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Show tÉRALE. ant que l'on tient un compte rig0…euxd ' e DE l."llYl'lfilt'fllfll'llll‘l. , les caractères suivants : Le "0lume est ne est concentrique, et il peut même, dans annulées lorsque la production nouvelle, dans l'organe lopertrtq>hié, est libro'ide ou libro-plastique. Elles sont même affaiblies dans les glandes, dans lesquelles il y a exubérance de formation de vésicules est en rappOrt avec celle du volume; q…, ou de tubes de glande, car, en général alors, on ne rencontre pas un dével«qqmment conforme des le notions positives. La forme tend t0uj0uR :t lourd et massif, en effaçant les b01‘ds e-[1 conduits excrétenrs, et la conservation plus belle des (?pithélimns montre déja un arret ou une dimi- nution dans l'échange des matières ou des sécrétions. Un irait trop loin également, si l'on voulait admettre que la diminution de fonctions est la régle. Nous avons fait ces restrictions pour démontrer seulement qu'il n'y a point de corrélation fixe entre l'accroissement de la nutrition et celui de la fonction. 87 Les fonctions d'un organe hypertrophié sont plutôt affaiblies qu'augmentées; elles sont a peu près e porte sur un tissu ferme et élastique,et peut rester la même ou être notablement l'état de blastéme contenant b93U00upd, [ enfin lorsqu'il y a, à une période …. ancée, rtielle, formation de kystes, etc. L & vase. e, à moins que celle-ci n'ait diminué par cilement un développement vasculairecgn_ ( ou fibro-plasticptes tendraient à se former, .rme beaucoup de vaisseaux nouveaux par de dimensions, que les artères deviennent L'action d'un organe liypertrophié sur ceux qui l'entourentvarie selon la consistance et le degré de résistance des tissus voisins. Une production molle, dont le dévelrqq*»ement ne serait entravé ni par des apo- névroses ni par des os, produira bien moins de gène que celle qui se serait foi'iiiéé dansdes circonstances opposées; ici, au contraire, les parties du voisinage deviennent souvent le siege de l'atrophie et de l'usure, sans compter que la compression de filets nerveux sensitifs provoque des douleurs plus ou moins vives, tandis que celle des nerfs moteurs ou mixtes entraine l'engottrdissement, la faiblesse et méme la paralysie d'une partie du corps. Dans le développement l1ypertrophique, il est bon cependantde distinguer, désit présent, les altérations quefois amincies, d'autres fois s'e'paissisæn consécutivesà l'lly1')0|‘tt‘0l‘)lli€ auxquelles sont dus beaucoup de changements qui surviennent a une période stations partielles dans les petits vaissean la glande thyroïde. Nous devons de nouveau avancée de ce travail nutritiflocal exagéré. C'est dans cette catégorie qu'il faut placer l'infiltration séreuse, le ramollissement, la formation kysteuse, l'inflammation, la stqqntration, les hémorrhagies avec toutes ies organes vasculaires et ceux dép0unu5 ruée, peuvent s'épaissir considérablement, leurs conséquences, les nécroses et les gangrénes partielle-‘, altérations qui surviennent d'autant plus nts par une simple modification dans l'as. devient généralement plus incomplète sous le rapport de la qualité. facilement que, a mesure que la nutrition d'un organe trés hypertrophié s'accroît tpunititativement, elle eux que nous révèle l'étude dela pathologie Nous ne faisons qu'indiquer ces divers états, sur lesquels nous reviendrons avec détail en suivant l'hy- et des changements; nous les avons trouvés pertrophie dans les divers tissus et organes. Nous dirons, dés a présent, que, quelle que soit la variété de enérale, les douleurs vives qui se fontquels de grandes dimensions, sont toutàlait ns. .onservée, devient d'un rouge plus ou moin: ts pâle, s'il y a un développement fibreux: … cellulaire; plus foncée enfin, bruneou )phie qui porte sur tous les éléments d'un ties points de l'anatomie générale normale mentaire; mais bien souvent aussi l‘aspect me substance amorphe, fibro-alhumino‘r‘de t0ture, nous devons, dès à présent, signaler e dans l'augmentation pure et simple des par dépôt abondant d'un blastème fibro- ces altérations, nous n'admettons point la dégénérescence cancérense de l'hypertrophie connue une de ses phases; tout au plus pouvons-nous la signaler Comme un fait rare et exceptionnel; et, pour rester dans le vrai, on peut dire qu'un organe h_vpcrtreqvhié n'a pas une immunité absolue pour le dépôt secondaire des tissus hétéromorphes, mais une disposition bien moindre cependant que les organes normaux. Il ne faut pas confondre, en tout cas, l'hypertrtqvlde qui est la conséquence seulement d'un dépôt accidentel, avec celle qui est une affection primitive et essentielle. L'influence de l'hypertropbie sur l'état général de la santé n'est bien marquée que lorsqu'elle atteint un des organes essentiels, tels que le foie, le cœur, le cerveau, et, encore ici, l'influence générale est la con- séquence d'une action d'abord locale dans bien des cas. Nous rencmrtrons ici des effets que nous avons déjà signalés, savoir, le trouble qui résulte surtout de la pression sur les vaisseaux, comme entraînant une alté‘atiou secondaire, et sur les nerfs, comme entraînant des altérations de fonctions en rapport avec celles que les nerfs exercent. La marche de l'li_vpertrtqihie est généralement lente. Cependant il existe, sous ce rapport, des oscillations très grandes qui, en partie, s'expliquent par l'anatomie pathologique, mais pour lesquelles on doit, en bonne partie, plutôt invoquer une prédisposition individuelle dont la nature intime nous est ctères de cette production, ou passer pet inconnue. Il n'est pas rare de rencontrer, sur deux individus, une h_vpertrophie en tout point analogue, d'un paquet de glandes lymphatiques ou d'une partie de la manuelle par exemple, qui, chez l'…], 41"… [ normal, comme celui- Pal‘ exemple,dt-‘ mis des années a se développer, tandis que chez l'autre, elle sera arrivée, dans l'espace d'un an ou de ugmentation quantitative très considérable, culaires ou des coecums glandulaires- L'une quelques mois seulement, au même degré d'évolution. Nous aurons bientot occasion d'appuyer ces propo- went exister et se combiner entre ell€& à savoir : un développement tres lent pendant un certain laps de temps, auquel succede une marche sitions générales sur des chiffres exacts. [Îne marche trés commune dans les li_vpcrtroplties est celle-ci, de la partie qui s'hypel‘lmphief 0" "ou," beaucoup plus rapide, avec accroissement plus prompt, douleurs plus intense.-, gene plus considé- laires, (lui, plus franchement dé"e'0ppfi rable, etc. Outre que des violences extérieures peuvent favoriser cet état. les ll]…lllit‘itlltttlS de structure .on exagérée, montrent une grande "…de , . en sont une des raisons fréquentes. L'accumulalion de liquide dans des lqstes, une vaseularisaliou . 7 >uvent souvent, bien qu on ait' exagéte Ct promptement accrue, un épanchemcnt hémorrhagique, un travail phlegmasique avec exsudatron, en sont |