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Show n‘:ñy:flw!v;ut{ifl v a… »..t. «r nr.}:._:.:..a:- »; >»-'-.*.»F. nar.xnrus nus v.ussuxux SANGUINS ET tvxiriiariouus. Ile. ll_wwrtrop hic du cœur r,,,i ;»nlmo…f,-,._ (…. L"‘Yllegétations de, dit?.) … du canal -i- ' ' ' «llt3t‘l8l . dq.ns les,…lt‘t‘S de tuttoti, et ayan t vécu dans des ce " ge aux membres. "dlll0lls .ans .il‘ a' sautent ' eu des douleurs dau l de tete, il n‘ accu se ni gène dans sa res… pi- lsp " ttl"‘âlsSt‘llt pa . s. sous la pression d lt doi \ anu__ ent"tes palisscnt ouj auiiiss‘éiit Pan tl _ da nl t on leruphon pa rait tirer il sa fin a _ t bout de cmq a SIX tours. Vers les der' ne niers laut de nouvea ux symptômes surv ienn ent s. de. sul‘l'ocation, acc ompagné de beaucoup irati0n libre dans leu rs interr alles. Après u‘giqueS. . quoique réguliers , et l'on entend le tl'fljOl. de l'aorte , ayant son maximum dant également sous la clav icule droite et il aussi bien. a droite quà gauc he, le toutU .eau de la [0550 sous-épineus c. Parmi les ne peu de jours pour disparaîtr e ensuite . - . ' | … gr annleux , d'une consistan ce molle. La "'>lCUle renferme - . . une bile vcrdùtre foncée. La rate est extrêmement volumineuse % continu-tres de hauteur , sur Ut de largeur et 5 d'épaisseur, elle «‘idh‘n‘ , . ' superieure c epar - sa partie ' ‘ ' au tliftpltt‘3giiic, et inférieuremrnt au péritoiii0 ' ' - ‘ pariétai. ' Les adhcrcnces sont epmsses,_ la substance de la rate et . ‘ ‘ » brunatre. . . . > [+ les molle, d . un rouge tortue Les reins sont volumineux" le droit a 13 centnimtres de hauteur, 15 millimètres de Inu-ne…. -_ , . . ' . :, c., 35 ( ,.,epaisseur; le gauche a ta cenhntetres de limiteur, 85 mllllttlèlt‘(‘$ de largeur et 38 d épaisse-iii. Ils sont mous, tres liyper0imés; l un tl cux offre une ecchvmose à sa surface, mais on n'y voit poittt de granulations. Le cerveau et les méninges sont à l'état noi. mal, sauf une liypéré…ic marquée de la surface. CC IV. -- PÜI‘Ü0nÏM luberon/case ,' quclquea ' - tubercules ' ' ' pulmonaires; ‘ de l'estomac ; cui/lots [ihr-{near dans czcatrzces d ' un ulære toute l'artère ]‘ltlftïtûïlfllî‘C‘jllSÿü0 dans les dernières ramifications . (Pl. LXXV. fig. 2.) Une ans, bien réglé c depms quinze jusqu'à . _ femme âgée _, _ de quarante-huit . quarante, n'ayant jamais ou d‘enfants, a vécu dans de bonnes ,lv ' ' ' | | d ' . 01r10u1 d une bonne sante1usqu'en avril 18o3. Elle lut prise subitement, elle dit conditions hygiéniques; pendant la nuit, de fièvre. de r . . _ . . - . douleurs de tête, (3 maux d estomac, de vomissements suivis bientôt de diarrhée et de sensation de brûlure en uritiant. Le dévoicment ' selles J.itiiidtté5 '- -"- par vingt-quatre .. heures; la fievre . coutume, . .. p0|5istii,él l e en tdieux ou trots dcvmt elle eutsouvent des sueurs lronles. Bientôt labdomen se tumefta et dev1nt dur et douloureux. Cet état dura sans grain] changement pendant deux mois et demi. Elle fit alors un sejour a la campagne et observa une dicte lactee dont elle se trouva bien pour l'état général; mais le ventre resta dur et tumétîé, et vers la , . . .' , . . . fin d octobre, les douleuts y 1eunrent avec beaucoup (] nmtcnsde. Elle eut des vomissements assez fréquents, et de nouveau une diarrhée habituelle. Darts cet état, elle entra le 16 novembre 1853 a l'hôpital de Zurich. Elle est dans un état avancé de marasme, et olfre une ' érv‘rement ictéritue teinte] - … longeur ce ' '- 1 . «"Le -' (les-']0ues.- La- langue est blanchâtre, la bouche seche; cuconscute ‘ ' complete, anorexm ‘ ' nausccs. vomissements. L'abdomen, tiès douloureux a la pression, est surtout tuméfié dans sa moitié inférieure; ou sont comme une tumeur étendue, dure, délimitée en liant, du côté de l'ombilic, par une circonférence semi-lunaire, et s'étendant d‘une des crêtes iliaqucs à l‘autre. La surface est d'une dureté presque homogène, on y sent une fluctuation obscure ; la percussion est mate et l‘utérus est tellement déplacé , prostration se iiiiiiiileste, et l'on constate volumineux sont disséminés a travers les deux poumons et sur la plévre; au sommet gauche se trouve une caverne du volume d'une iil‘éi'ii‘iii'5. A gauche la matité et quelques l'état du malade s'aggrave: on entend une noisette. Le cœur est normal et renferme dans le ventricule droit un caillot libi'iiicux qui franchit les valvules sigmoïdcs. dont l'empreinte se trouve marquée sur le caillot, et se continuejusque dans les plus fines ramifications de l'artère pulmonaire, toutefois sans uls monte a 136, la respiration devientde adhérences intimes et déjà presque cntièmment décoloré. Le ventricule gauche contient également un caillot librineux. La partie interne t de souffle du cœur et de l'aorte en est de sa dernière maladie. Le traitement ii de la valvule mitralc est dans un état d'épaississcment libreux avec légère rétraction et épaississmnent des cordes tendineuses. En ouvrant l'abdomen, il s‘écoule environ un titre d‘un liquide purulent gris verdàtre, sale. Dans la région de l'ombilic, les adhérenccs (les l'invasion de la pneumonie ou amis sont telles qu'ott déchire la surface de l'intestin en voulant les décoller. Toute la surface du péritoinc est couverte de tubercules isolés notre est en état d'liépati5atiou rouge; la vaut 1 décimétre de hauteur pour les de épaisseur du ventricule gauche est de noiràtres, en partie fibrineux. Parmi les sont recouvertes de végétations grenues, ic. Les vaisseaux sous l'endocarde, dans 'igiiié, mais le tronc biacliio»céplialique, te a 6 centimètres de largeur au-dessus que i tronc brachio-céphalique elle n‘a Derrière artériel. conduit : l'insertiondu curieuse, limètres de largeur, et, chose .'liiiili‘ique. du vaisseau unent strié. Les mcnibr unes t mm' e is‘ du cœur. (e‘ "mèth 1/2 pres re une seconde u conduit artériel se tr eu espèce de di"' «: bride, qui forme une c u arrièreelà bas, en lieu écissement a mont re. dans . , est et' tai ssie, rugueuse, et son es épaisse rgeur. Dans un e des parti 1 et 2 millimètres. tation, varie entre en bas par des masses tuberculcuscs qui remplissent en partie le fond du petit bassin. CGV. - Thrombose des deux troncs veineuæ bi‘ûC/li0-Céfl/tüftÿltfl'8 et de l'origine de la veine cave supérieure chez une p/zt/tisir1uc. (Pl. LXXlV, tig. 3.) Cette pièce a été présentée à la Société anatomique par M. Broca comme une pliléhité; mais un examen attentif m'a permis de constater qu'il ne s'agissait que d'une thrombose, d‘une de ces coagulations sanguines fréquentes a la fin de la phtliisie, et beaucoup plus rares dans les membres supérieurs qu'aux inférieurs. La malade, qui a succombé a une tuberculisation pulmonaire trés avancée, avait éprouvé. pendant les derniers temps, un gonflement douloureux du bras droit. On sentait un corps dur, volumineux. très douloureux derrière la clavicule etle long de la face interne du bras. A l'autopsie, on constate que les veines axillaire, sous-claviére, jugulaircs externe et interne du côté droit, sont distendues par (les caillots noirs peti consistants et non adhérents. Le tronc veineux brachiucéphaliquc est oblitéré par un Guillot assez solide,jaunâtre et adhérent a la paroi inférieure et externe de ce tronc veineux. En bas ce caillot se termine par une expansion jaunâtrc qui remplit l'origine de la veine cave supérieure sur Line hauteur de 1 1/2 à 2 centimètres, et s‘y prolonge encore du côté droit a un mamelon de près de 2 centimètres de longueur sur 1 de largeur. _ . En liant, on trouve aussil'embouchure dela veine brachio-céphalique gauche oblitérée, et le caillot remonte jusqu'a la terminaison des . . . . … x y 4 _ _ ,, . . . . .' < . poumon VülneSJugulaires interne et externe et de la sous-clav1ere, arrete brusquement pat des \.il\iilos. M. Bi0c.i ajoute que le sommet du cellulaire tissu Le . envi- df0Îl. farci de tubercules, embrasse étroitement la moitié intérieure du calibre du la veine brachio-céphalique. interne membrane la ronnant est épaissi, lardacé, li-1able; la paroi externe des veines oblitérécs est légÙl'Clllt'm "P…55'9 et "E'P"""""°‘" est lisse, luisantc; nulle part de traces de véritable plilél)ité. La thrombose 110115 l""‘"…"°i """" ce C"b' " …… cause "lth…q… me de petites ._ … ès dnvolu t tres devel°PP * d‘un tape" brun foncé, sur. Il estd'un plll' CU")- pression7 aidée du mauvais état général du sang, qui provoque des oblitérations en cas pareil, méme sans obstacle maternel aucun. ANAT. paruop.-17' Livn. A (lhère en dedans a un paquet de tissu te, du volume du poing d‘un enfaiit.A la et rétieulaire. Le poumon droit est, dans ou confluents, depuis le volume d'une lentille jusqu'à celui d‘une noisette, entourés d'un pigment gris noirâtre. Toutes les anses de l'intestin sont collées ensemble. Le péritoine pariétal est généralement très vasculaire, il a t millimètre l/2 d'épaisseur, il est légèrement dépoli. L'enveloppe du foie est parsemée de tubercules. Cet organe est d‘uii volume normal, mais les conduits biliaires sont légèrement dilatés, gorgés de bile; la substance du foie est pâle, d'un gris jauiiàtre, molle, avec infiltration graisscuse. La rate est égalementeiitouréC de tubercules. Toute la surface inférieure du diaphragme et toutle mésentère sont parsemés de tubercules caséeux. En voulant détacher les intestins, on tombe sur une multitude de petits foyers purulcnts, circonscrits. On trouve dans l'estomac, près du cardio, la cicatrice d'un ancien ulcèrc. La muqueuse intestinale est pâle et légèrement ramollie dans la moitié inférieure de l‘intestin grêle; l'utérus est poussé ".i'.'v; "‘.!" 'un litre, de couleur citrine; adhérentes *A>-.AA\ dion et d'étourdisscments. dans le coma; le pouls devient insensible et elle meurt dans la soirée du 17 novembre. Autopsie fuite quarante-six heures après la mort. - Léger cmphysèmc de la partie antérosupérieure des poumons; au sommet droit, masse tuberculeuse ramollie du volume d‘un pois, entourée d'anciens tubercules. Quelques granulations ou tubercules un peu plus "Akââi APF.AAf"" ?u de râle vibrantet crépitantcnarrièrc ,i :. le au août, il est pris brusquement d'un en bas que le col fait saillie darts la vulve. Tous ces signes étaient tels que l'on pouvait un moment soupçonner une péritonite consécutive à une tumeur de l'ovaire. Elle ne tousse pas et elle n‘offre i'ien d‘anormal à l'examen de la poitrine; elle a une fièvre habituelle, le pouls donne 101: par minute. 011 prescrit des frictions mercurielles et des cataplasmcs sur le ventre, une émulsion opiacée, de la limonade pour boisson, et un lavement purgatif; mais déjà, le. lendemain de son arrivée, la fièvre devient très intense, elle a du délire et tombe bientôt |
