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Show certain nombre d'années, une autre glande lymphatique puisse subir la même altération; toutefois ce lt continuel n'est pas la une récidive à proprement parler. Il nous reste donc 13 cas de vraies récidives sur (33 cas 'ée pendant 5 trois der- de tumeurs fibre-plastiques autogénes, ce qui fait a peu près un cirrr,priérne; et cette proportion doit 6 la tumeur être plus forte encore, puisque, malgré toute la peine que nous nous sommes donnée pour suivre pendant longtemps un certain nombre de ces malades, cela ne nous a pas toujours été possible. En tout une tumeur cas ce chiffre, fùtAil même plus considérable, établit pourtant déja une énorme différence entre les tumeurs : fréquentes fibre-plastiques et le cancer, dans lequel la récidive est a peu prés mms-tante et presque fatale. Dans les tumeurs libro-plastiques, elle a lieu sur place, dans le cancer, elle peut avoir lieu partout. En un mot, tumeurs. les cas de généralisation exceptés, rares dans les tumeurs libro-plastiques, très fréquents dans le cancer, leur marche nous voyons, dans l'une des affections, le cachet d'une maladie qui, tout en pouvant suivre une marche six cas dans "ame nombre pas le mal d'étre d'emblée général et constitutionnel; différence capitale pour les doctrines pathologirpres et pour la pratique. En analysant ces treize cas de récidives, on trouvera la pleine confirmation de tout »tails de plus ce que nous venons d'avancer. Six fois, sur les treize cas de récidives, celle-ci était due a des opérations rrtir de l'en. incomplètes, ce qui ne pouvait, en aucune façon, être imputé aux chirurgiens qui ont pratiqué ces opérations, mais en bonne partie £1l'extension diffuse de la maladie. Nous allons jeter un coup d'oeil surces fort grave, est cependant locale, tandis que dans l'autre, une marche en apparence bénigne n'empêche e de 15 ans, Lié de la vie, & et 50 ans. à 50 ans, et cas, dont nous ne pouvons donner ici qu'un court résumé. 1" Un homme de trente-deux ans porte a l'avant-bras droit une tumeur doutla premiére origine remonte au delà de quatre ans, et qui, depuis deux ans et demi surtout, a attiré son attention. Depuis dix-huit mois, elle a pris un grand accroissement, et elle s'est étendue dans les parties les plus prof«mdes de l'avant-bras. On tente l'extirpalion, mais on n'enlève que les parties les plus superficielles. Aussi le ivers âges de ca çl_aæ.al@u_ mal ne cesse de s'accroître; la place de l'opération se cicatrise bien a la surface, mais déjà, peu de mois après la première opération, on constate l'existence d'une tumeur ayant presque le volume d'une tête d'adulte, qui occupe les cinq sixièmes de l'avant-bras; elle a à2 centimètres de circonférence sur 19 cen- timètres de longueur. La santé générale est restée bonne. L'ampatation est pratiquée, et l'on constate, en disséquant la tumeur, qu'elle envoie des prolongements entre les parties musculaires les plus profondes, qu'elle a même dénudé la surface du radins. Le malade a bien guéri de l'amputalion, et ne s'est plus présenté pour une nouvelle opération. Sans donner ce fait comme un exemple de guérison, nous voyons Cependant qu'il s'agit plutôt de la continuation d'une maladie première que d'une récidive. l'infection 2" Un malade, dont nous parlerons tout à l'heure avec quelques détails a l'occasion de ée en doute volumineuse du générale qui survient quelquefois dans les tumeurs libro-plastiques, présente une tumeur car, malheu- testicule. On en fait l'ablation, et l'on constate une vaste tumeur libro-plastique qui prend son point de départ dans l'épididyme; mais déjà, pendant l'opération, on peut se convaincre que l'altération se prolonge d une le long du cordon spermaquue, dans la cavité abdominale; aussi s'aperçort-on du dcv<.lo1qument ultérieure fût fort tumeur abdominale peu de temps après la cas/ration. Ici encore, bien que la marche grave etinfectante, il y ont plutôt continuation de la maladie première que récidive. it le sujet de n de Vaud et ter la persis- é et de mali- une tumeur 3" Une jeune lille âgée de quatorze ans, réglée depuis un au, présente dans la bouche icore en [W l0u5 pouvons r la forme de 35 pour n0U5 supérieure. Un en molle, du volume d'une noisette, qui est située arr-devant des ineisions de la malchoire , au bout de deux fait l'ablation ; mais une nouvelle tumeur ne tarde pas a apparaitre sur place, et déjà de précaution, on eautérise le fond mois, une nouvelle opération est pratiquée, aprés laquelle, pour plus récidive sur place de la plaie avec le fer chauffé à blanc; la santé gé nérale reste bonne, mais une nouvelle *. d'un 0l‘ë*‘"" tous pû…"S ire supérieure. Un ne tarde pas a survenir, et l'on se décide alors a enlever une grande partie del a mâcho prend son peut se convaincre alors que la tume ur, dont le microscope démontre la nature libro-plastique, ons antérieures on 11 avait fait, pour origine dans la substance de la mâchoire même, et que dans les operati pratrquvt, l'd ainsi dire, que couper les branches sans atteindre la racine, aussi l'excrsron complete etant t il nous res"3 malade guérit définitivement. , accompflê"é nous n‘avons dans l'hlPel' .érieurê d‘une liée: remp"€ 'au bout d'un . . tres P ., '( n ]ne nicatrons < ' de'- c… '" lc\ btl_]0t « a' laut . - rcpiises, ' " - a (lillerentes li." Un malade âge' de trente ans, qui, eu 4--- =-»… l\‘18unerentcarree. '. . '. sc lait deLlltl L ' de chnurgrc, a\ la Socrété de M. Chassarguac intéressantes "‘5 po l]'i"' ; pl "\"l ‘\ l \ ll "\'mlcrrcurc, lCc cone .‘. \ la. machonc de temps après, une tumeur apparait a la face externe de poule, elle presente une mollesse dant a la dent arrachée; peu a peu elle atteint le volume d'un oeuf de 518 Anar. mrnor..--lî" i.|vr.. " ns 5légeam ‘,\'1‘Ï. "‘:‘3! ','_' l‘,. 18€) ‘ 1 .Îv".'), !" ?. lllfiS l'llllllbtl'l'lthS ET l)liS 'l'l'llfil'llS l"llllttl-l'L;\STlQI'IiS. |