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Show AN.\TOMIE PATHOLOGIQUJ‘] Sl‘lËCl .\l.li. 1152 du coeur est, sans contredit, l'altérati0n lement cru. Une des causes les plus fréquentes de l'hypertrophie que les rétrécissem ents ou insullisances, ou l'un et l'autre °°mbinés d'un de se s orifices; mais s'il est vrai oque nt souvent l'hypertrophie du ventricule corresPondam, dans les orifices ventricolo-artériels, prov llées ce des parties hypeÏ'lÏ'0pl re de cas, les valvules saines art-devant j'ai vu aussi, d ans un certain nomb cle_ ion de la théorie mécanique exclusive par obsta . . qui prouve une fois de plus toute l'exagérat _ _ ' , ) . phœ7 Celle-… "'a anormales du coeur de provoqne1 l hyperlro On a accusé à tort les connnunications ment ventriculo-pulmonaire, altération qui d0mlne existé que lorsqu'il y avait en même temps rétrécisse ' nications abnormes congénitales. dans la majorité des cas, la p uthologie des commu que je ne voudrais pas encore décider. Sur 17 cas Y a-t-il une influence réelle du sex e? C'est un point d' altérations valvulaires, il y avait 6 hommes et 11 femmes-7 d'hypertrophie simple avec peu ou point non mortels, j'en ai pour le moins autant cependant ce rapport me parait accidentel, car, parmi les cas pour les hommes que pour les femmes. -AAAAAA AMMM :" . _ ,, en dehors des rétrécissements al‘tériels; Quant à l'âge, l'hypertmphie congénitale n'existe guère e, au niveau de l'embouchure du conduit rarement ce ux-ci ont lieu à l'orifice aortique ou dans l'aort nt c'est le ventricule ment hypertrophié. Le plus souve artériel; le ventricule gauche est alors principale phié, par suite du rétrécissement de l'orifice ventricule- droit qui est plus ou moins notablement hypertro peut ne devenir mortelle qu'entre 20 et pulmonaire. Mais quoique congénitale, cette hypertrophie ation entre les deux passé cet âge, lorsque le conduit ar tériel établit une communic 30 ans, et même jeunes gens; grandes artères. J'ai observé assez souvent l'hypertrophie du ventricule gauche, chez des lle avant l'âge de 25 ans. L'hypertmmais ce n'est qu'exceptionnellement que je l'ai vue devenir morte 40 et 60 que phie, surtout comme affection grave, devient plus fréquente passé M) ans, et c'est entre 70. Voici j'ai vu les cas les plus prononcés; cependant j'en ai vu encore après 60 et même après le tableau de 15 cas mortels dans lesquels l'âge a été noté : De 40 a 15 ans. . . . . . . .. . . llelä {120 ans. . . .. . . . . . . '1 Report. . . 7 1 !; De255130ans..…………. Dc35ùlrüans........... '1 De 555160 ans ........... De(i0àtîôans ........... Dea0ali5ans....……... 2 De 50 a 55 ans ........... l De65i170ans..…....... De7tlu'ïätns ........... 1 't ? 1 _ TOTAL .lr1ymrlcr. . . T 5 Si nous cherchons a établir les rapports entre les symptômes et les lésions, nous expliquons tout naturellement par l'épaississementetl'agrandissement des cavités cardiaques, le choc plus fort, la matité plus étendue, et même la voussure exagérée de la région précordiale. On conçoit aisément que, dans l'hypertrophie simple ou eoncentrique, la matité étendue et la voussure manquent. Il est plus dilficile d'expliquer les bruits anormaux. On conçoit leur présence lorsque existe en même temps l'altération d'un orifice; mais j'ai assez souvent entendu un bruit de souflle systolique sans altération valvulaire, sans anemie, pour que j'aie la conviction que l'hypertrophie seule peut le produire; maisje me laisserais entraîner trop loin si je voulais discuter les diverses théories capables de l'expliquer. Un autre fait que l'on observe quelquefois s'explique plus aisément par l'agrandissement de l'organe, et par conséquent par celui de la distance des divers orifices. C'est la distance plus grande entre le maximum du premier bruit et celui du second. Un ne l'observe guère que dans les hypertrophies consi- ?ËÊÎÎÏÎZÀÎÊZ ÎZÊÎÂZÏJL lÏîil‘lqîee. .Le? palpitations si fréquentes, je dirais presque constantes, dans . .plontantment, sort par surte de divers exercices et mouvements, donc… , . ‘ ' faire conclure a une excrtabrltte plus grande de l'organe, lorsqu'il augmente de volume, et tiennent probablement aussi au trouble circulatoire que provoque une trOp forte action d'une seule des cavités comme les vaisseaux ï)ËÎZL: afi";=;â°y…l:"ellîl'lyol". (l‘uîle5 autres linissent P…‘ en devenir solidaires. Mais |" nen de de ]1 ",g, . .; \ accroissement des parors, la perturbation circulatoire croît souvent en "1150" ! ' ' : . *Pll(ltlent-ils par la réplétion facile et fréquente des vaisseaux . s en sont les conséquences comme nous l'avons . e et les. llémorrhagie . . ‘: me, la. cyanos ‘ .nes‘. l.oedc 1')ulriioti'i" ' :,…. . ,x w * œ - ç-À...v,ta-.u..Ï.I-...J- .*- |