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Show +. -. ‘ «...-« ., .>….4- ncée pour fo rmer véritablemen t Basse (1) dit à ce SUjet qu'à la groupes aggl omérés pouvaient .dehors. . La paroi glan dulaire intimement adhé rente au llssti MALAIHES ne LARYNX ET DE LA rancune. 601 8° Les tubercules du larynx et de la traché e sont, nous l'avons vu, très rares; nous avons cité plus , , _ _ haut de sources derreurs ( , nombreuses | …, qui pouvaient les simuler. Je n'en ai, pour ma part, jamais rene on re, c ] ez ' en 1830- yen -- , omme,- mars ai. trouvé un exemple non douteux dans la dissection du larynx d un smge. ,f…5 visquellX, et leur conduit ."lS norrâtre. Morgag ni ( 2)adéjà - . _ . 9 o Le cancer , . ( _du larynx est_ également une maladie fort "are, surtout lorsqu'on sépare les pseudo- cancers, . , lépithéliûrna, du véritable cancer. Les observ ations de ce genre sont même très douteuses, puisqu elles sont presque toutes antérieures aux recherches microscopiques, et qu'en outre elles n'ont pas mer des tumeur su s r l'épiglotla été rapportées avec les details nécessaires. Ordinairement ce cancer est consécutif à d'autres localisations carcrnomateuses ou a la propagation d'un cancer des parties voisines, soit du pharynx, soit de la partie es ne sont que passag ères et supérieure de l'œ50Phage, qui, assez souvent, perfore le larynx et la trachée. On a bien cité quelques faits de cancer primitif appartenant à Arronsshon, Albers, Trousseau et Belloc, Pitet et Bokitansky. Mais la tteindre jusqu'au volume d'une épithéliales multiples. De tous les faits que nous connaissons, celui qui porte le plus incontestablement le cachet d'une observation rigoureusement exacte est un cas dû à M. Louis (1); il se rapporte à un homme âgé de soixante-huit ans, atteint, depuis six ans, de toux, et depuis cinq ans, d'oppression, de douleurs dus verruqueuses, elles peuvent de prédilection est à la partie au larynx et d'aphonie, avec accès apoplectiformes. A l'autopsie on trouve un emphyséme universel des poumons et une hypertrophie du coeur avec dilatation. Voici la description donnée du larynx : u larynx. On les rencontre sans ans divers auteurs, la maladie « L'épiglotte était un peu déjelée, d'ailleurs saine; immédiatement au-dessous d'elle se trouvait une ': se rapportaient à l'enfance, ce rait une fréquence égale après matière blanche, dure, ferme, difficile à inciser, criant sous le scalpel, brillante, sans structure distincte, se prolongeant à droite entre le cartilage thyroïde et cricoïde, ne dépassant pas supérieurementle niveau, l 9 hommes et fi femmes. Tant et que très peu en arrière, entre le cartilage aryténoïde du côté droit, lequel était transformé en une mais une fois qu'elles sontde rmanents ou passagers. Comme ue un procédé opératoire pour matière semblable à celle qui vient d'être décrite sans être confondue avec elle, entiérement du moins. La masse cancéreuse dont il s'agit repoussait un peu l'épiglotte %] gauche, avait trois quarts de pouce d'épaisseur en arrière, un peu moins en avant, et par conséquent la forme d'un coin dont la grosse extrémité se trouvait dirigée vers la colonne vertébrale. Ramollie, de consistance crémeuse a l'intérieur, elle rétrécissait beaucoup la cavité du larynx à droite, où les cordes vocales étaient détruites; et ce hirurgicale. Il a pratiqué l'opé- rétrécissement était encore augmenté par le développement d'une autre masse cancéreuse, semblable à 'extirpation de la tumeur qua- la première, beaucoup moins volumineuse seulement, et placée sous la corde vocale inférieure gauche, re rendues par l'expectoration. enseignements si utiles sur une "AAA le rapporter, après Rheiner, le "\A/,_\ . plupart d'entre eux ne me paraissent pas offrir toute la certitude désirable en pareille matière. La dix- huitième observation de Trousseau et Belloc elle-même me semble plutôt se rapporter à des tumeurs "«A-aA.» "'CSt que dcpuis peu d'années l'occasion du chapitre général ete tumeurs cartilagineuses ont été rses hydatiques, dontune a d'un lithisie laryngée. ll s'agit iration . de suifocaliom La resp et demià pendant deux mois transpaëmontre deux tumeurs iglotte, et :s au-dessous de l'ép beaucoup à désirer. bablement pu ue l'on aurait pro Ceux du règne animal n'ont point 11° Les parasites du larynx et de la trachée ont peu d'importance. et Otto (5) s par Delormel (5) plus haut, n'ont rien de commun avec les vers été observés, et les hydatides, dont nous avons parlé sous forme de filaments, comme cystiques. Les parasites du règne v égétal se rencontrent quelquefois importance aucune. dans le muguet, propagés de la bouche en petite quantite et sans t. [, p.169). mes de la bacteth 7urdzcn/t d ul}… Laiton, ] aris, 1837, (1) Recherches sur l'mnp/eysèntc des poumons (…!/enzy I. /101. Anatomie, t. ___-_- 151 ANAT. PATROL. -- 18e LlVR. ":. t‘: ‘ ;..': 1 f,*: "_ outefois on a observé aussi des 5 tout à fait circonscrits. C'est aryténoïdien finissait insensiblement %; droite, à la masse cancéreuse qui le remplaçait. La membrane :> muqueuse était pâle, d'une épaisseur et d'une consistance normales dans toute son étendue. Pravaz en cite un 10" Les calculs des ventricules du larynx ontété observés un certain nombre de fois. d'un catarrhe exemple trouvé sur une jeune fille de vingt ans qui, chaque année, présentait les signes par découvrir à la partie lat‘yngé, avec difficulté dans la déglutition, aphonie et grande dyspnée. On finit fort graves, lesquels supérieure de l'épiglotte une petite tumeur circonscrite qui produisait des accidents blanc jaunâtre, très durs, à cessèrent après l'expulsion de deux calculs du volume d'un petit pois, d'un tumeur immobile surface inégale. Toutefois cette observation n'est pas convaincante. L'existence d'une une contradiction; la tumeur de l'épià l'épiglotte, et la guérison par l'expulsion des calculs, renferment l'expulsion des calculs ne pouvait pas glotte ne peut point avoir été le siège de calculs, et d'un autre côté ' . laisse encore .!etrom . '. ' re de ces concr ' . l, l r histOi * géneta ° par la tumeur. bn ' cesser les symptômes produits faire …? t ou physiologique et effet de A:;- .AAà'KQF' ux. A-r«»\ - . _ .€?°e si... RAAA flF.AA…r:. laquelle était déjetée en dedans; cette corde vocale et la supérieure correspondante étaient sans ulcè- ration. D'ailleurs le cartilage thyroïde était sain, le cricoïde ossifié dans toute son étendue, et le muscle |