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Show MALADIES DU COEUR. [191 ; mais lorsque laine étendue, es valvules et ,igu, avec une l l‘humatismale ut que, d'après , ! . 7 ' . . L atrophœ de 1 endocarde comme en une plus grande minceur, une plus parfaite transparence sur les - . valvules dans l état rét10ula1re que nous décrirons plus loin. 3 [‘.-Des altérations «les valvules du cœur- 5 orifices ainsi que les carat-« , Son p _p A , ê.m‘î dépasser un m11l1metre, Il y a alors augmentation de ses élements fibreux et élastiques. Ce meme GPHISSISSBment peut avoir lieu par places seulement . , \ ' soit à la surface des colonnes charnüéS, SOIE }, 1 h a celle des muscles papillaires. Nous ne regardons point comme appartenant à 7 ' . ' ' Ihypertrop te es tac es jaunes, atheromaleuses, que nous n'avons rencontrees que sur les valvules ou dans leur voisinage, et dans lesquelles il y a une infiltration albuminoïde et granuleuse dans laquelle on trouve plus tard des éléments graisse… et calcaires. 7 "tie détachées. décrirons ces _ - Quoique ce sujet ait été traité avec prédilection par les pathologistes du jour, et que les observations, ainsi que les théories sur les affections ventriculaires, soient déjà très nombreuses, on peut cependant dire qu'il y reste encore beaucoup a faire, et que plusieurs des questions les plus importantes ont été a peine effleurées; 110115 sommes surtout frappé des tendances exclusives qui dominent toutes les doc- trines. C'est ainsi que les uns admettent l'origine inflammatoire des maladies valvulaires comme leur 5 rare que ne source presque unique, tandis que d'flUtres la nient à peu près complétement. La théorie de l'hypertrophie consécutive aux obstacles valvulaires trouve aussi de nombreux partisans; toutefois cette hyper- ont aussi bien trophie n'est ni aussi strictement localisée, ni dominée par l'altération valvulaire seule. On a voulu assigner ent la voussure aux diverses affections de chaque valvule des bruits anormaux correspondants. Nous verrons plus tard . Le choc plus que 5"' y a, sous ce rapport, QUBÎQUBS règles, les exceptions sont cependant d'une fréquence telle, ec adhérences, qu'un S€Ul Gal‘aCtère ne suffit point pour un diagnostic bien motivé, et qu'on ne saurait y parvenir que tel les rhumaarticulaire. Le par l'examen attentif et l'appréciation sévère de tous les phénomènes. La thérapeutique des affections valvulaires n'est pas moins l'objet d'idées exagérées: c'est ainsi que, dans les hôpitaux français, nous et matité parle avons constaté bien souvent l'abus de la saignée et d'un traitement affaiblissant, parce qu'on était trop )ouls n'ont rien préoccupé de l'idée d'une origine inflammatoire. C'est avec raison que l'école de Dublin insiste sur leur pathogno- ricardite légère l'emploi des toniques dans les altérations valvulaires profondes; mais ici encore il faut agir avec réserve, et ne pas attribuer une valeur trop grande à la tonicité cardiaque affaiblie. Nous avons vu plusieurs fois des médecins distingués rejeter la digitale dans le traitement de ces maladies, parce qu'ils croyaient . L'endocardite affaiblir par là la force du cœur; nous sommes étonné combien peu de médecins se font une idée juste de laquelle appar- l'action de cette plante, que nous ne regardons uniquement ni comme tonique, ni comme sédative, ni plus tard, mais comme essentiellement diurétique, mais comme le meilleur régulateur des fonctions anormales de cet fiññâflxn' er des plaqUes - - \ « .». àî3.fl-., lilection. Rien é aisseur eut atteindre et m - »ar des masses nent, c'est la organe. emière dans ce , et qu'elle soit Ce coup d'œil rapide suffira pour démontrer que nous n'allons pas trop loin en signalant l'exagéralion des doctrines sur les altérations valvulaires. On n'a en effet pas encore bien compris tout ce qu'il y a du complexe à la fois et de varié dans les affections cardiaques, dans lesquelles les valvules sont malades. Nous croyons par conséquent nécessaire d'appuyer avant tout nos généralités sur l'analyse d'un certain )lI‘ rendu discuueillant de nou- nombre de faits observés avec soin, recueillis par nous à Paris ou à Zurich, ou vus et contrôlés par nous les qui existent à la Société anatomique. -it plus liant, et ons, qui sont de ec beaucoup de aie et l‘atrophie Nous commencerons par les affections des valvules, étudiées isolement, et, plus tard, dan s leurs com- binaisons entre elles, et ce sera seulement alors que nous résumerons nos doctrines générales sur ce smet. et il Les altérations du cœur gauche sont de beaucoup les plus fréquentes et les plus importantes, . . valvules aorhques, amsr faudra d'abord étudier séparément celles de la valvule bicuspide et celles des t1_è__ res- . ) : y _ . . . s . n occuperont qu une place qUe leurs combinaisons. Les altérations valvula1res du cœur di01t déja communique' beaucoup de treinte; elles se développent rarement chez l'adulte, et nous avons . . ' ' remarques sur les rétrécrssements ventricule-pulmonaires, a.‘ locca510n des commun i cations anormales M…Bê‘fl un examen cri- entre les cavités du cœur gauche et celles du cœur droit. wons rencontfée *fif‘ T. " .,'.,"f‘,[. "f '\/\'A ] ‘ t sur les . Avant d'analyser nos observations, nous présentero ns le résumé des recherches de l\]. Bizo un s1mp e altérations physiologiques, pour ainsi dire, ou séllileS: On y a observé des taches jaunes ou "\A- . .… à sa surface. bicuspz'de ou nutrale. [. -- Des altérations de la valvule . "‘ñ' . che que Palm… |