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Show DE L'HYPERTROPHIE. :particulière. Fil. de L..., ‘Îtgé de trente- nnées il était sujet à l‘hypoclmndflæ ej ,, e soumis le malade a un traitement p…. des soins pour un rhumatisme aigu qui de mai, il me consulta de nouveau p0up cée que de coutume, de diminution de ten quesuns, plus grands, contiennent un nucléole piinctilbrflic. Plusieurs sont entourés d‘une membrane d‘envcloppe line, étroite dans la plupart, plus large dans d'autres. Les figures 12, ‘13, 16 et 17 se rapportent il ce fuit; les figures M, '15, 16 et 18 onttrait a une pièce semblable qui provient d'une tumeur glandulaircdn volume d‘un oeuf de. poule, située a la région inguinale d‘iiii enfant. Dans son intérieur, elle présentait un tissnjannc brniniti‘v‘, grenu, très vasculaire par places, infiltré d'un suc trouble, et l'examen le plus attentif au microscope n‘y démontra d‘autres éléments que ceux du tissu glandulaire que nous avons représenté, fortement grossi, dans la figure 18. Les noyaux, beaucoup plus nombreux que les cellules complètes, avaient, en moyenne 1/2…)c a ‘1/130" de millimétre. et renfermaient un nucléole de 1,500" de millimètre. Les cellules complètes ont 1/100" à 1/80" de millimètre. Outre ces cellules des glandes lymphatiqucs. on aperçoitun stroma tibreux lin et quelques vestiges non douteux de vaisseaux lyiiiph:itiqiie5. e foie débordait les fausses côtes de trois l, sans être douloureuse, lui occasionnait e-ci au moins triplée de volume, dé…rs de doigt au-dessons du mamelon; elle lacie n‘avait jamais en de fièvre intermit. >étit était presque nul, la constipation [… lies, son teint était pâle et terreux ll me toute fièvre intermittente, s'accompagne s actuel. en qui jouit d‘une grande réputation dans XX\'lll. - Ilyle;‘up/zir‘ «les glandes sudori,mrcs. (Pl. Xl, tig. lt.) J‘ai observé ce cas en 18'i8. ll s‘agissait d‘une tumeur enlevée sur le des d‘iiii homme d‘environ quarante ans. La petite grosseur avait le volume d‘un pois; elle offrait, cxtérieurement, (les saillies nombreuses, au centre desquelles se trouvait une espèce d'enfoncement illflttl- (libiiliforme. En pratiquant une coupe sur le milieu, ou ne constate, a l‘oeil nu, qu‘un aspect hypertrophiqucdu derme qui a 6 llllllltllt‘ll'CS d‘épaisseur. Mais au microscope, on voit, au milieu d‘uii tissu fibrenx et élastique, sur les délitnents adipeux, un grand nombre de glan- dulcs sudoripares très développées, formant une agglomération dense et trés rapprochée. Chacune d'entre elles présente un développement considérable, au point qu'on les voit presque à l‘œil nu. Avec de forts grossissements, on reconnait trés bien surtout l‘épithélium nucléaire de l‘intérieur de ces tubes glandulaires. Les noyaux, de '1/‘200* de millimètre, ne sont entourés, que de loin en loin, donc me…brane cellulaire; la tunique externe de chaque glandule est également épaissie. Bohême. Pendant ce séjour, qui dura six eux momentané, mais un nouveau syma bientôt, Au mois de juillet, le. malade XXlX. - Tumeur cnlryslc'c, lclt‘éz‘c‘c, entourée (l‘un nombre très considfimblc (le glwululcs sc‘bucécs migorgtjcs. .l[orl par une 7/tl"ilt‘/I!/l‘lü consécutive l), une vaste usure (les parois (lu crdnc. {Pl. Xl, tig. 5-10.) :tion du ventre avait augmenté, et la rate t la ligne médiane. Pendant les trois mois le l‘iodure de potassium a la dose de ?.âà La femme Rosalie Hobie, agée de soixante-huit ans, porte, depuis trente-cinq ans, plusieurs tumeurs cnk)'stécs au cuir chevelu, aver l‘innocuité qui les caractérise, et pourtant, a l'a‘igc deqiiaraiitc ans, im épine de l'i‘aiiiboisicr avait pénétré dans l'une des tumeurs, et une. fistule s‘était établie dès cette époque, qui donnait issue a (le la matiere sébacéo. A cette premiére violenceextérieure vint s‘ajouter, a l'age dus tard à l‘usage des ferrugineux, iodure de, soixante ans, une autre beaucoup plus grave. Elle fait une chute de voiture, elle tombe sur le sommet dela téte, et s‘y fait une plaie es doses de calomel, par des pilules d‘aloès assez considérable pour avoir une forte liéiiioi'i'liagié; les tumeurs sont menrtrics et fortement contiiscs : aussi s‘accroi55cnt-clles rapi- dement, deviennent-elles douloureuses, et la petite fistule de l‘une d‘elles, qui, depuis vingt ans, avait existé sans inconvénient, sc l rate fit des progrès incessants, elle attei- dant les derniers jours seulement, l‘œdèine ti'anslbi'iiié en ulcère. Cependant l‘orage se calme jusqu'a un certain point, la santé générale reste assez bonne; et, pendant cinq ans encore, les tumeurs s‘accroissent, l‘ulcération de la grande tumeur fait des progrès incessants, des liémoi‘rliagiés fréquentes ont lieu, mais la constitution ne subit que des altérations peu sensibles, lentes et graduellcs, qui s‘expliquent parfaitement par le mal local. (le n‘est qu‘à l‘âge de soixante-cinq ans qu‘une nouvelle exacerbation a lieu, et c'est pendant les deux dernières années que de nombreuses tumeurs apparaissent sur les divers points de la téte. L'ulcération, par ses progrès naturels, nsc, dans une large étendue, une partie des u malade le 31 octobre l85‘2. Pendant le. os de la téte; la dure-mére en constitue bientôt le fond; la surface du cerveau lui-méme s‘enflamme et bitte la mort dela malade. La avantjusqu‘au delà de l‘ombilic. Le foie gulièrcs, grâce aux médicaments, mais le iit un sentiment de gêne et lui occasionnait d‘hémorrhagie. mtûmcs caractéristiques. Tout récemment : survenue rapidement après l‘extirpation ; sa mort. ll présenta. tin-dessus du genou iiiàtre, et pour lequel l‘examen microscoges. ?. (Pl. X, tig. 12-18.) Stlj)j>lll'tltiotl, abondante, les hémorrltagies fréquentes avaient de plus en plus miné la constitution. A l'autopsie, on constate l‘absence de toute lésion viscérale. Les 5/6" de la tmneur ont disparu. La voûte crainiennc est presque a nu. Le fond d‘une vaste perte de substance laisse apcrccvcdr la dure-mère. A la région frontale existe un kyste du volume d‘un œuf, rempli d‘une matière gélatiniforme. Les portions de la grande tumeur qui restent offrent, outre les bourgeons charnus d'une surface nlcéréc, une trame tibro-aréolairc qui renferme, ainsi que toute la peau ambiante, de nombreuses petites tumeurs situées surtout dans la partie profonde du derme, variant entre le volume d‘une téte d‘épingle et celui d‘une noisette. L‘examen de ces petites gi‘osscurs démontre qu'elles ne sont autre chose qu‘un développement tout a fait insolite de glandes sébacées. En effet, on voit, dans les plus petites, les lobiiles de ces glandules, et dans toutes, une extrémité pointue et allongée qui correspond a leur comluitexcrétcur, et un corps glandulaii'c plus ou moins lobé. Leur structure montre une membrane ankistc d‘enveloppe, cmnposécs de lamelles superposées (l‘t"pÎlllt‘flllllll a la face interne, et un contenu santé. A part une éruption qu‘elle a eueà sébacé et épithélial dans leur cavité. Nous _v avons vainement cherché des éléments pileux, et l‘opinion de leur origine par des follicules ;é d‘affections scrofuleuses; elle a été bien pileux doit être complétement rejetée. Ces petits kystes étaient partout faciles a énucléer ; bon nombre d‘entre eux s'étaicntcreusé des fossettes a la surface des os du crâne. La substance intermédiaire entre ces kystes ne nous a présenté qu‘un tissu tibi‘oidc, avec des éléments libro-plastiques, infiltré çà et la d'épiderme. ; de maladies graves. Elle fait remonter le pour la première fois, qu'elle portait une ie d'un œuf de pigeon. D'autres tumeurs s'est remplie de tumeurs molles de plus en XXX. -- ]iunczu's‘ se'bacc‘cs multiples, disséminics rl lu, surface I[tl corps. (Pl. Xl, tig. ‘18 et 19.) [‘n ancien militaire figé de quarante ans, cuisinier au \"al-dc-Grftcc, a vu, depuis douze ans, sc développer une centaine de petites tumeurs er des douleurs, 'elle commença il y éprouv t depuu 1X éPOques menstruelles, s‘étendan ‘ etc ' ' s, respn' -»ato‘nes ircufoncti. ons dig ' estive . . :e qu‘il. fallait enlever un paquet de glandes sébacées sur divers points de la surface du corps. Il n‘en a jamais éprouvé la moindre souffrance. Le volume de ces tumeurs variait entre celui d‘une noisette et d‘une petite noix; leur surface était inégale ct lobnlée. Une de ces tumeurs, située sur l‘onioplategauche, s'étaitcntlammée et avait suppuré, ce qui m‘a permis d'en étudier le contenu, dans lequel j'ai trouvé, outre les globules du pus, des masses blancln‘itrcs d‘une teinte un peu nacrée, coniposécs de membranes concentriques de matière épidenniquc. Il y avait cn outre des granules et des vésicules de graisse, et beaucoup de cholestérinc. . . , . 4 ‘t tire étaient a un sans qu aucun d eux €" XXXL - ["ollt‘culcs /z_i/p0i*l)‘0phi‘é$ (lc [il membrane muqueuse de la vessie. (Pl. Xl], tig. 1-3.) ez hypertrophiés qui offrent une forme ass nt, ble p‘dl' t la surface. Quelques-uns ressem . , . , , ; r '. cc)Cll' irrégulier, glomcrule, a {,l0melllles ‘ e aun le au milieu de cette substance. d‘un] Un homme figé d‘environ cinquante ans avait été atteint d'une rétention d‘urine, par suite d‘une bride. urétrale qui fut incisée plusieurs fois; il surviiit aussi un abcès prostatique dont le malade guérit. il parvint ainsi a pouvoir vider sa vessie a moitié, lorsqu‘il fut pris d'une pleurésie a laquelle il succomba dans l‘espace de quelques jours. A l‘autopsie, on trouve toutes les tuniques de la vessie épaissics. La membrane muqueuse. entre autres, avait plus de il millimètre À" il existait là de la matière tuberculeuse. d'épaisseur; elle était parsemée, dans sa partie antérieure, et autour du col surtout, de petites taches jaunùtrcs qui avaient l'aspect de petits l‘301‘1" lorsqu'on traite cette substance pai‘ qui renferme un no mbre1 grainsde semoule et variaicnt entre 1/2 et l millimètre de longueur. 115 étaient arrondis, aplatis, de l'urine nunnnulairc, d'un jaune pi‘ilc et \ d‘un tissu anhyste ou ovoi‘des de 1/20()E de, n'tilliinètre;tlu"' .ixi'r. l‘.\11l01..--3' Lirn. 28 |