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Show IALE. ANATOMIE PATHOLOGIQUE SPÉC t déprimées. On ances sur les maladies e tout à faitnouvelle dans nos connaiss phas une ce men com e siqu clas ail leur trav juste frappé d'abord de la comparaison si et, d'après Gair 610 oires en général. On a été des bronches et des voies respirat ensations lobulaires de leur tissu, l'état fœtal (1 es poumons et les cond que ces auteurs ont établie entre e comparaison comme exagérée enfants. On a ensu ite combattu cett les z che t ven sou si e erv obs l'on que venons de citer. C'est ainsi que up plus loin que les auteurs que nous et absurde, puis on est allé beauco ns bronchedans les affectio que cette condensation lobulaire, Friedleben (l) n'hésite pas à admettre lobules ainsi les ce de permanence de l'état fœtal, et que pulmonaires de l'enfance, constitue une espè ttent le fait adme Aujourd'hui tous les bons observateurs altérés n'ont jamais servi à la respiration. vésicules pulmonaires, ne sont pas étonnés que l'affaissement des établi par MM. Legendre et Bailly, et onaire, qui accom- ensation et l'hypérémie du tissu pulm qui ne servent plus à la respiration, la cond res restés affaissés ù semblance av ce des lobules pulmonai pagnent cet afiaissement, aient de la res e ce loin, décrir Aussi devons-nous, avant d'aller plus l'époque où la première respiration s'est éta blie. véritable état fœtal. cet état, et mérite d'avoir, le premier, décrit avec soin le ent revi que , (2) zig Leip de Jôrg, a C'est de l'alc'lectasie ription. Cet état a été sign alé sous le nom desc e cett ner s don allon nous que lui ès d'apr c'est des poumons. des lobules congestll‘ cles vésicules et onaire et (le l'all"alsgement 5 Il. -- lle l'atélectasle pulm puhnunaircs. s avant qu'il pulmonaire, tels qu'ils existent chez le fœtu L'affaissement et la condensation du tissu les disséminés, chez quelques enfants, que dans des lobu ait respiré, ne persistent après la naissance, e postérieure et dans les on en rencontre surtout a la parti rarement sur une portion plus étendue; ou violacé, à présentent une coloration d'un rouge brun lobes inférieurs des poumons. Ces lobules ation bien resté complet, plus diffuses, avec une color limites bien tranchées lorsque l'afi‘aissement est espon- Ces lobules sont enfoncés, et la plèvre corr nette, lorsque quelques vésicules ont été dister1dues. celle-ci est lisse, es ne crépite nt point sous les doigts; dante reste lisse et luisante. A la coupe, ces lobul lation est ferme, ils vont au fon d de l'eau. Leur insufi homogène, non granuleuse; leur consistance est igne après leur naissance, mais à mesure qu'on s'élo possible, lorsque les enfants meurent quelques jours rches exactes sur en plus impossible. Il n'existe pas de reche de ce terme, l'insutflation devient de plus ires que Hesse (3) croit que les concrétions calca les changements ultérieurs et tardifs qu'ils subissent. e cette et postérieure des poumons peuvent reconnaîtr l'on observe quelquefois {\ la partie inférieure entelle, et r de ces lobules n'est qu'une complication accid origine. [.‘inflammation qui se développe autou t. une phlegmasie, ces lobules n'y participentpoin Hasse insiste sur le fait que, lors même qu'ilse développe à l'altération décrite comme pneumonie Nous verrons que cette description s'applique en bonne partie envisag er toute condensation lobulaire lobulaire; toutefois on irait beaucoup trop loin si l'on voulait Toutefois ces un haut degré, un grand nom neumonie lobt point à M. Bat on reconnaît ti montrant, dans point de prod intervésiculaire purulents à noy En résumé, naires, qui ne l MM. Rilliet et passive, et qu' nom de brunch tiellement dan matières prota dans la condeu tranchées exis‘ reviendrons, (] Avant d'alle sur l'affaissen Propres que 1: cations, d'ap1 certain nomb1 Voici un cour Lorsqu'une emprisonnée Que devient ( diminuée, ou D'après l'i( cette quantité respiratoires « Gairdner fait surtout que l'expirati des bouchons d'exsudation, point sur le quel nous dériver de l'obstruction des petites bronches par à ceux de l'atélectasie. Ce sont des taches reviendrons plus loin, offre des caractèr es très analogues observe surtout à la partie postérieure des poumons, ou des lobules d'un rouge brun ou violacé, que l'on pulmonaire, à leur niveau, est déprimé, leur coupe et de préférence dans les lobes inférieurs. Le tissu On peut les insuffler dans un certain nombre de cas, est lisse, non grenue, et tombe au fond de l'eau. e d'abord l'affaissement de quelques VÉSÎCUles mais ce caractère est bien loin d'être constant. On observ toux, cette pi et occupe un lobule entier; plus seulement, correspondant à une tache circonscrite, qui bientôt s'é tend et ailaissement des vésicules, tard même les lobules voisins peuvent être condensés, hypérémiés, av ec lobe. au contraire, te"Ce de l'ob vésicules. Ce dernier, que M. dans les poumons comme un simple allaissement des et au delà de tout un présenter une condensation diffuse, étendue, occupant une partie, la moitié t encore , apparentes et légèremen Les intersections lobulaires restent néanmoins, pendant quelque temps daine et de ]; PaS 1'expirati Donc, la q elle diminue, tation comm« Les expéri démontre… ; Il reste do (1) Leber .l/elccluszspalm/mit… (Are/uv ]…- /)/Ij/Sltlf0ÿl$ï'/N? Hull/emule), HSM. fils, renferme tous les détails sur ce Sujet P"…ÎÙ5 antérieu(2) Ihr: lwutnslungr [… (ic/mrcncn. l.cipsig, 1835. Ce travail, fait par M. .liirg rement par son père. (?>) Up. cit., p. 326. Y" ., a . uÂ.æ-f«.‘î .. . ‘ les Vésicules insPit‘atrice. Ü) rl I‘Chives (1. |