la thèse générale, les cavernes ent ainsi devenir tout a fait .t rompuc dans la plévre et a rulent peu épais; comme il Lorsqu'on a examiné avec soin un certain nombre de poumons qui étaient le siège des divers degrés étacés. plus ou moins avancé dela gèrement tuiliéfiéé, couverte es petites vacuoles, la mem- 'ane séreuse. Dans la forme mais sa coloration normale, places, ce dont nos analyses plus rares encore on observe in de la bronchite pseudoaveu travail ulcèreux paraît bronchique equel les parois pulmonaire. eusc est la membrane rnuqu l'avons risé ou violacé. Nous àla' es plis saillant s celluleux reux et 51 avent 6 tre si nomb in grêle. entes (] e l'intest une muqueuse Les. e! peuvent ans le développri favorise alors , *;th' "tt'tfft'tllt' la buc ('/lt'$ _llc'uzoiz'es de et que les de la dilatation des bronches, on peut se convaincre que celle-ci est l'altération dominante, qu'un auteur modifications du tissu pulmonaire ne sont que consécutives. Aussi ne comprenons-nous pas condensation anglais d'un grand mérite, Corrigan, ait pu établir en principe une analogie entre la la dilatation bronchique pulmonaire dans ces circonstances et la cirrhose du foie, et qu'il ait pu envisager du tissu pulmonaire comme consécutive, causée par une espèce de retrait ou une résistance moindre ambiant. ypertrophier en proportion Lorsqu'un seul poumon est le siège d'une dilatation étendue, l'autre peuts'h de l'atrophie du premier. sont les suivantes : Deux Les complications que nous avons rencontrées avec la dilatation pulmonaire récents, une fois plus étendus, bornés fois seulement nous avons trouvé simultanément de s tubercules s: ainsi c'est une complication proporil l'un des sommets, l'autre fois disséminés dans les deux organe . t s quelques ramuscules bronchrques se dilaten tionnellement fort rare, sauf les cas, toutefois, dans lesquel ‘ . a1re. Nous on pulm bien plus fréquemment l'ernphysème autour des dépôts tuberculeux. On rencontre ceux ou il a un degré assez considérable, sans compter l'avons observé dans un cinquième des cas, l'une et d'autre n'a rien d'étonnant lorsqu'on pense que existait à un degré plus prononcé. Ce fait frappe de la la bronchite. On pourrait même être affection sont des effets fréq ucnts du catarrhe et de compte de ce fait qi i'à mesure que des deux affections, si l'on ne tenait coïncidence peu considérable (l'apoUne seule fois j'ai rencontré des foyers la dilatation fait des progrès, les vésicules disparaissent. observations es sont fréquentes. Dans une de mes plexie pulmonaire disséminés. Les adhérences pleural res,' dan sun autre "‘ centrmet rs "' ‘ re te ], qu'elle atteignait plusieu la plev il y avait un épaississement de ‘A",A _ A,;«. _'Ma "flaa "‘"…‘ S t‘lar‘8is alternent alor… ‘ : |