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Show '«h -.' laire et les apophyscs ptérygoïdes. On voyait donc, extérieurement, une uiasse a peu près du voluriie du poing d‘uri petit enfant. implantée our une tumeur ; fosses nasales. ses forces et lui sur les os de la base du crâne., et en particulier sur la face inférieure de la grande aile du FliItf‘tltrtili'. La cloison du ner. était complétement. device à gauche. Extérieurement et en a nul, la tumeur errv‘ovait des pl‘(rl()ligt‘fltt‘tti$ dans le sommet du pharvnx, dans la fosse _zvgomatique et dans la fosse. trasale droite. Elle semblait provenir des parties libre-uses qui tapissent le trou déchiré antérieur. La portion de la tumeur située dans la fosse 7._vgornatique avait envoyé un prolongerirerrt cylindrique dans l‘orbite, a travers la fente a ligatur‘e. mais , et nous pùnies plat. Ir‘lif‘lllûh dicule adlic'r'ait. itérieur; il avait ;e der nière avait : par rapport au splrérro-maxillaii‘c, et ce prolongement avait pénétré dans le crâne. a travers la fente splrérroïdalc, dilatéc en forme de canal. .\ part en prolongement de la tumeur externe vers la base du crane, il existe une tumeur rnultilobulée qui remplit la fosse temporale interne droite et qui ne parait point avoir de connexion directe avec la masse principale; elle s‘est dcvcloppée sur le feuillet interne de la dure-mère, elle recouvre le nerf de la cinquième paire et le, prolongement intracrz‘urien dela tumeur de la fosse zygornatique, mais sans lien aucun avec elle. La partie antérieure de la tumeur externe était peu vasculaire, tandis que la partie profonde offrait un grande vascularité, la tumeur extérieure, ainsi que l‘intracr;‘tnicnrre, otli‘ait tous les caractères histologiques (les tumeurs tilrreuses LX\‘III. -- .Ye‘uronie du pli du cow/e. {Pl. XXI, tig. li-6.) ri avait de‘primé nue. d'un pois et une consistaiiee i‘ir l‘intérieur (le rurs sont encore a contours nets, :es au moyen du vait un mélange rant tout au plus rte est recouvert ; maxillaire droit ten arrière dans Cette pièce curieuse m‘avait été remise par M. Michou. Voici le résumé de l‘observation que j‘ai recueillie, ainsi que celui de la dissection de. la pièce. Un homme âgé de trente ans est entré, au commencement de février, dans le service de M. Michou, a l'hôpital de la Pitié, pour se faire opérer d‘une tumeur qu'il portait au pli du coude. Le malade s'est aperçu de l‘existence d'une grosseur a la partie inférieure du bras gauche, audessus du pli du coude, il l‘âge de quinze airs ; la tumeur, a cette époque, avait le volume d‘une noisette, et, par conséquent, son origine doit remonter plus loin encore. Jusqu‘il y a quatre mois, la tumeur n'a cessé de grossir, et a peu a peu atteint le volume d'un œufdé poule. Pendant tout ce temps, elle irc donnait lieu a aucun symptôme-. le malade, qui est labour'eur', se servait aussi bien du bras gauche que du bras droit, aucun de ses mouvements n‘était gêné, le bras n'était le siege d'aucune douleur. Depuis trois à quatre mois, au contraire, la tumeur est devenue peu à peu le siége de douleurs vives, tion influencées par les changements atmosphériques, mais beaucoup plus fortes pendant la nuit, et qui l'enrpèclraierrt souvent de dormir. Ces douleurs s‘étendaierrt à tout le membre supérieur, sans suivra: un trajet linéaire. Une forte pression sur la tumeur les provoquait ; celle-ci avait continué a augmenter de volume, mais pas d'une manière tout a fait ilispr'oportioiinéo. L‘opération n‘a rien présenté il'extraordinaire, et le malade a bien guéri. E;camen (le la pièce. -- La trirneur a un peu au delà de 7 centimètres de longueur sur 6 de largeur" et d'épaisseur; elle est d'une consis- tance fer'nie, élastique. Extérieurernerrt7 elle est entourée d‘une enveloppe tibr‘O-cellulcuse qui adhère intimement a sa surface. Lorsqu'on dissèque celle-ci, on retrouve facilement, aux deux extrémités, le bout supérieur et le bout inférieur du nerf cubital, dans lequel la tumeur était située. Après avoir enlevé le tissu cellulaire et la gaine commune du nerf, on arrive, en Iraut et en bas, a (lisséqricr une espece de ru génienne, une tronc nerveux qui, de chaque côté, s‘étend en plusieurs branches le long de la tumeur; chacune de ces branches, parvenue a une certaine distance de son origine, s'épanouit en forme de patte d‘oie; les filets ne partent généralement des branches que sorts un angle aigu ; les lobules qui corr- 3 qui est couchée ae de deux grands ucorc de lobes et deux bouts du nerfs‘éparrouisscnt l'un sur le côté antérieur, l‘autre sur le côté postérieur de la tumeur. En certain nombre de tilcts s‘enfoncent a quelques rnillimi‘tres de profondeur, mais pas un seul ne pénètre plus profondément dans l'intérieur de la substance du névrome. On constate de nombreuses auastomoses, et même une continuité réelle entre un certain nombre de branches du bout intérieur et du bout f très vasculaire. supérieur du nerf; la direction de toutes ces communications est tout a fait oblique et suit la direction diagonale de la position du tronc supérieur et intérieur. Un certain nombre de ces arrnstonioscs n‘ont lieu qu‘a une profondeurde '1 a 3 millimètres. Sous le feuillet tibro-celluleux de la surface, on voit des arborisations fines de vaisseaux qui, sans être très rapprochées, se trouvent ; sens, on trouve cependant sur toute la périphérie et envoient des ramuscules vers l‘intérieur. Quelques-uns de ces vaisseaux sont tortueux; en général, iis le rose. La où la 35 fibreuses et les 3 de la portion de ; se trouvent àsa ‘0-plastiques, on es, avec un petit splrénoi‘daux. 32 lequel, gràceà , par un heureux sont fins, droits, et forment des réseaux à mailles larges. La substance de la tumeur, d'un jaune pâle et luisairt, légèrement rosée a la surface, ne donne point, a la pression, de liquide trouble, mais une très petite quantité seulement d‘un liquide transparent; le tissu parait homogène et l‘intrication tibreuse n‘est guère apparente à l'œil nu. Lorsqu'on examine la substance au microscope dans les endroits de la surface auprès desquels les filets nerveux s‘épairouissent, on reconnait distinctement les fibres primitives des nerfs, mais séparées et éloignées les trucs des autres par du tissu libreux interpose. L‘examen microscopique nous rend compte d'un fait qui nous avait frappé pendant la dissection, c‘est du volume du bout supérieur plus considérable que celui de l'extrémité qui sort de la tumeur. Nous trouvons, outre les fibres (li"0"t-"Ïllltfs "" ""‘"… d"""""…"r "" grand nombre de libres primitives qui partent isolées ou en petit nombre des filets auxquels elles appartiennent, sous un angle beaucoup plus ouvert, et forment ainsi un réseau invisible à l‘oeil nu sur une grande partie de la surface du névromc. . ‘ . L‘intérieur de la tumeur est entiérement composé de tissu tibreux dans lequel il n'y a plus d‘éléments cellulaires iii libro-plastiques, . . . , . , . . .. _ry;\_ . ... . .; .." "'-3; ‘;]… mars exclusivement un tissu a fibres tures, isolees ou disposecs en faisceaux, et ici.ii.is ensemble par une siibst tll(,t, iiiterinedrarri iinoii e rvient d'un jeun ès apr è ul ll pu re ris frit refoulé par sa itteindre dans asse morbide P… -,|S s‘étenWoods; itement guet" i. La . . , , ._ ‘ . - r .. ‘t \ ' - et incolore. La direction des fibres suit partout l'axe longitudinal de la tumeur, et la texture des libres ou est parallcle ou forme un . . . . . \-. . --1 -‘ ;_'3‘i"fS. lt til (It rn\ Irorrzont plans de entrecrorsenrerrt longitudinal, un espece de leritr‘rige sous des angles tres aigus, ie n ai pu trouver I.XIX - .\‘éiji'0iiitæs‘ iiiil!![ples. (Pl. XXII, fig. 2 et 31 pl. XXIII, fig. 1-9.) itt "rh, _rlç 'æ te communication de .Il. le docteur >- ,HU‘…>‘.Swié a etc le Sth‘.l " Le fait ' d'une interessan " dont nous allons rapporter le résume"' . u ( c g "cricri de l‘Instorrc lulu ar ] donner % lequel ° € * " ‘ dans ‘ ' " un rapport du 26 _}aII\'ICI‘ ' ‘ charge' de lune ' J‘ai' ete ‘ 1832. ‘ de Chll‘Ufëtt‘, ‘ ‘ dans sa seance ‘ névrorne. (.Ilfimoz‘res de la Saei'r‘/e' (le chirurgie, (. III, fascie. 3.) l‘rr homme agé de. vingt-six ans porte, depuis cinq mois, des tumeurs dans 1 orne, sur les par‘ors abdominnlcs, au cou,. a l‘aisscllo, au les mouve- bras. A part quelques légères douleurs au cou et à l‘aisscllc, les autres tumeurs ne sont un peu douloureu, ses qua la ‘ pression; ( ". D 1-i jeu rr @ homme_. de >sinu5 5?" énoldttl ments de la cuisse sont génés par la tumeur iiigiiiriale. Lue petite tumeur de. la paroi abdominale enlcvce par .\I. t-ossclrn se Ilthtlÿlt'ccuniposée de tissu fibreux. l‘en de temps après, III. tliraldés enlève la tumeur de l‘ame, qui offre la même structure. Le malade ir cprouve que quelques douleurs vagues, et seulement aux changements atmosphériques; ce n‘est que vers la lin que des douleurs plus trxes se montrent ANAT. rnnor..- Îr‘ i.ivu. "4 \ 173 et avait pénétré a la face interne de la base du c "fine jusqu'à la base du cerveau. Elle avait contracté des adlrérences avec l‘apoplrvse basi- °t'rzu- i‘.a ran-;vr'x-‘r'.-.*v- DES PRODUCTIONS FIBROIDES ET FIBREI'SES ACCIDENTELLES. |