OCR Text |
Show l)liS 'l'l'i.\ll£UliS l‘]l'll)lfilillllQlllfiS. lfil'l'l'lll‘ll.l.\l.li$ l‘l'l' l'.\l'lLln\llllfi$. 135 lcé1‘ées, (… cette explication depuis que nous les avons rencontrées dans les couches profondes du derme cutané et 'y trouvons du derme lingua], et dans les glandes lymphatiques du cou, de l'ame et des membres. Nous ne pouvons en un mot, ami de ces les cellules les feuillets ses couches i gland. Au eux, et les in reconnait is haut, que ont que peu donc pour le moment, je le répète, envisager ces corps que comme des tassements concentriques de feuillets épidermiques munis d'une enveloppe propre provenant probablement du développement extrême de cellules mères concentriques, sans avoir toutefois une idée nette sur leur formation. MM. Ch. Robin et Verneuil ont rencontré ces globes épidermiques dans l'intérieur de glandules de la peau. J'ai trouvé, un très grand nombre de fois, ceux-ci hypertrophiés et infiltrés d'épiderme dans ces cancro'ides, et plusieurs fois au point quej'ai pu les sortir intacts des tissus ambiants avec la pointe du scalpel ou d'une épingle. Nous signalons, pour le cancroïde cutané en général, un fait qui nous parai‘tdela dernière importance pratique, et qui a aussi été constaté par M. Follin, c'est que souvent les parties ambiantes de la peau malade sont également infiltrées d'épiderme d'une manière diffuse, ce qui facilite singulièrement les andnombre récidives lorsque l'opération n'a pas été faite dans une grande étendue; cette infiltration peut même avoir lieu a une petite distance et sans continuité directe avec l'infiltration épidcrmique principale. Lorsque le cancroïde est superficiellement ulcéré avec hypertrophie notable de la couche papillaire, t celle dans les croûtes, qui sont toujours composées d'un mélange d'épiderme, de pus et de matière sébaeée, peuvent icielle. mais affecter la forme de cornes, en offrant une surface externe assez lisse et en représentant, par leur surface :; c'est alors interne et adhérente, le moule, pour ainsi dire, des éminences papillaires sous-jacentes. On distinguera le a tout ce toujours ces croûtes cornées des véritables cornes cutanées par l'absence de tout tassement dense, régulier et horizontal, et par leur siège même, car on sait que les vraies cornes prennent ordinairement leur : épaisse qui )iiiiiiuniqnéi genre d'in- envahir les ouve alorsà : développet noyau, des on nucléole, rés d'altéra- re altération origine dans un follicule malade de la peau. La surface des ulcères, abstraction faite des croûtes, montre également l'épiderme et le pus dans diverses proportions; elle est souvent recouverte d'une couche pseudo-membran0use. Nous y avons vu plusieurs fois des vibrions, et une fois même cinq espèces différentes d'infusoircs polygastriques sur un ulcère can- croïde de la verge. Les muscles, les os et les glandes lymphatiques peuvent être envahis par l'affection cancroïde, surtout lorsqu'elle débute par une infiltration épidermique profonde; toutefois ce fait est loin d'être fréquent. Nous n'avons vu le tissu musculaire envahi que trois fois en tout, ainsi, dans 1/30" des cas : deux fois c'était à la lèvre inférieure, une fois d'une manière uniforme, et une autre fois par des dépôts épidermiques ration grais- multiples. Ce dernier fait nous rappelle celui de dépôts semblables dans le corps caverneux chez un indi- vidu atteint de cancroïde de la verge; dans le troisième cas, c'était il la langue, et dans cet organe l'en- .ect terne et vahissement des muscles doit même être fréquent, car le derme y est mince et entièrement adhérent aux llons décrire muscles sous-jacents. Nous avons vu les os envahis six fois en tout, ainsi, dans 1/15" des cas : quatre fois c'était le maxillaire sont souvent ‘o'ide cntane; inférieur qui avait été atteint par un cancroïde dela lèvre, deux fois le mal avait envahi la branche hori- jue ces corps zontale de haut en bas et avait fait disparaître l'os jusqu'au niveau du canal dentaire; une fois cette même partie était envahie de dehors en dedans, et une quatrième fois il y existait une large ulcération illets épidel‘- qui avait détruitl'os maxillaire dans une grande étendue. C'était le cas d'un individu qui, après plusieurs ces globes €" récidives locales, a fini par succomber à l'étendue du mal local, sans que cependant il se fût généralisé squ'0fl film…? de ces globes dans le reste de l'économie. Une cinquième fois nous avons vu le maxillaire supérieur envahi par du tissu épidermique, et une sixième enfin, un eancroïde du talon s'était étendu au calcanéum, a uneprofondeur lobes concen- de 5 a 6 millimètres. ' la peau, de lil comme élfllll Nous avons observé Six fois une affection épidernfique des ganglions lymphatiques voisins du can- cro'ide (1). Une fois c'étaient les ganglions inguinaux dans un caneroïde de la verge, deux fois des ganglions lLl col utérin" du cou dans des cancroïdes de la lèvre inférieure, une fois dans un cancroïde gingii'fll; une 0Ï…lUièmc derme; il .l' " fois, les glandes du Cou étaient infectées d'épiderme dans un cancroïde du plancher buccal; une sixième it avoir affaire lans plusieul‘S ques concen- @) i\ous avons sgnale ce fait le premier dans une conimunmuhon truie a la Societe de biologl(‘. «1 la "" de "°‘emb'e 18…" en l………' ii po…-rajetef … .. mll(‘l‘l(‘lll' .. . -_ at1551 dtciit, des .‘/‘ "'<ii(‘>‘. verge. Aucun l…l de ce genre n .…. a ete decrit avec preeisioii. Nous avons le premiei lb.i(), les globes_%‘ ipideiiiiij v . . . , . . . , , , , . . . ,. - . . ‘ - '.- | de .\IM. Royer, Ch. Robin, Cl. Bernard et l‘Olllll. Il s agissait tl une infiltration epidei‘iiiit1uc des ganglions de ld…° " … ""le d "" (‘…UDM'L de " .. À \ l, i l'époque de leur découverte et sur l'observateur qui les a introduits dans la science. .ns renomé & J?i‘.f: l‘;.:j‘ .\.'l '.."i'.; v‘ .- 3 '. . .. . . sont devenus du domaine . "il est bon que lon ' .' tomme en fait ici la these de M. Mayor. Ces faits commun aujomd hui, mais soit fi xésur ' .Îs' ['J. ‘} i peut-être (le |