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Aus51 , . .". cell ‘ ; ttldlûdle, dont J ai' observé les premiers cas avec inquiétude, d'après les faits que J'avais recue1 is a arts , s'est-ell e ternnnee ‘ ' constamment : . . . . la guérison ' par chez l'adulte; let seuls cas de « ., I _ . .. .. mort que 'j'ai vus survenir se sont mucontres chez deux adultes atteints de fievre typhmde, et chez deux enfants, 1 un dans le courant (I' une vauole, ] aut… comme complication de la rougeole, et les caractères anatomiques y etaient identiquement les mêmes que ceux décrits par MM. Legendre et Bailly Rilliet … , Barthez, Gairdner, etc. . . . ‘ avant Jetons enfin un ce up (1 ' Œil, de terminer cet exposé, sur la Mouche-pneumonie des vieillards . , . ' + Nous avons dé"l dit (n'ell J‘ 1 e P'L59nlflll de grandes analogies avec celle des enfants; nulle part nous _ r - . . n : avons trouvé ce parallehsme mieux etabh que dans la thèse de notre ami M. le docteur Roccas (i), de 'I !! vateurs, tels que Ba1]lou, Sennert, Rivière, Sydenham, F. Hoffmann, Boerhaave, Van Swieten, Baglivi, Morgagm, Lieiitaud, Huxham, Cullen, Brown, Sarcone, Stoll, Sprengel, Hildenbrand et P. Frank, qui …i,_ "'-A 4 àaag flaaaA,.n iamais en rien les tissus liépa lisès.Elle i- faire disparaitre l'engoue ment oula \‘lt‘flllllfllllt‘î, et de rendre. s'il est . plus distinctes et plus tranchée s surla ‘ ' … Trouvdle, à laquelle nous ferons plusieurs emprunts. Du reste, ce fait avait déjà frappé d'anciens obser- indiquent sous le nom de pneumonie not/za, ou fausse pneumonie, les ressemblances à la fois et les dilf(x_ rences qui existent entre elle et la véritable pneumonie. Cette affection est ordinairement disséminée à travers les deux poumons. C'est pour cela que tous les auteurs ont noté la fréquence comparativement plus grande de la pneumonie double chez les vieillards. la bronchite, telles qu'en les nier mot sur l'état que l'on a En effet, la Mouche-pneumonie est, chez eux, pour le moins aussi fréquente que la pneumonie lobaire, dont elle peut présenter la marche régulière; toutefois elle prend beaucoup plus facilement le caractère : qu'une carniliealion on peu suff0cant et asphyxique, (‘1uelquefois promptement mortel, ou elle peut traîner en longueur, offrir des -t une espèce de passageàla alternatives d'amélioration et d'aggravalion, épuiser les forces du malade et se terminer par la mort, 'aits. nba a une broncho-pneumonie en affectant un caractère analogue ii l'état typhoïde. Tout le monde est d'accord sur la grande mortalité de la pneumonie chez les vieillards, et ceci s'applique bien plus encore a. la broncho-pneumonie, qui i de peu de durée, et entraîna tue ordinairement deux fois sur trois. Nous avons vu «les époques. à la Salpêtrière, où la mortalité »_vaux nombreux de congestion atteignait le chiffre effrayant de 8 sur 10. Ici encore le tissu pulmonaire est condensé, carnifié ou splénz'sé, comme s'exprimait dejà Sareone, e cette hépatisation partielle, lentes, une bronchite générale reus bronchique. De plus, le l !» centimètres, était comme * des granulations du volume , dures sous le doigt, résistant eur était d'un gris blanchâtre. u malade était d'un rose clair, rations étaient très distinctes; qui comparaît ce tissu à. celui de la rate déchirée. Il existe dans ce tissu une congestion manifeste, mais peu ou point d'exsudation dans les vésicules mêmes; aussi l'insufilalion a-t-elle paru à M. Roccas aussi facile pour les vieillards atteints de cette maladie que pour les enfants. Une sér0sité rougeâtre intiltre les lobules ainsi splénisés, et le reste du poumon est aussi abreuvé d'une sérosité plus abondante. R. Prus (2) a rencontré quelquefois des noyaux plus ou moins nombreux d'apoplexie pulmonaire. La pneumonie vésiculaire disséminée est également fréquente chez les vieillards dans cette circonstance. Cette altération occupe ordinairement les bords postérieurs des poumons, qui présentent une coloration d'un rouge foncé, parsemée de taches grisâtres; la coupe est lisse, la consistance molle, les vésicules tensité de la bronchite, mais que les altérations bronchi- Nous ostérieure et inférieure. l' enfance, la Comme pendant altérations des eure aussi les les m… e toutes :, mais elle do tion, est aussi avec hépatisa 7 plus etagêtef .udrait pas non l'infiltre. Le tissu splénisé peut se condenser encore davantage et devenir plus sec, plus dur, plus pesant, d'une couleur rongeâtre uniforme, renfermant des bronches dilatécs et épaissies. C'est là la carnisation du poumon, telle que nous l'avons mentionnée pour les enfants. Voici les différences que M. Boo-cas, qui a été pendant longtemps successivement interne a l'hôpital des Enfants et à la Salpêtrière, a établies pour ces lésions aux deux âges extrêmes de la vie : « La coexistence de l'hépatisatiou dans la branche-pneumome, notée par M. Legendre, Hd ete rencontrée que deux fois; elle est aussi plus commune dans la Vieillesse. Pour M. l‘auvel, la C3FUISHUUÜ , . _' 7 ,. _ ' ' semble se rapprocher davantage de l'apoplex1e pulmonaire, et n'être qu une des phases de son preiiiiei en effet, nous avons trouvela compli- degré; et cette opinion n'a rien que de plausible. Plus d'une fois, ,_ 4 . altérations diverses (engmgement, sple "ation d'8poplexie, et dans ces cas la transition entre toutes ces nisation, carnisation, apoplexie), se faisant d'une maniere tres peu sensible. La présence des noyaux nous parait etre des 3p0plectiques, signalée par B. Prus, et dont nous avons fait mention plus haut, \ e ue, dans cett ‘appé d il fait q on bronclthue inés de respira ti 305 la fleur sd l1ez des individu (1) [Je la brome/m-/uztmuwu‘e. Thé-e, Paris, 4857. &. (2) Recherches sur l'etup/tqsèum pli/Ulml(lù't', cons/(le mumu» mn…» «le mer! Paris, 18u \ ." )-pneunionie, la camificali00 rent des glandes bronchiqueä, . l\ coloration rosée et sa souplesse, et c'est alors que l'on peutconstater l'abondance de la sérosité qui %"M °*RÀAÂÂPF.Ap» dans les lobules splénisés sont affaissées. L'insufflation redonne au tissu, redevenu aéré et crépitant, sa [lation énergique. |