OCR Text |
Show lyse dans .j MAÂÂÂÂaQCné-À' MALADIES DU COEUR. I5' i a ccnstamment unealtératmn graisseuse de la fibre charnue. Dansl'atrophie concentrique ou dans l'atrophie maximum 5, était de "mètres); (71 milli- lignes 1/2 lignes 1/6e ignes 3/5"-S par01s ventncnlanes sui tout offrent quelque chose de coriace. On a observé quelquefois une atrophie . . …r, : -_ ,artielle, mais celle-ci est rare; on a prétendu aussi ( … d'u' lh'Llï‘etîtafieuient au….cu'O-ve.n…le V€ntVÎCUÏB rgauche Jet n ai Jamais verifie ce fait, qu0ique, , _ ' s'atrOphiGi‘'efoliÏféf'oeisf'll linlaire _ devait ‘ _ gauche, depuis tres longtemps, mon attention ait eté fixée sur ce point. Si nous Jetons un coup ci œil sur les causes de l'atrophie du cœur, nous y trouvons la preuve de ce que nous avons avance plus haut, à savoir, la non-essentialité de cette atrophie, dans la majorité des cas Le cœur peut diminuer de volume par suite de la compression produite par une tumeur, ou par des maSSes tuberculeuses, cancereuses ou autres, qui l‘entourent. Nous avons dit plus haut que Stokes a vu ladhérence pér1card1que conduire a cette atrophie. J'ai, pour mon compte, vu une adhérence partielle déterminer une atrophie de la partie correspondante de la partie charnue du cœur. rd, que les 'Le rétrémssement des arteres coronaires, soit à leur embouchure, soit dans leur trajet, par suite qui dun travail athéromatenx, peut provoquer l'atrophie en diminuant notablement l'afflux du sang, doitnourrir la substance du cœur. Il existe enfin un certain nombre d‘états généraux graves accompamés at normal. de dépérisscment et d'une nutrition générale affaiblie, qui influent d'une façon notable sur la diminu°tion où le cœur du poids et du volume du cœur, et peuvent même entraîner la transformation graisseuse partielle de ses BS gagnent le fibres charnues. Parmi les maladies aiguës, la fièvre typhoïde prolongée et grave produit cet effet; es égalent, ive pour les mes. r épaisseur. ÂAQ‘ "‘ ° et les ' ' brunatre, des fibres, la couleur est normale ou plus ou m oms conaderable glmple avec _retrait _ _‘ _ ' avancé des cœur est alors remarquablement flasque, décoloré, rapetissé, et l'on trouve au degré le plus granules graisseux nombreux dans les cylindres musculaires primitifs. Parmi les affections chroniques, : ventricule leux ventri- ce sont surtout les maladies caiicéreuses et tuberculeuses qui conduisent au même résultat, et déjà une M. Bizot a démontré que le cœur des phtlii5iques était plus petit qu'à l'état normal, et subissait l'alté- espèce d'infiltration graisseuse. Ici encore, comme dans bien d'autres circonstances, l'atrophie et iètres) pour le chapitre général ration graisseuse sont en connexion intime, fait que nous avons déjà fait ressortir dans au marasme, même sans être de l'atrophie. Les maladies chroniques des voies digestives, qui conduisent ni tuberculeuses, ni cancéreuses, peuvent amener le même résultat. .ait moindre doigt. Dans essentielle, et nous n'avons rien L'atrophie du cœur est, par conséquent, bien rarement une maladie de spécial à ajouter au sujet de sa symptomatologie et de sa thérapeutique. ‘oit était un 3‘ VI. --Altératiuu graisseuse du cœur. nt distinguer l avec l'appa- :oncentrique, )lume. Toutei'est dû qu'au ion de sa rou- de rencontrer rouve presque dégénéracette altération peut être une des terminaisons l'inflammation parenchymateuse prouvent que troubles fonctionnels lieu, enfin, nos notions récentes sur les lrices du travail phlegmasique. En troisième e es du cœu r nous aident à sortir de cett qui résultent de la transformation graisseuse des fibres charnn es et obstacl e on ne voit pour ainsi dire qu'exsudation pathologie cardiaque exclusive, dans laquell musculaire, point sur troubles dynamique; de la substance les trop coup beau ge négli qui et , iques mécan judicieusement insisté. ‘Equel, parmi les modernes, Stokes a le plus primitifs. seuse du cœur de l'altération des cylindres Il faut distinguer avant tout la surcharge grais ications; elle est fré- tant qu'elle existe sans compl , ance port d'im peu bien e seul Là Première offre elle très développe, et accompagne par le système adipeux est quente chez tous les individus chez lesquels toute la Vie pareil, cet état peut persister pendant cas en et, ie; sarc poly la nt leme c°llséquent habituel l lQ-Q AA ;]… !. ,‘ __ ‘end alors un !: êtaient d'une il est prouvé que les accidents les plus graves fréquence et la gravité de cette affection. Non-seulement cette la conséquence, mais même, abstraction faite de Et les plus promptement mortels peuvent en être pathologique. En premier lieu, l'étude importance pratique, il s'y attache un triple intérêtde ph ysiologie belles conqu êtes de l'anatomie pathologique dela métamorphose graisseuse des tissus est une des plus etdestructive, la vieil] esse et la caducité parmoderne, et démontre que de st là une évolution rétrograde sur recherches intéressantes de Virchow tielles b0rnées pour ainsi dire au tissu atteint. En second lieu, les *_° :- x: "=… uces Ir lignes ortance de cette lésion devienttons les cependant que nous en parlions ici d'une manière spéciale. L'imp de Paget ont démontré à la fois la jours plus grande, depuis que les beaux trav aux de Quain, d'Ormerot et "ccaeäâêas ê°*ÂÂÂÂ*AA : ventricule- ation graisseuse du cœur; il estnécessaire Nous avons fait mention bien des fois incidemment de l'altér -‘ ‘V\ Q_QR our étendue n'ayant été |