OCR Text |
Show "' "‘OUVé, dans une circon stance vésmule du fiel renfermait des num-urinaires ét aient dans |… !e-artère, les p|èv l res, le cœur, a muqueuse en grande partie yroïde, qui lu i-même avait subi .térales et postérieur es, de carie : de deux séquestres assez volui clavicule, qui avaitété le siège >sle, ne présentait plu s que des : ulcères que la morv e produit toutes ces maladies. loi comme uactérisliques de la morve. MALADIES Dtï LARYNX'ET lili LA TitAt‘.tiiät‘.. 390 de tumeurs de cet organe. Du reste, nous reviendrons sur tous ces points à l'occasion des produits accidentels du larynx et de la trachée. ; \.- Du la qlilalalinn «ln laryn x rl dr lu lrarlu'-r. La dilatation ordinaire de ces deux organes, qui survie nt avec les progrès de l‘âge et en vertu de l'amincissement atrophique de tous les tissus, ne saur ait guère avoir un intérêt pathologique; mais il y a une autre forme que Rokitansky (l) a décrite le premier, et qui consiste en une hypertrophie avec relâ- chement et dilatation de la paroi dela trachée, avec ou sans hernie sacciforme dela membrane muqueuse. La par… postérieure est d abord ielaeliée et élargie, on constat e un epaississemcnt de la muqueuse des fibres musculaires transverses, et un agrandissement des follicules. tandis que les fibres élastiques, jaunes et longitudinales, sont amincies et (list,)araissent. Cette disposition l'avorise les évaginat ions de la muqueuse qui se produisent au travers des fentes entre les fibres transversales, et dev iennent peu a peu de véri- tables ampoules. Lorsque cet état est multiple, les fe ntes dont il résulte forment une espèce de réseau de fibres transversales simples, ou divisées, à une de leur extrémité, d'une manière dichoto mique. Cet état tnt aussi à ceux de la trachée, il En effet, ces ulcères présentent fréquemment. et beaucoup plus ids, et dans la grande m'ajorité se développe à la suite du catarrhe trachéal chronique. ()uelquefois ces dilatations s'étendent sur toute la trachée, et même au delà, dans les bronches. Déjà bien antérieurement à Rokitansky, M. Sestier (2) s'exprimait ainsi: « Vous avez vu. disait-il, sur une hachée-artère que vous a envoyée M. le professeur Bérard, trois ou quatre dilatations en cul-de-sac de la portion membraneuse de ce conduit, dilatations qui auraient pu jouer un certain rôle si quelque corps étranger y eût été introduit. » tes. lls s'étendent quelquefoisà ; XI.- Gnngri-nr du larynx et du la trad-ée. diphtliéritiqœs. A la suite de la )tits ulcères superficiels à bords que dans le larynx. Nous avons : même malade. Nous trouvons, courte description d'une pièce ,» offie, dans toute sa longueur, de nombreuses saillies entre‘la trachée est rétréci, et tout )fondes au moyen de substances : siège d'ulcères perforants qui uisent cet effet, le cancer de la cas même assez fréquents. Nous le la partie cancéreuse et de la I)…IHB des faits tout à faithovs glande tuberculeuse suppurée. Si l'affection que nous venons de décrire est rare, la gangrène ne l'est pas moins; elle se montre sous forme circonscrite, comme eschare ou comme gangrène diffuse, la plupart dvi temps consécutive àla gangrène pulmonaire ou à celle d'un autre organe, ou dans le courant des ulcérations diphtliéritiques, syphilitiques, tuberculeuses, de la nécrose du cartilage, etc. On peut aussi rencontrer la gangrène indépendante de toute gangrène existant ailleurs, bornée à la trachée, aux grosses bronches, dont les membranes sont alors friables, noirâtres, et renferment un liquide d'une fétidité extrême et d'une nature sauieuse. Nous en trouvons un exemple intéressant dans les Bulletins {le la S‘ocr'dte' anatomique (3). Voici le passage, malheureusement bien court, dans lequel cette affection est décrite: « .‘\l. Gueneau présente une partie du poumon recueillie sur un individu mort d'une fièvre typhoïde, chez lequel la diarrhée avait persisté plus longtemps que d'habitude, et chez lequel aussi les accidents du côté des voies respiratoires avaient été très marqués. Le poumon gauche était le siège d'une hépatisation rouge, les divisions des bronches sont dilatées; la muqueuse est tuniéfiée, friablc, noire, ayant une odeur gangréneuse très prononcée. M. Gueneau pense que c'est une altération gangréneuse bornée aux bronches. » Nous pourrions encore mentionner ici, dans un paragraphe spécial, une altération congénitale des fistules du cou qui conduisent ordinairement de la trachée aux téguments externes, et qu'on a regardées comme des vestiges des fentes branchiales, lesquelles, :‘i un état peu avancé de la vie embryonale, se uché(‘- trouvent chez tous les animaux vertébrés. Mais la description de cet état est plutôt du ressort de la y ' ement, a stsm , qui', ordi' nair tératologie, et trouvera peut-être sa mention plus tard. ' s u ne des le, n'en est pas main proiiviser les altérations qui nsiste en une 3ge au dehors et co des gland es rtout vu le cancer ' n remarqual} le ie autre alte' raho de la trachée, iartie su périeure . Parmi primante« la tumeur 00m tégorie, I] ous de"…S seconde ca . . diverses es pèC‘" tricielle, et les @ XII.-Des produits avoidcnlt‘ls dans le larynx rt In lrarllér. ' ' sous le nom de poly, res ddu ' e de la membrane muqueuse. - ()ii a- reum ' 1° De l'hypertrophie czrconscrzt " ' peu a' pet i c‘e nom e " '- " disparaitie Il est bon au551' de fane ' larynæ les produits accidentels les plus variés. trav ail q ui existe ' ' de le… -*stiuctUie. - ' ' Le meilleur ' la science, en donnant à ces productions des noms tires sur ces affections du larynx est celui de Ehrmann (A). (i) Œsterreische Ja/zrbur/zer XVI, (. [II, p. 9. (2) Bullclins dela Société anatomique, t. VII. p. 108. (3) Op. cit., t. XIII, p. 66. ' que nous'; won s [) ublié, p age 266. ' - Voyr cl.' | ‘.nu.… (A) Histoire despolypes du larynx, Strasbourg, 1830. |