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Show . t plus long ptique, il est, en moyenne,dïm tiers à un quar doit. Il va sans dire que lorsque le noyau est elli nt developpés. t moindres dans les éléments 1ncompléteme quelarge. Les dimensions sont naturellemen l elementqu1 frappe lques granules pâles dans le noyau, mms Dans l'état normal, on rencontre bien que d, terne etbien plus volumineux, cés est le nucleole. Lelur--c1€ st gran les observateurs même les moins exer . . quelOn en trouve .. un, deux, autres espèces de cellules. bien plus frappant d'aspect que dans toutes les cancéfi a... sistanc et les ! plus al 0utl il faut les allé 004 et de 0 """,0033; on le voit atteindre 0""", moyenne varie entre cette mesure et celle préven Les la nature desquelles nous non temps pour des nucléoles secondaires, et sur nous prononcer. l'on rencontre (1 ans la grande majorité des cas, se On voit donc que la cellule cancéreusc, type que le noyau multiformité de la paroi cellulaire, par distingue par des dimensions moyenne s fixes, par la enveloppe, et par son nucléole terne, grand et volumineux, tant en lui-même que par rapport a son ineux ‘a gr ands nucléoles dans certaines tumeurs trés apparent. On trouve bien parfois des noyaux volum sement de'velol jours n les y voit entourés de la large paroi plissée épidcrmiques. mais ce sont des exceptions; le plus souven t on La ( s dans le ou plusreurs grandes molécules que nous avons prise alors on reconnaît dans son intérieur une s abstenons aujourd'hui de ""‘-««AAA -AAAAAAA AAAnÀÂ" ,." 0850115 de 0H…30020, et sa dlmen510" quefois trois, rarement au delà. ll est très rare de l'observer all-(1 0""",005, et concentriques de l'épiderme, et feuilletée de l'épiderme pavimenteux; on y trouve en outre les globes liales, et enfin on voit, en pareil dont nous avons déjà parlé plus haut a l'occasion des tumeurs épitllé l'erreur n'est pas sérieusement cas, un si grand nombre de cellules épidermiques non douteuses, que des scrences naturelles . La necesszle de tenzr possible. Aussr rcpétons-nous 101 l‘axrome fondamental ‘ r ' y ' . des cel si com des cel granul< degré, former noyau ! étude zsolee des caractères, compte de [ensemble des caracteres, mél/rode qut comitat à la cérzte', [andzs que et paradoxales. poussée à ses dernières ccnzsdquences logiques, ne conduit qu'à des notions fausses qui cor degré, variétés. Jetons à pré- Nous avons décritla cellule cancéreuse normale déjà avec quelques-unes de ses surtout est très sent nn coup d'œil sur deux autres variétés qui sont également normales, et dont l'une jusqu'à parois concentriques. fréquente dans le cancer : ce sont les cellules mères du cancer et les cellules à naît la: présentant Les cellules mères sont caractérisées par la multiplicité de leurs noyaux; ceux-ci, tout en et au leurs caractères ordinaires, peuvent exister au nombre de trois, de quatre, et jusqu'à dix, quinze lules qi cellules simples. Les delà. Quant aux cellules à deux noyaux, nous les regardons encore comme des dimensions de ces cellules mères, dont les parois sont toujours bien délimitées, sont portées à 0"'"‘,04 et M. Vir . \ . a (l"‘"',0ti et au delà. Outre les noyaux, on trouve dans leur intérieur quelquefois des cellules complètes, seules ou cntremélécs avec des noyaux. Quant aux cellules cancéreuses concentriques, nous trouvons dans nos observations etdans nos dessins, aujourd'hui bien autrement nombreux qu'à l'époque de la publication de notre Physiologie pathologique» un grand nombre d'exemples de cette forme observée dans les organes les plus divers, dans le testicule, dans les poumons, dans la glande mammaire, dans l‘épiploon. Tantôt la paroi cellulaire complète était entourée d'une autre paroi tout aussi régulière et plus grande, tantôt la concentricité consistait dans plusieurs membranes d'enveloppes superposées, d'apparence lamelleuse. Nous avons rencontré ces cel- lules concentriques en particulier dans la forme collo'ide du cancer. Il va sans dire que nous ne confondons pas ces cellules concentriques, un peu plus grandes seulement que les cellules ordinaires du cancer, avec les globes concentriques d'épiderme du cancroïde, formation que personne, à coup sûr, n'a étudiée L'ép égalem Nou: endogè venons pond p une pa Elle pl la cavi totalité La d elle do cellule laire s' avec autant de soin que nous. llu reste, M. Charles Robin a observé aussi un grand nombre de fois de cales à vraies cellules concentriques dans le cancer. POur ai .l\ous avons déjà dit plus haut qu'il y a des circonstances dans lesquelles l'examen microscopique ne faisait pas reconnaître, dans une tumeur cancéreusc, les caractères types de la cellule. D'abord le fait espaœ Dans (l‘ est assez exceptionnel (deux a trois fois sur cent) pour ne pas infirmer la règle de sa forme spéciale- Epstpte cesont surtout des cellules incomplétemeat développées dans lesquelles la paroi cellulaire Il existe rwdrnarrement pas, et dont les noyaux assez petits, de 0""",005 a 0""",006, ne renferment qu'exceptronnellenrent un nucléole caractéristirprc. Ces cellules, incomplétement développées, que nous décri- phérie< nous pa 51 ce ph lules d. l\.Ugu.b-…CC (,…… plus "'""i 50 50… surtout rencontrées dans des tumeurs cancéreuses très molles et (l"l l'état lil " "…e… d°"Cl0lïl)eos ""Ce une grande rapidité. Trois fois nous avons constaté ce fait dans des encépha- il! ()p_ lo'idcs de l'intérie ur' due l ' os.‘ l\ou> . . ons egale fait remarque dans plusie ' . av '. . ment . tion ' la même ' ' urs cas d'infec . . '55*2:7 . J. |' _ .-‘.'..( ,AQszaæun" .,fi . GÉNÉRALE. ANÀTÛNHE PATHÛLOGlQUE 250 -,.. . --.u...._,_ __ ." Al |