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Show …… ANATOMIE l'.\TllOLOC-lt)tllî SPÉCIALE. irrégulières. Un et montrant une strucpetites pellicules ldanchâlres élastiques, renfermant parfois des globules de pus et ne montraier et dans ture libro'ide stratifiée. tie ne sont que des flocons pseudo-membraneux qui, dans la pneumonie Dans la bron la bronchite pseudo»membranease, prennent la forme de tubes ramifiés. 6° La matière tuberculeuse ne s'y trouve ordinairement pas comme telle dans l'expectoration des phthisiques. On y aperçoit par contre, quelquefois, lorsqu'il y a des cavernes, des fragments de fibres pulmonaires. Nous reviendrons sur les détails de l'evpectoration tuberculense dans le chapitre spécial qui lui sera consacré 7° On rencontre les éléments du sang assez fréquemment dans les crachats; ce sont les globules que l'on y voit le plus souvent. C'est a eux qu'est due la teinte !".)Ulllé8 des crachats pneumoniques. lls composent presque en entier les stries rougeâtres de l'expectoration dans la bronchite et dans la pleurésie; ils se trouvent mêlés avec les éléments de la librine, dans la pneumorrhagie, soit idiopathique, soit tuberculeuse; ils indiquent alors que le sang ne provient pas d'un capillaire, mais d'un vaisseau plus volumineux. Les globules du sang, en général, ne sont pas altérés par leur mélange avec le muco-pus, et comme, dans les selles de la dysentérie, ils s'y répandent d'une manière assez uniforme, quel- de tuile, sans a reste peu globu Dans les Ct‘t mucus hyalin ti dernières ramil espèce, lorsqu' v trouve beauc ' L'altération membrane m… un certain non sécrétoire com ques-uns étant cependant souvent collés ensemble. Parmi les all ;… premier ra 8" On trouve bien souvent, dans les crachats, les globules granuleux, qui ne sont autre chose que des cellules d'épithélium ou de pus infiltrés de nombreux granules. suivant de l'or « Lorsque il 9° Il n'est pas rare d'y rencontrer des vésicules graisseuses, et quelquefois même une certaine quantité de graisse. On y trouve de plus des éléments de pigment noir, soit par granules épars, soit renfermés dans des globules particuliers, soit enfin infiltrés sous forme granuleuse, dans les cellules (l'épithélium. 10" Diverses espèces de cristaux, ainsi que des matières minérales amorphes, comme sablonneuses, sont quelquefois distribuées dans le rance-pus bronchique. 110 Il n'est pas rare d'y rencontrer les petits corps vibrioïdes dont nous avons parlé plus haut, et auxquels nous n'attachons pas une grande importance, vu qu'ils ne sont qu'un effet de stagnation des crachats dans les bronches, dans les cavernes ou dans les vases dans lesquels les malades expectorent. Par rapport à ces derniers, nous ne saurions recommander assez d'attention aux observateurs, vu qu'il n'est pas rare d'y rencontrer des restes d'aliments par petits fragments, des cellules végétales, des fais- une autre lési< » Les brome se présentent de divers calil des conduits a tation. En ef‘fe et arrivent bie on voit qu'à } la surface du ceaux musculaires, etc. Le médecin naturaliste saura tout de suite a quoi s'en tenir, mais celui qui ne quement de ( connaît pas bien les principaux éléments microscopiques que l'on rencontre dans nos aliments, les pourra prendre quelquefois pour des productions morbides Des filaments d'algues n'y sont pas rares. 1'2" On sait que les hydatides se rencontrent quelquefois dans les poumons; il peut arriver alors que ces vésicules renfermant des échinocoques soient rendues par l'expectoration, ce dont nous avons observé dilatation ne 1 un exemple. Dans la bronchite lé:ère, on trouve dans les crachats spumeux et grisàtres, aussi bien que dans ceux qui offrent à un plus haut degré une teinte jaune et purulente, de nombreux globales de pus, en proportion directe de la teinte jaune plus ou moins prononcée. L'épithélium abondant leur donne plutôt la teinte grise, il y existe a l'état de feuillets granuleux assez volumineux, a celui de jeunes cellules et de noyaux libres; il n'y a que peu de cellules cylindritptes. Les globules granuleux sont assez nombreux, ayant de 0""",0175 à 0""",02. Dans la bronchite ordinaire, les cellules du pas augmentent en quantité, selon l'intensité de la maladie, et sont encore très mnnbreuses dans les crachats globuleux (spa/a cocta). Vers la fin de la maladie, elles sont remplacées par une quantité prépondérante (l'épithélium. qui forme quelquefois des expansions memln*aueuses analogues aux lamelles (l'épiderme qui se détachent de la peau dans la convalescence des maladies éruptives. Dans la bronchite intense, les crachats sont quelquefois continents, et forment une purée verdàtre, avec quelques stries rouges ou brunes de sang frais ou altéré; ils ne sont presque pas spumeux, et sont a peu près exclusivement composés de globules du pus enveloppés dans un sérum muqueux assez épais. On comprend qu'un muco-pus aussi riche en globules et aussi épais doit être difficilement expeetoré, doit assez facilement obstruer une assez grande quantité de petites bronches, et peut donner lieu a une forte oppression. Lorsque la bronchite est compliquée d'ictère, le mais bien réel diminuer peu » Cependar sidérablemem les bronches « de la périphé » L'augme près de la sur » Les bron des poumons supérieurs, e la languette dilate de mat s'échappent ( une portion i forment com1 » Les bror cas très exc visqueux et t microscope ne fait voir dans les crachats teints en jaune qu'une infiltration générale de la plupart de ses éléments par la matière colorante de la bile, qui, par places, se rencontre sous forme de taches (1) .llaludics (! |