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Show rues 'l'liMlfiUltS Ertnr.mnotas il:i>rriiiàl.iAi.ns a'r rxrru,a…gg_ … & Vaisselle, ion épider. occasionnées de vastes ulcères cancroïdes, des foyers étendus d'infection putride, et nous avons même vu ignalé une cette terminaison fatale accélérée, dans l'ulcère cancroïdc étendu deia lèvre inférieure , par la déperdi- :s partisans : premier à Qu'y a-t-il a suite des travaux de ns lympha. est plus en tion continuelle de salive et par les obstacles apportés à la nutrition; mais en analysant vingt-deux autopsies, dont dix-huit nous appartiennent, deux à la thèse de M. Mayor, et les deux autres au beau travail de M. Huguier (1), nous trouvons, dans toutes, l'absence totale de dépôts secondai res semblables au mal primitif que nous avons si fréquemment observés dans le véritable cancer, et dans lequel cette infection varie entre 1/3 et les 2/3 des cas, selon les divers organes. . Sur nos 22 observations, il n'y en a que 12 où la maladie était arrivée à sa terminai son naturelle, les 10 autres sujets ayant succombé à la suite des opérations. Mais l'absence de généralisation, dans les uns comme dans les autres, n'est pas moins un fait de la plus haute valeur pathologique. Les 22 autopsies se ‘opagation. répartissent de la manière suivante : il y a 7 cas de cancroïde de la lèvre inférieure, ?. de cancro'ide gin- tes en rap- gival, 1 de cancroïde du plancher buccal, 2 de cancroïde du visage, dont un appartient à M. M ayor,t de : des cas au cancroïde de la verge, dont un appartient au même auteur, lt de cancroïde de la vulve, dont deux em- pruntés à M. Huguier, et 2 de cancroïdc de la main. Nous pouvons ajouter plusieurs faits plus récents que nous avons observés, savoir : l'absence de toute tumeur secondaire chez une femme qui a succombé ment porté xpliquer se ux lympha- l'autre est à un abcès cérébraldans le courant d'un cancroïde de la tempe, et chez deux qui avaient succombé à un cancroi‘de épithélial de la matrice. te dans les Les faits contradictoires cités de tumeurs épidermiques récidivées ou généralisées dans les viscères, u transport décrits par Virchovv et Paget, quoique rapportés par des observateurs qui ne reconnaissent pas la té déjà par it les avant- différence entre les cellules épidermiques et celles du cancer, ont cependant une valeur réelle et incon- testable, et doivent provoquer de nouvelles recherches; jusqu'à présent ils ne prouvent autre chose que u de Prusse la possibilité de cette infection, mais comme exception, tandis qu'elle est commune dans le cancer. )r0pagation L'étude anatomique d'analogie et de différence du cancro'ide avec le carcinome nous révèle donc les caractères suivants : t l'infection ne, point de me de voir, 10 Analogie. Tendance ulcèreuse et envahismnte, possibilité de l'infection des ganglions voisins, rarement de l'économie tout entière, et terminaison fatale, dans un certain nombre de cas, par épuise- ment et infection putride, lorsque rien n'a pu s'opposer aux progrès de l'ulcère cancroïde. .a première 2" Différence. Structure et aspect différents, composition microscopique tout autre également que dlleurs d'un des glandes dans le cancer, absence enfin d'infection générale et de dépôts multiples et éloignés dans l'économie tout entière, dans une proportion bien autrement forte que pour le cancer. .âle, homo- Les notions que nous possédons relativement à la composition chimique du tissu des cancroïdes sont :uilleté, ca- bien incomplètes; aussi nous ne les donnons nullement comme des résultats d'observation, mais comme .a troisième pôt de cette de simples matériaux capables de contribuer peut-être, plus tard, à éclairer ce sujet. ‘; et intaris- roscopiquei laisse déposer, après le refroidissement et l'évaporation, un dépôt blanchâtre et granuleux. Cette sub- stance nous a procuré l'occasion de faire une observation curieuse : En la délayant avec une solution autres, dans a surface de de chlorure de zinc et en la laissant reposer pendant plusieurs jours, il se forme une substance transpa- rente et élastique qui offre les formes de corps excessivement variés, et qui ont beaucoup de ressemblance .itiquc 3 P" avec des cellules et avec des fibres. Parmi les cellules, il y en a qui sont simples, d'autres qui paraissent renfermer une autre cellule; il y en a un grand nombre dans lesquelles on aperçoit sept ou huit vésicules ode de parvons jamais lorsqu'on y ajoute de la potasse, mais en chauffant, le précipité se redissout pour reparaître de nouveau En faisant bouillir la substance de ces productions épidermiqnes dans l'alcool, celui-ci se trouble et emboîtées, d'une manière concentrique, les unes dans les autres. La liqueur alcoolique se trouble par le refroidissement. On y voit des formes granuleuses diverses sans type distinctif. Le tannrn forme :al primitif. ‘l"'0n laisse digérer pendant quelque temps dans de l'acide nitrique, prend une couleur jaune pale « (i) .llrünuircs {le l'Acnrlrünic de médecine. Paris, 181|9, t. XV, p. ;".01. ANAT. l'.\tttfiL.-ff Lt\'n. . pour au i, a la face et s ne ri ct do ;rc des . :onnaissent 45' re )our que l'ulcè v.-‘;‘ ouéquence se tr ‘ er x cas de canc également un précipité granuleux qui n'offre rien de particulier non plus. L'éther y produit un trouble laiteux. . ‘ Lorsqu'on traite cette substance épidermique par l'acideacétique, les amas de feuillets ép1derm1ques se désagrégent, leur paroi devient très transparente, et le noyau très visible. Un morceau de lasubstance, .1.fl._.u. :.Û1‘ uni.-.1::r ..r.,-: . ; 3 qu'avaient |