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Show ÉRALE. ANATOMIE PATHOLOGIQUE GÉN 382 d‘ivoire qui lui (1 ' e environ d‘un petit o‘uf de poule, contenant à son centre une aiguille N° 225. (Pl. Llll, tig. 7.) -- Calcul du volum dis, et composé à son intérieur d‘une subst ancc blanc gnsatre colluleuse a couches servi de nov…. Il est rugueux i‘i sa surface extérieure de l‘Académie de C/ltl'ul‘yû.) (_ …, 1). 61°) wircs .lle‘n les ation, v pourl‘obser (Voyez, tinutes. il a été extrait dela vessie d‘une jeune lille. Ciiiiipii-iti0ii chimi ne. q sicn, 83. ' 1° Phosphate ammoniaco-magné { 66. d‘un état l vitlu à un : il y a loin autres à l‘ ‘."‘ Phosphate de chaux, La perl lard…re de ter qui a longtemps séjourné N° 226. (Pl. Llll, tig. S'.) - Inertistation calculeusc qui s'est formée autour d une portion d une au dévelo dans la vessie. Cout ositiouchimi ne. { q p et des ulc infusoires 90. 1° Phosphate ammouiaco-maguésirn, _ 10. e, mmoniaqu ‘.2" Urated‘a ayant à son centre une grosse épingle de ohlong volumineux, irrégulier a la surface, et N" 228. (Pl. l.lll, fig. 9.)-- Moitiiêd‘iiu calcul concentriques. l‘or; il est blanc a son intérieur et composé de lamelles J‘ai t‘en séquent, ( aux entop ' 1° Phosphate ammoniaco-magnésien, 00. _ _ Composition cldmiquc. - ( 2° Urate daunnornaque, 40. sujets atte sans un é certain nr fixes dans CHAPITRE XXI. On pet DES PARASI'I‘ES VÈGÉ‘I‘AUX ET ANIMAUX. l‘évoluti01 quelques Les notions modernes sur les parasites du corps de l'homme et des animaux sont bien plus avancées que celles de nos devanciers. La valeur pathologique, l‘histoire du développement, la description exacte chez l'h01 désordres de leurs formes, sont pour ainsi dire des conquêtes de notre temps, bien que la connaissance des hel- minthcs du tube digestif soit beaucoup plus ancienne. Non-seulement nous appliquons aujourd'huià pables (l‘; d'une par même a 1 tous ces êtres les principes de classification des naturalistes, mais de plus en plus aussi on revient de la Quant doctrine'deleur formation spontanée, de même que l'on a considérablement, peut-être un peu trop, réduit sur l'hom le nombre et la gravité des symptômes auxquels ils donnent lieu. Nous connaissons aujourd'hui toute une flore, toute une faune du corps humain, et nous n'admettons absolument pour leur évolution aucune autre loi que celles qui président à l'origine et à la propagation leur est p leur sert d'habitation, d'après (les observations exactes, bien que, sous ce rapport, il existe encore bien des lacunes. L'ordre qui nous paraît le plus convenable à suivre dans la description de tous ces êtres est celui qui consiste a passer des organismes les plus simples aux plus complexes, en commençant par les parasites du rogne végétal, et en passant ensuite en revue les animaux, à partir des infusoires jusqu'aux parasites les plus hautement organisés. ARTICLE PREMIER. - DES VÉGÉTAUX QUi SE DÉVELOP1ŒM‘ son L'HOMME VIVANT. - . dans le corps Vivant ' s peuvent emstet | Si les {helmmthe à l'état de santé, il n'en est plus de même, dans _ , . r r , . 3 ;] [na JO…L des Cds. po… les vegetaux paras1tes. foutef01s l'algue de la bouche, qui est constante chez … . . . , " . quin * sa'1 10mmc a. deux sortes de parasdes, ceux qui peuvent ex1ster à l'état normal, et ceux "; P10Î1\e . (è … su PPlosent un etat pathologiq ' ue au sujet - duquel ilsjouent - tantôt le rôle de cause, tantôt celui d'effet. eux sur ou ' Α01558Ht … '- . . s… les membranes muqueuses supposent toujours un état pathologique qui ] f … _ intérêt pi conforme M. Ch. B Oh Oh: w-r_-_'_.'_……… des êtres vivants en général. Nous avons enfin fixé les effets de ces productions étrangères sur le sol qui Nous a surface ir tâl/… . ‘ ' que - a…51 "‘ rise aGU" BVGOfipP emen t' C ' G" le muguet ne se développe la plupart du temps que Simultanement . ' vec une, a connu locale de la muqueuse buccale; il y a même une forme ne "a elle muffuet cachectique, qui ne survientriue ( l ans la periode ' ' " q J PP D s chroniques, d'un certain nombre d'affection terminale les mat ]' 'd( tes orvanic ues sur - ' ' a deja subi- un trouble profond l ' ensemble de la nutrition t0Ul, 10quue l'odem ac'l @ , ll ] .. . . ‘ . ' ‘ittetueXlaesouv ent l ' haleine . n qu'un travailla supposdm naitre pourrait. faire ces malades de l . local de f 1 "=, doml'ai rencontré plusieurs mme…al'° - fois l e … . tanger a leur developpement. ' ' ' tique dans ces cas, n ' est - e caracteris myptogam ag ét‘ p ‘ Pour quel ue*vé ' q . de démontrer l'intervention : ,getaux de la surface du corps, Il Serait difficile cependant Nous 11 fréquents … Trait … Histo |