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Show lt)…à tlltNElh\blü. _ \\' \'l'thllfi l‘.\'l‘lltlLt)ti . \ mde ou (le l ulce.re longeant . llantes, du cancer encépl1al es sai distinguer ces végétations gré nues., lobulé , rs à ces malades, soit par ter de bonne heure secou por de même a rs toujou ue presq de la matrice, on est cas seuls que l'extirpation du eismn, et c es t même dans ces l'ex par soit s, onde prof ns atio s (les cautéris s nous a montré exactement les même quée,, ] 7la structure de ces tumeur "a l ".etat nm . mal, co l d e l' u té rus nous para it indi t tres exagérés et bien plus vasculai ises qu éléments vasculaires et épidermiques seulemen une espece d'infiltration épithéliale. duiee, tout le col subit et, en outre, au bout d'un certain temps de plies de le…. titude de petites glandule rem mul une ance, subst cette de u milie au On reconnaît encore, ‘\ , "" … ' A ‘I . 'ÂW_ MMM"w." D "' ' pillairoñ ‘.lgélflllons Pa 'A A rl- . ‘ peuvent . , de' la matrice les altérations épitliehalés du col épithélium. Outre l'hypertrophie papillaire, u5é du col, Ou le derme, une infiltration épithéliule tlil‘l reconnaître pour point de départ, comme dans hypertr0phies glandules. [ .e développement ultérieur des une infiltration provenant de l'intérieur des croissances les ,et , (l'ex . nouvelle d'une multitude de ‘papil papillaires est tel qu'il faut admettr e la formation . . pap1lhilite d e l'origine autogene de vegetaüous arborescentes. Ce fait parle au551 en faveur de la possib _ , ations dendritiques et ‘arborescentes des mu- termes au col de l'utérus, qu i correspondraient aux végét de bonne heure infiltrées e, qm peuvent et1e de simples excroissances ou être A - . l‘ex-ame ‘ 0ill ave. A onrrions même "lou… a ( e cancroïd locale du ur mm, qi probable, po observe tous avons a é à la surf en a observ tout «: Il résulte de tituent, pupillairé= cons ants a des plus import ister Comme il n'ex cancr tant simples que pendantes. ‘ queuses vésmale et stomacal \ ‘ enim, que des t]lCereg v ' Il nest pas douteux, d'aliments cancéreux et constituer le cancer dendritique. humeur ou d'une infiltration ep1thebale, pmssenL rongeants primitifs, non précédés d'une végétation , d'une es dans ma Physiologie pathologique. se former au col de la matrice, fait dont j'ai déjà cité des exempl s, nous avons, en général, constaté Dans cinq cas de c ancroïde de la langue que nous avons observé en était plus molle, plus humide, et une structure analogue au cancr oïde cutané, seulement la surface lium buccal. Les glandes sublinl'épithélium de la surface présentait les grandes dimensions de l'épithé éiiiié. Malheureusement nous n'avons pas, sur guales étaient plu51eurs l015 engorgées et mhltrées (l'epid rs est-il qu'il en résulte le pré- ces cas, des notes aussi détaillées que sur nos autres observations. Toujou de ces caucroïdes. Dans la cepte de nejamais laisser de glandes engorgées, si l'on fait l'extirpation d'un tant en p10fondem qu en surface, langue, ce mal a une tendance à se propager d'une maniere diffuse, ‘ ' . _ ' fi ‘ v / < ( A ‘ . depots multiples. ce qui rend son pronostic naturellement beaucoup plus grave. J'y ai aus5i obseive des J'ai vu un cancroïde papillaire très étendu de la fosse nas ale qui a nécessité l'extirpation du maxillaire t vu supérieur; ce cas est, jusqu'à présent, à ma connaissance, unique dans la science. J'ai égalemen deux fois des cancroïdes papillaires et végétauts du larynx. Deux observations analogues se trouvent dans . les Bulletins de la Société anatomique (ll./ L'une des pièces a été présentée par M. Bauebet; elle provenait d'un homme âgé de quarante-huit ans, qui, après plusieurs accès de sullocation, a succombé dans une de ces attaques. A l'autopsie, on trouva derrière l'épiglotte, implanté sur le repli aryténo-épiglottique droit, une tumeur du volume d'une petite noix, dure, s'abaissant comme une soupape sur l'ouverture supérieure du larynx, et fermée uniquement de tissu épithélial. .Le second cas se rapporte a des pièces présentées par M. Dufour: c'étaient des végétations épithéliales très nombreuses, développées entre les cordes vocales supérieures et inférieures du larynx. Une petite fille de deux ans et demi fut apportée à l'hôpital des Enfants malades, atteinte, depuis trois semaines, de dyspnée, avec une toux rauque; la voix était croupale, l'auscultation du larynx ne faisait pas entendre le bruit de drapeau caractéristique, aucune psetulo-mernbrane ne fut rejetée. A la suite de la vaccination, l'enfant fut atteint d'une variole qui détermina la mort. A l'autopsie, on trouva la cavité des ventricules ttgt‘ it\illit‘ line l'ennno ti un sion «le . d'années, une succes La tlk'l‘llli' reproduire ensuite. cun‘ r inc et un i'-rvsipvÎe du roi… vtr La orne qui m'a tlf-i‘ouli .lcitl ii il si elle était -s. F.i «lernnrlws longitudinal t convaincre niscnicnt que tou lr. dit une Ctlllpt‘ longittnlina n rll <qu lv. n: s «la que tti ronrun t‘r. ht lltl lt'l t'll llt‘ s t‘tl upe gro t‘t‘5 ,,,, geltre qui teint en r…ug.- t En tll:5t‘qllfllll l.i l>.i>r …… attentive rcclwrlnw; il .<i rt‘tlt‘ l);iSc. l.l.- Playa-5 will/tr ;… tirs végétations lll‘o\ li.‘iitll°l lo}iii'=iuneal.iptirtiv intflrii« il" pt‘lllptll5 coupé par le lllllli'lt gi'iilitl iiuiitbi'z?, del… a qu…. r:l r0iiipos‘rt‘. tl'llll rp.in‘ ibip‘. a.luictesdn voisinage >lvllî \l u‘s glandes tiri'oinlir< on lnl»i lement l'opinion de ceux qui plaques muqueuses les rcprw lc rcprodtns ni n‘ tnt \le z1ii'il rstaiiisi ful'l utile pour: Le il fr\‘l‘iri‘ l>‘ii. au Il du larynx comblée par un développement considérable de végétations d'un blanc rosé, fermes, comparables Louis.jouiii,iliri‘, in a lion tlctlituiiiiné fl\-t‘t rultu>ir. à celles qui surviennent si fréquemment à la surface du gland. L'une d'elles, beaucoup plus volumineuse, ‘t‘l'l us:rt 5i\li\i'lll de lhlli'S ll acuminée, sortaitdu ventricule gauche; les autres, confluenles, formaient comme un gazon serré. On n'a pas trouvé de vaisseaux dans leur intérieur. Leur structure était uniquement épithéliale. D'autres végé- tations rudimentaires, à peine saillantes, existaient en petit nombre a la base de la face intérieure de l'épiglotte. J'ai observé un cas analogue chez un adulte qui a succombé avec les symptômes de la plithi5ié laryngée; malheureusementje n'ai pas gardé de notes sur ce cas, J'ai assisté, en 1853, à l'aulopsie d'une femme qui avait succombé avec tous les symptômes d'un cancer . . 4 ./ / *… ' , altc1atmn ' - de l'œso p ha g e-, on ne tiouva daube qu 7 une tumeur vegetante, Située au tiers supérieur de il) Bulletins de lu è'ocic'lô anatomique de lh‘5 . p. 198 cl liliÎ. ..'_',î. - . - ,. . '.-4 ‘ '4‘…4 -n-..….., . i.+Â v-< - i. +J,n+-[xsâ--JJ=40Âh«-ju+".. - . ,Q _ : ' v ' ' . . ,_ +-s,u4.u.u+ _ _ , , m'i!+ù=!4 . . . ,}' q. __! & -A- . u+-Àn:+ui=+ li .l'iii piiliiir lI1 …… \ ,_ luriiiv> tlt‘ t'aiiit‘ichlt‘. 'l nut « il tirt‘iiiiip..giiiiit rr tc\lr e rt lr\nnriia l'ail till rl un un suuwnt taxi loueur, l'…l i-ri t‘v main dans lvs ras "I'.l\t‘< tl tation ii5tiui‘eusi-. ll … sans \ llt‘ la suie qll8 1hltl5 \ CltUll> |,aun. np. .. -_ u.usoti. nous il\ uns |\_ la ll & une t]Uûll lt‘ et non a 'un" a lilaltltllt‘$ ii nsi ill-\iuiiirs t |