OCR Text |
Show GÉNlÏl‘-.\LË. ANATOMlE P.\Tll0l0fllQl'E , PP ent Obli- ga. * on une plbase de dévelo em en aucune> faç (.:t n cei ' can le s dan mcnt isse de cas; mais le raiiioll' e, et dont ] ex15tence est p05_ des cfiets variés d'une nutrition t…uble toire; il n'v est autre chose qu'un pour nous, est celle de sa nutrition troublée, 292 sible sans être nécessaire. [ ia troisième période du cancer, Rappelons-nous . . , ' «' , cancer ' 1he , que le orhonnellement plus fi equent que le squn prop était oïde , éphal l'enc que ( até const > ‘ ' avon un grand, nombre. d'Organes, varie té. ll est d'observation que, dans mon est le tvpe, et le cancer dur une nts. ,Bien au conne facon plus mous que les canc‘ ers plus rece les cancers déjà anciens ne sont en aucu ds epanchememS de le rendent plus consistant. Les gran '-"'\ AAA _ *""MflÂMMM différent cet illus Ces C.‘ de tvpcs que nous allons analyser. et ces troubles affectent un gr and nombre "Gus diverses formes du cancer, selon les organes, avant tout que, dans la revue des . RHRAAA rurgie à phvmatoï traire le desséchemeiit ou l'infiltration ns le . 1ihal01dé beaucou p p lus‘ molle q ue. da ' d ' un, en ce 1-ta ' nte ' s's ' il' est vrai,' penv- ent1-0nd1-e la con… sanguins, l'ulcère manque bords et vastes cl du fond type. A .. r v , -v ' mecanique, eten aucune façon a un ramollissement principe- mais ici nous avons affaire a une action toute e, dans une cc1 tome etendue, 3 un tisSu c um s'étant subsntue molle d'un caillot sanc orc-mique 7 la Gelée c - _ ! ‘ ‘ ‘ ' , - ‘ . fins, ou il y en a u k \ ' - bords si c‘ «a-,- "A- plus ferme. les troubles de nutrition qui s'exerçaient sur les parties On a, de plus, pris pour du ramoll issemcnt n devenant plus volumineux, contracte des adhérences ambiantes. Un cancer du sein, par exemple, 0 se congestionne, s'enflamme et s'ulcère; ce même avec la peau; celle-ci, de plus en plus distendue, cancc1euse, mais dans ce cas le 1amolhssement ulcère, en s'agrandissant, envahit la surface de la tumem est plutôt l'efi‘ct que la cause de l'ulcère. toujours, L'ulcération du cancer doit nous occuper avant tout ici. On a cru aussi que le cancer y tendait type du pour mac l'esto de parce qu'on a pris le cancer du sein pour type du cancer externe, et celui compte des nom- cancer interne; mais là encore, dans ces deux localisations du cancer, on n'a pas tenu breux cas où l'ulcération n'avait pas lieu. branes, le foie e variées. Le cz vessie, arbores cancer, vibrione Il ré: ne s'ult D'après nos relevés, dans la moitié,des cas, le cancer du sein n'était point ulcéré, et il en étaitde même fréquer bé au de près de la moitié des cancers de l'estomac. Chez un septième de nos malades qui ont succom pas nor cancer utérin, il n'y avait ni ramollissement ni ulcération. Dans la peau, l'ulcération arrive, mais elle a tout z manque souvent. il en est de méme du cancer des os et du cancer de l'œil, où l'ulcération n'est que dans le tardive et due a son énorme développement. Le cancer des ovaires, du testicule, du foie, du péritoine, des centres nerveux, des reins et des poumons ne présente guère l'ulcération, et le ramollissementy manque infiniment plus souvent qu'il n'y existe. rations céreux, Une Lorsque l'ulcération s'établit, sa première apparition est bien plutôt due a la distension mécanique des au mili parties qui recouvrent le cancer qu'aux changements nutritifs survenus dans celui-ci. Plus tard, il est fort bic vrai, la surface du cancer la plus rapprochée de l'ulcère est superficiellement entamée par l'ulcération; compei en effet, d'un côté, celleci s'est propagéc de proche en proche, et d'un autre côté, la nutrition vas- cancer culaire de la tumeur cancéreuse a commencé a s'altérer, ne pouvant plus avoir la même régularité dans d'une les parties les plus superficielles que dans celles qui sont plus rapprochées du point de départ dela tumeur. C'est par une espèce de nécrose moléculaire qu'une partie de la tumeur s'en va en détritus. Des portions assez considérables de cancer peuvent s'en aller aussi par cette espèce de fonte ulcéreuse ou nécrosanle. Les cas d'ulcères cancéreux vastes, profonds, cralériformes, sont l'exception et non la règle; ils atteignent plus volontiers le squirrhe que l'encéphaloide, parce que, dans le squirrhe, la circulation est plus inégale, plus rare et plus facilement troublée, mais comme, a mesure que d'anciennes parties cancéreuses s'en vont ainsi, de nouvelles pantics se forment, il est rare qu'une partie cancéreuse dispa- de ne } tant qi lorsqu' plus cc Une expliqt émis c raisse complétement par l'ulcéi‘atioii. Dans l'encéphaloide, où la nutrition est beaucoup plus riche, nous nombr observons souvent que, la peau ou la muqueuse une fois nlcérées, le tissu morbide. loin de s'en aller en seulem détritus, prend au contraire un accroissement cvnbérant pour former de vastes champignons cancéreux qui peuvent atteindre des dimensions d'autant plus grandes que les barrières qui s'opposaient à leur développement sont plus complétement franchies ou rompues. On a voulu assigner a l'ulcere cancéreux des caractères spéciaux; cela tenait aux doctrines régnantes‘ maniè1 Il est un éta du lis: 3n veitu desquelles, il y a peu d'années encore, on regardait les ulcères comme des maladies spéciales ont la connaissance se rattachent même a un corps de doctrine tout spécial auquel on avait donné le nom . de ]lÛ]CUIO(ÏG ' J , . .a.æama.æu… … ' 'r pe1‘s…nn Cna ' ,- n …, ' )0tissel ' - .v ., _. _ _ _ professeur de Chle\a°…û"O" " " b"JCt plus le… que Bust, anmen qu'une parfait |