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Show nsr.ames nes unoucutts des fragments de fibr es laits le chapitre spécia l ce sont les globules que chats pneninoniques. Ils :hite et dans la pleurésie: >. soit idiopathique, soit , mais d'un vaisseau plus lange avec le mum-pus, de tunle, sans autre melange, tantôt on les trouve mêlés avec des (,trachats d'un jaune clair, opaques, du reste peu globuleux et tendant à la confluence; on y trouve quelquefois des tubes pseudo-membraneux. Dans les crachats sanguinolents. on rencontre beaucoup de globules du sang non altérés, un mucus hyalm tres visqueux, et fort peu de globules du pus. Ces crachats, alors, proviennent plutôt des dernieres ramifications bronchiques, et surtout de leurs terminaisons vésiculaires. Mais dans la seconde espèce, lorsqu'ils sont mélangés avec les produits de la memln‘ane muqueuse bronchique enflammée, on y trouve beaucoup de globules du pus. L'altération de sécrétion est, dans la bronchite, souvent plus importante que les altérations de la membrane muqueuse, qui peuvent presque manquer on étre exiguës, au point que l'on serait tenté, pour e assez uniforme, quel- un certain nombre de cas, de revenir aux idées des anciens sur le catarrhe, en envisageant la viciation sécrétoire comme le phénomène fondamental. sont autre chose que des au premier rang la dilatation des bronches, dont nous donnons la description en citant le passage Parmi les altérations consécutives fréquentes de la bronchite, surtout dans lejeune âge, il faut placer suivant de l'ouvrage de MM. Rilliet et Barthez (l) : même une certaine quan- « Lorsque la maladie est intense, et surtout lorsqu'elle est accompagnée d'une sécrétion abondante, ules épars, soit renfermés 5 cellules (l'épithélium. tn effet de stagnation des une autre lésion, la dilatation des bronches, peut s'ajouter aux précédentes. » Les bronches dilatées sont en général béantcs et font saillie sur la surface incisée du poumon. Elles se présentent là sous la forme de cercles d'un rouge plus ou moins vif, ayant l'aspect d'emportepièce de divers calibres, desquels découle, parla pression, un liquide muco-purulent. L'ineision longitudinale des conduits aériens démontre encore mieux la forme, l'étendue et les apparences diverses de leur dila- tation. En effet, les ciseaux, au lieu de s'accrocher aux parois, suivent avec facilité les petits rameaux les malades expectorent. et arrivent bientôt à la surface pulmonaire; alors, en étendant tout le conduit ouvert dans sa longueur, es. comme sablonneuses, avons parlé plus haut,et tux observateurs, vu qu‘il 3llules végétales, des fais- n tenir, mais celui qui ne lS nos aliments, les pourra sont pas rares. ; il peut arriver alors que e dont nous avons observé aussi bien que dans ceux on rules de pus, en proporti ur donne plutôt la teinte mes cellules et de noyaux t de assez nombreux, ayan n selo nentent en quantité, la mieux (spata recto). Vers ois in…. qui forme quelquef au dans la tchent de la pe s, elquefois continent ont qu ré; ils ne sang frais ou alté enveloppes >bules du pus et aussi épais a en globules de petites rande qua ntité d'ictère, le st compliqüée rt de énérale de la PluPa eS rme de tach tre sous fo _ dans l'expcctorat ion des AAA,A: ( 'ñAAâ: A4 1s la pneumonie et d'un … . .‘ . nréguheres. tln phénomene nous y a frappé. c'estque les lamelles (l'épithélium buceal restaient incolores et ne montraient surtout pas trace d'infiltration jaune biliaire. Dans la broncho-pqeumome tantôt on rencontre des crachats visqueux, demi-transparents, couleur on voit qu'à partir de l'une des premières divisions, la bronche conserve ses dimensions jusque près de la surface du poumon, ou bien vu en augmentant. insensiblement. Parfois la bronche augmente brus- quement de calibre et contraste immédiatement avec celle qui lui a donné naissance. Quelquefois la dilatation ne commence que dans les petites bronches, qui ont alors un accroissement peu considérable, mais bien réel. Nous n'avons pas vu de dilatation fusiforme dans laquelle une bronche se dilatât pour diminuer peu après de calibre, de manière à simuler une caverne. con» Cependant une fois nous avons vu la bronche principale de la languette qui contourne le cœur, de voir sidérablement dilatée et présentant, par places, des rendements très notables. Il est moins rare d'ampoules en approchant les bronches déjà larges augmenter encore de diamètre et former des espèces de la périphérie pulmonaire. » L'augmentation de diamètre peut être très considérable; près de la surface pulmonaire, jusqu'à 1 centimètre 1/2. ainsi nous avons vu des bronches avoir, de la partie postérieure et inférieure » Les bronches que l'on trouve le plus souvent dilatées sont celles Elle 5' étend aussi quelquefois aux lobes des poumons, et la lésion occupe une grande partie du lobe. au contraire, la dilatation est partielle et occupe supérieurs, et est ainsi presque générale. D'autres fois, se correspondante du poumon droit. La, labr0nche la languette qui contourne le coeur ou la partie e le centre de l'appcndtce, et duquel dilate de maniér e à former un canal long et large qui occup Ailleurs, au centre d'un lobe, on trouve s'échappent en tous sens des rameaux qui peuvent être dilates. s, le une bronche et ses rameaux, tout a coup dilaté une portion isolée du reste du tissu, et dans laquel forment comme un noyau de canaux flexueux et enroulés. des de sécrétion toujours abondants et altérés. Dans » Les bronches dilatées contiennent des produits les conduits ainsi malades, qu'un peu de mucus cas très exceptionnels nous n'avons trouvé, dans mmation de la muqueuse y est mandeste. transparent. Souvent, mais non toujours, l'infla ViSqueux et 1853, t. ], p. M$. ('1) Maladies des enfants, 2" edition. Paris, AAA APAAAÀP*' = et montrant une struc- |