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Show w; l'."."*.‘."'f. v-;.'r.‘cr | Ce ne serait pas ici le lieu de donner une description détaillée des phlébolithes, mais je dois dire que, un examen souvent, en en comparant entre eux un certain nombre, j'ai été frappé de ce fait, qu'on y rencontrait . trfaitemeut :orrespond tous les passages entre des petites pierres arrondies, surtout ovoïdes, lisses ou montrant une espèce de l'autopsie, bile, d'autres piriformes, et d'autres encore d'apparence presque pédiculée. La même circonstance m'a inconnue, frappé également dans les beaux dessins de phlébolithes que contiennent les planches de Carsvvell, et je ler sous le recommande surtout les numéros 3, /i et 7 de la figure 2 de la III" planche des tissus analogues a l'atten- ëtait, entre tion des anatomistes. Carswell ajoute à sa description cette phrase remarquable qu'on « les trouvait | a ensuite it a l'heure entourés d'une espèce de membrane séreuse (they are contained in a serons enveloppe). » Dans un passage qui vient à l'appui de cette manière de voir, M. Andre] (lit (1), en parlant des phlébolithes, que ce sont et luisants, des corps étrangers calcaires qui poussent au-devant, d'eux la paroi interne de la veine, qui sont alors connue pédiculés, et il les compare aux corps étrangers des articulations. ant dans le Rokitansky ("2) a observé aussi qu'on les trouvait quelquefois accolés étroitement à la surface interne de la veine, et qu'on les rencontrait assez fréquemment dans les espèces d'évaginalions latérales des veines; acentriques mais quant au mode d'origine de ces productions, nous cessons d'être d'accord avec cet auteur, dont ; mais quel e Liliacée. e l'oignon; le nombre on peut se accolées les étroits, et, l'opinion a étéà peu près généralement adoptée en Allemagne, et qui les envisage comme des coagulations sanguines concentriques. Pour nous, l'identité de structure qui existe entre ces couches concentriques des phlébolithes et les corps étrangers des membranes séreuses est d‘un grand poids; seulement les premiers n'atteignent guère les grandes dimensions des derniers et ont une disposition plus précoce àla calcifica- tion; mais on rencontre également les degrés intermédiaires entre ces corps intraveineux pédiculés, adhérents, mous, d'autres déjà détachés, encore mous, déjà calcifiés vers leur centre, et d'autres enfin complétement calcifiés, mais toujours avec ces mêmes couches concentriques. Il arrive cependant, comme tué tout un dans les couches concentriques des corps étrangers des membranes séreuses, qu'avec le temps, elles cent occupé celui d'une deviennent plus diffuses, que des cavités irrégulières s'y forment, et qu'en un mot, leur aspect typique s'efface. Nous citerons enfin ce fait, pour nous d'une grande importance, de la coexistence de phlébo- nortier peu lithes dans les veines ovariques et de corps étrangers dans le péritoine, les uns et les autres à structure 1per depuis )rps ovoide à peu près identique, dans l'observation intéressante de M. Barth, qui a eu la bonté de mettre toutes ces pièces à notre disposition. Il reste encore des observations ultérieures à faire sur les premières ns lequel la périodes de la formation des phlébolithes, mais j'ai la conviction qu'on reconstruira pour eux tous les abord dans 5 par deux )s de moyen itrecroisant degrés intermédiaires jusqu'à une simple saillie ou légère végétation intraveineuse, comme pour les corps étrangers du péritoine. Quelques observateurs ont cru expliquer l'origine des Corps étrangers du péritoine en les considérant comme des corps fibreux de l'utérus qui seraient tombés dans la cavité abdominale. Rien de plus diffé- ermédiaire, rent que la structure des deux sortes de choses, sans compter qu'un des siéges de prédilection de cette production est la tunique vaginale chez l'homme. Parmi les observations de corps étrangers du péritoine, sont étroits, communiquées à la Société anatomique, deux se rapportent évidemment à des hommes. L'une est due a substance aut au tissu a M. Letixerant (3), l'autre est l'observation, sans contredit la plus complète de ce genre, que nous pos- sédions. C'est ce fait remarquable observé par M. Deville (1), relatifà un homme chez lequel plusieurs uel que soit corps étrangers se trouvaient dans le péritoine; seulement nous ne partageons pas la manière de voir suffit pour de notre honorable collègue et ami, lorsqu'il professe que ces corps se forment par la saillie d'un ap- pendice graisseux qui se coifferait pour ainsi dire d'une enveloppe épaissie du péritoine, et qui, après ique. Quant ranules très 15 la potass€ angers dela itées parles s l'intérieur rit en grand ma Pla/sio- igurer dans s'être pédiculé, finirait par se détacher et par devenir un corps flottant et libre. Outre les faits dont il sera question à la fin de ce chapitre, je dois citer ici le premier quej'ai observé, et qui a rapport a la pathologie comparée. Le 10 novembre 1813, j'ai assisté, à l'école vétérinaire de Berlin, à l'autopsie d'un cheval qui avait succombé au tétauos consécutif à une blessure du pied droit de derrière. Ce cheval ne présenta, du reste, à l'autopsie, aucune lésion particulière dans les centres ' ' , ° 1 1 ' ) nerveux; on constate seulement, chez l…, une forte congestion pulmonaire et hepattquc, et dans le forc, … Précis d'anatomie pathologique, (. ll, p. MQ. (?) Op. cit., !. ll, p. 653. raphes alle(3) Bulletins de la 5t.cie'té anatomique, 18110, ]‘. 3/48. ail. (à) Bulletins de la Secie'té analmniqzm, 18.31, p. 1Î0 il 129. ANAT. PATIIOI.. - 5' LIVE. [13 '1'.'.'I',‘.‘ I‘. . 169 ." '- v ;. DES PRODUCTIONS FIBROlDES ET FIBREL'SES ACClDENTELLES. 1 tissu cel- |