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Show GENERALE ANATUDHE RYHHHAXHQUE . . A‘ 2ùli . follicules de tnaaf, seulement il faut on kysteuse des tirent leu;« origine d'une dilatati , trai clés nter d' _ à -po spé a la transformatmn kysteuse, qui cnrste dans les 0Vilireg . ciale pour que cette tendance une "|SpOSt ] proper tions considérables et vraiment morb1des. Lorsque le kvste de tous les mammifères, prenne des tenu finemente, , non-seulement sa par… s'epatssd et son con prend ainsi un accrorssement con51derable du tissu de l'ovaire s'hypertrophient, ce qui parties ambiantes mais pendant quelqu e temps encore, les ée al a substance même de cette glande. A mesure que le kyste faitqu'une partie du kyste est intimementli rts e t de position qui s'étendent àla matrice et a ses ligagrandit, surviennent des changements de rappo . . fort rem…" ables aver que nous les . .' r\A .qunAñ / sA‘AMM È.A.' "AM _ a PP (lue 165 grands "y ' confluence» 0 €" °. tv en COfÛ nettemefl _ rudn plus q ac des Les kystes collc contrent des Parti adbé rences ‘avec les l mrties voisines du péri'. ments. Ces kystes devenant volumineux contractent des p…}… la forma… toine, des intestins, du foie, etc. constitue une mal dans les reins. À temps qtt'il grandit, ou s'3mincir et préTant que le kyste reste simple, il peut ou s'épaissir en même tion calcaire est tres rare dans ces kystes simples parer ainsi une rupture fort da ngereuse. L'incrusta ir le siege d un travail hypertmphlque d'une certaine dimension. La couche épitliéliale interne peut deven vascular1te devient partiel, ce qui donne heu a un eparsstssement et a des œgetattons saillantcs. La hémorrhagies ordinairement assez considérable à la surface de la paroi interne, ce qui fait que de petites c0mmun entre les la thyroïde, const av€Cl€5 vrais éléfl du sang laissent dans l'intérieur modifient le contenu, tandis que des infiltrations de matière colorante Les kystes coll( autogène doit néo par taches plus pour résidu, en dernière analyse, une teinte mélanique répartie ca et là par places ou qu'il faudrait égal , et alors de étendues. Lorsqu'un travail inflammatoire survient, l'exsudation est volontiers purulente fausses membranes peuvent se déposer à la face interne, et du pus se mêle souvent au contenu. par le mélange avec des Le liquide des kystes reste pendant longtemps citrin; il est quelquefois trouble cellules épithéliales provenant d'une desquamation abondante et continuelle de la paroi interne, et qui subissent l'infiltration granulo-graisseuse. il n'est pas rare d'y trouver des paillettes de cholestérine. Dans les épaississements partiels de la paroi, on rencontre des concrétious terreuses et calcaires. Dans les kystes composés, nous observons en général un kyste principal, et autour de celui-ci un certain nombre de kystesà divers degrés de développement. Le kyste principal peut être unique, simple ou multiloculaire, et il n'est pas fort rare qu'à côté d'un très grand kyste, il s'en trouve encore un ou plusieurs de dimensions notables. Ce point est très important dans la pratique, parce qu'en cas pareil, lorsqu'on fait la ponction muni d'un trocart long et recourbé, on peut, après avoir ponctionné le kyste principal, pratiquer la même opération sur les kystes collatéraux, ce dontM. Barth a cité plusieurs exemples à la Société anatomique. Il est très commun de voir dans les grands kystes, qui peu à peu peuvent non-seulement remplir tout l'abdomen, mais le distendre même énormément, des kystes à divers degrés de développement à la face interne du kyste principal, et dont le volume, d'abord très petit, atteint, comme saillie intra-kysteuse, les dimensions d'une petite pomme, et bien au delà. A la surface interne de ces kystes, on retrouve encore un épithélium très manifeste. Si le contenu des grands kystes, dans des cas semblables, peut offrir des modifications considérables par son mélange avec les éléments du sang ou des produits (l'inflammation, les petits kystes, qui font saillie dans l'intérieur, sont remplis plutôt par un liquide visqueux, transparent, qui tient en suspension une multitude d'épithéliums altérés. Nous nous sommes demandé si, en pareil cas, ces kystes saillants a l'intérieur étaient de tout point de formation nouvelle ou s'ils s'étaient d'abord développés, et ayant fait saillie ensuite dans le grand kyste principal, avaient simplement pénétré par voisinage. Probablement l'un et l'autre mode de formation peuvent avoir lieu pour ces kystes secondaires aussi bien que pour les kystes tertiaires, que l'on trouve quelquefois à leur surface interne. Il est certain pour nous, d'après de nombreuses observations, que l'impulsion à la formation kysteuse une fois donnée dans un organe, même par l'élargissement primitif de cavités normales, il survient ensuite une tendance très prononcée à la formation autogène de kystes. de follicules de ( simple dispute de Lorsqu'on cran l'ovaire ou de tum de l'un ou des dc blement épaissiet que toute la surfe kysteuses bombét ci s'aplatissant v« ces kystes. On pe et en faisant sort sont les cellules ( lorsqu'on pratiqn un tissu aréolain difficile a démon sortir de l'intéri l'aspect d'un sin Nous insistons que l'on rencontt l'ovaire, nous re ruche d'abeilles: dans le cancer gr renfermant une microscope, on } pente fibreuse q cette substance g sa substance, et Outre les kystes que l'on trouve a la surface interne, il n'est pas très rare d'y rencontrer des exercis- terres, on la voit sances charnues partielles que nous avons trouvées composées d'éléments épithéliaux ou fibre-plastiquesNous possédons plusieurs faits d'alcérations de ces kystes qui ont donné lieu à des péritonites mortelles. Dans un de ces cas, nous avons observé le fait curieux, signalé par plusieurs auteurs, d'une tendance cura- Dans nos Ol)St tive manifeste avec retrait graduel, constaté déjà pendant la vie dans les parois du kyste; celui-ci avait "bl, Outre le retrait, une infiltration calcaire dans laquelle nous avons rencontré une fois des concrétions deux substances constituée par … 0uinftltrées de g démontrer tous Il AMT. l‘ATIl ÛL. \\.! …:.t.‘i‘a_; .V:.z. |