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Show 596 ANATOMIE PATIIOLOGIQUE SPÉCIALE. caviu que'Yauteur n'aH,pas donné plus de détafls sur la nature de ces ceHules, et qu'fl son nnposäbkade Une fois savoir s'il s'agit de cellules épithéliales ou de celles du tissu connectif en voie de formation. uneinfiHraüon dece genre occupaü,Eilasurücecbalatrachée,27 nüthèües delengueursur13rnü. limèlres de largeur. Comme cette accumulation des éléments cellulaires a eu lieu aussi dans les bords et le fond de l'ulcère, il est probable que l‘ulcération a eu lieu en partie par le ramollissement de la substance et la mise en liberté de ses cellules, comme Virchow l'a déjà indiqué antérieurement. fiflHci lages etlbr 30 dune succé Le larynx ne possède pas de papiHes à Vétat nornud; on en trouve des vesfiges cependantà Pémt tonne normal, autour de l'épiglotte et même autour de l'ouverturelaryngée, du côté de la bouche. Autour des ulcères on les rencontre, surtout lorsque ceux-ci ont déjà duré depuis un certain temps, et les plus V0. lumineuses se trouvent sur les bords des anciens ulcères. M.Rheiner les a trouvées de grandeur, de forme exsur 5ét91 suda etde quantité très variables, quelquefois très nombreuses et par groupes, étendues, entourées à peine de ntern quelques tissus, d'autres au centre d'un tissu fibreux plus abondant. Les excroissances verruqueuses et les tumeurs papillaires du larynx, décrites comme épidermiques, proviennent de ces végétations, qui, à filani leur surface, sont recouvertes d'un épithélium pavimenteux. Autour de ces parties on rencontre souvent avaü àl'ex une infiltration séreuse, non-seulement interstitielle, mais aussi parenohymateuse, située au dedans des éléments bistologiques; elle est très évidente dans l'œdème de la glotte. Les éléments histologiques, dans les tissus qui entourent les bords des ulcères, sont augmentés, les corpuscules du tissu cellulaire sont plus volumineux, plus ramifiés; le périchondre est également épaissi, et peut plus tard renfermer des lamelles osseuses, d'apparence assez régulière, dues à un dépôt calcaire dans un travail 'd'ossification déjà préparée. Nous avonstnenüonné plus haut lestfiverses ahéraüons des carülage5 teHes que Fosäficaüon,la croui nécrose, l'ulcération, etc. La substance du cartilage est tantôt dénudée à sa surface, rude, inégale, ou inüH Hsse et cornrne veloutée; eHe perd sa transparence et prend uruateinte d'un blanc rnat, d'un gflsjau- peau ou fil 40 ceux ily a en p Et nâtre, même tirant quelquefois sur le brun. Sa consistance est quelquefois molle et comme gélatineuse. Nous avons également mentionné la chute nécrosique de fragments de sa substance. On observe de grandes vacuokæ parfifis à h1surfime du caflflage;siles parües péflphéflques knneHaùes sontaHehflesla en n séparatùnn en couches estplusévidente, etle bord présente alors,à Vexarnen, des shdes rubanées.Sile ramollissement est général, on trouve une espèce de détritus cellulaire dans une masse gélatineuse; si le ramollissement est peu considérable, toutes ces diverses altérations sont contiguës sur les coupes que l'on fait à travers toute l'épaisseur; si au contraire le ramollissement est homogène, comme c'est aux plufl farr pon< drai surtoutle cas dans les cartflages aryténoïdes,le bord ulcéré de hi coupe estsinueux, en raüon dela destruction des cellules mères, qui ont évacué leur contenu à la surface libre. près de laquelle la surface intercelhflaire devient opaque, finernent granuleuse et fibreuse. C'est hi substance interce"ulahe qui forme les saillies qui délimitent les parties sinueuses. Si la substance intercellulaire a déjà subi la transformation fibreuse, on observe sur la coupe verticale désirangesrubanéesentrelesqueHessetæouventlesvesügesdeslaeunesceHuleuses.Silatnétanunph056 CO… granuleuse a déjà eu lieu, la difiluence ulcèreuse est plus homogène. Ces altérations paraissent souvent dues à une simple macération. Lorsque le périchondre est conservé, on observe une accumulation de vent grantdes graŒseux dansles ceHules du cartflage, on trouve quelqueflfis un noyau divŒé, etleur contenu aver peut oflrir un aspect niulH-00rpu50ulaire.l.a vascularflé autour des parües ulcérées estvarfiable,rare- Nou ment considérable; elle est notablement diminuée lorsqu'il s'est formé une abondante infiltration cellu- soit laüe. Les nerË lÉSËlBUÈ nüeux, les gandnkæ sont peu rn0difiées bd. Rheiner:Üoakæune confie description des ulcères aphtheux du larynx et de la trachée, tels qu'on les observe dans la phthisie pul- monaire avancée; ils sont plats, superficiels, constituent plutôt des érosions, et naissent par une espèce d'infiltration séreuse de la partie superficielle de la muqueuse ou du pourtour des follicules. 2" Les ulcères folliculaires tirent leur origine de la laryngite folliculairc, et ce sont ces glandes, distendues par l'accumulation de leur contenu cellulaire, qui ont donné lieu a la confusion que l'on en a faite avec des granulations tuberculeuses. On voit d'abord le pourtour des glandes s'injecter, puis la glandule devient plus volurnineuse et plus safllante;les vésicules glandtflaire5 se réurüssent en un petH kyste au sommet duquel on observe bientôt un pointjaunâtre quilaisse suinter une gouttelette de pus, puis toute la |
