OCR Text |
Show les j…… beaucoup l'état normal. Pendant 50Ulfle du puis tant, en bas du râle crépi chargée; épigastre rérritent, peu (loulourrrhée peti intense, trois ou quatre selles DE L'HYPÉRESIIE ET DE L‘INI"LAMMATIUN. 53 centres nerveux sont très bypr'zrérniés; du reste, à l‘état normal. La Vessie est saine, le tlrvmus persiste derrière l'eclinncrrrre sternale, du volume environ de la glande thyroïde normale. lumineuses. Faiblesse extrême, insomnie. lll.- [t‘/rrmzatismfl articulaire "if/71, mort subile sans comp/{fution. - Io/Iummutl'rw vire Ifuu.v plusieurs ro'l/r:trlritfons o/fwuo/ une forte rusculur'rtl‘ ;, par de petites doses d'opium et un trai- vrac grande 1'négnlr'lfl' du coli/ore des ruisseaux, rt une e.rsuda/fon 1/I(7'llfëlift‘ ,:cu nf}onf/mtl0. (Pl. l , fig. 8 et 9.) lécrire l'estomac dont la vascularité nous très vasculaire. La membrane muqueuse Un homme r'rgé de quarante ans entre à l‘hôpital de la Charité. il a un rhumatisme articulaire aigu dont le début remonte à cinq jours. Les douleurs articulaires ne sont pas très vives , mais répandues sur un grand nombre dejointtrre<; celles des genoux et des pieds sont un peu trrméfiées , chaudes; les premières montrent les signes d'un épanclremcnt synovial. La peau est chaude, le pouls accéléré. 108 par une rosé près des orifices. est dans totrt h; minutes. La région du cœur n‘olfre ni impulsion ni matité anormale. Absence de bruit de frottement, mais bruit de souffle marqué au plissé. La tunique musculaire est épaisse rcées. Toute la muqueuse est nramelorrrrëe. re par arborisations de plus en plus fines, 'éseau dense autour des orifices des gl,…- es, et montrent une structure normale; glandules sont tellement rapproclrées,que . dissénrirré à travers la muqueuse. lanche, homogène, rétractée; les valvuleg aryténo‘r‘des sont ossitiés ; pas de cicatrices renferment d‘anciens tubercules. Le foie, x. Vésicule normale renfermant une bile eur; capsule adhérente, grarrulations de ou six kystes ; sa surface est irrégulière; il tes millimètres de largeur. Hydroprsie du premier temps, surtout appréciable sous le rnamelon; absence de douleurs et de voussure précordiales, ainsi que de palpitatiorrs. Le sixième jour de la maladie, cet homme est pris d‘accidents cérébraux, de délire, de stupeur, de céphalalgie, de coloration rouge de la face, et bientôt il tombe dans le coma, et succombe lruitjours aprés le début du rhumatisme aigu. qui avait été lui-mème précédé d'arrgine. Pendant son séjour à l‘hôpital , le malade avait pris du sulfate de. quinine, 1 gramme 50 ccrrtigrarnmes par jour; on avait opposé aux accidents cérébraux des sinapisrnes, des applications d‘eau froide sur la tête et des purgatifs. .luto,rsz"e {aile qrurrmrte-lu:il heures après [a mort.-_ A part un peti d'hypérétnie, on ne trouve aucune altération ni dans les nnërringes ni dans le cerveau, de même que le coeur est exempt de toute trace rl'endocardite et de périrarrlite. Les articulations des deux épaules, des deux genoux et les deux tibio-tarsiennes sont dans un état plrlegma5ique manifeste. On constate une rougeur générale de leur membrane syrroviale, allant par places jusqu'à l'écar'latc et même au violet. Outre quelques ecclrvmoses rares, la rongeur est due essentiellement a une forte vascularisatiorr , tantôt papillaire, tantôt plus (lilfuse. Le calibre des vaisseaux est inégal, ils sont parsenrés de dilatatiorrs irrégulières. (l'est surtout autour de la rotule que cet état est plus prononcé. La membrane synoviale est dépolie, légèrement épaissie drrrrs les ar-ticu !ations malades; le tissu cellulaire sous-synovial est infiltré de sérosité. A la surface externe de l'un des genoux se trouvent des pellicules pseudo-membraneuses. Le liquide contenu dans les épaules et les genoux est corrstittré par une synovie purulente, dans laquelle le micros- cope fait voir des cellules de pus bien caractérisées. A la surface du péricarde se trouvent quelques petites ecchvrnoses. membrane synoviale. Rien de particulier ] cœcum et du côlon est généralement l\". -[Iypertrophio du cœur. ]:‘panc/rcment pleurélr'que 7'en/èrntmrt (les cellules (lupus ayant subi une altérationpurtfr1u/r'èr0. (Pl. Il, fig. T.", it de l'estomac, altérations caractéristiques fig. 7.) Esther Sourde, âgée de seize airs, brune, d'une petite taille, a toujours été délicate, sans avoir fait de maladies graves. Il y a trors mois elle eut une affection passagère de l'estomac avec vomissements; un peu plus tard une pleurésie a droite, mais déjà depuis longtemps elle avait la respiration courte. Depuis trois mois elle était essoufflée en marchant, même lentement, et surtout en montant les escalir s. Depuis rgitation, des urines rares, troubles, avec ce même temps, elle est sujette à des palpitations qui, quelquefois, se prolongent sans interruption pendant assez longtemps. Pendant la dernière semaine de septembre 1850, les palpitations augmentent, et elle entre a l'Hôtel-Dieu dans la division de M. Louis. La malade est d'une petite taille, d'une apparence faible, et elle sonti‘re surtout de battements de cœur, d'une oppression habituelle; elle a des acces fréquents d'étonfl‘ement. La matité précordiale s'étend depuis le troisième jusqu‘au septième espace intercostal, et depuis le bord droit du | bien. Depuis le 20 fevrier, il avait de la sternum jusqu'en dehors du mamelon gauche. Les battements du cœur sont tumultueux, très fréquents, l'irnpulsion est forte, les bruits ninution de l'appétit, constipation; toux du cœur sont sourds, un peu éloignés; pas de bruit de frottement. On entend un bruit de souffle sous la clavicule droite et tout le long de l‘aorte thoracique, ainsi que sur le trajet des carotides. Des deux côtés, en arrière et en bas, le son est mat, a gauche jusqu'à 3 centimètres .ru-dessous de l'angle de l‘ornoplate, et dans le quart inférieur seulement à droite. Au niveau de la matité, la respiration est faible, on y entend du râle sous-crépitant. Dans les sommets, la respiration est presque puérile. Pouls petit, régulier, 116. Le foie dépasse les fausses côtes de tr à 5 centimètres, et la rate de 3. La langue est blanche. Elle n'a point d'appétit, elle éprouve des douleurs à l'épigastre, elle a deux ou trois vomissements dans les vingt-quatre heures. Les garderobes sont till reste régulières. (On applique successivement 10 sangsues a 'al à la Charité, où j'ai recueilli alors des rit déjà souffert dans le courant de l'année norexie, faiblesse croissante; il est obligé !; soif vive, bouche pàtcuse, langue blanrs engorgée; douleurs articulaires vagues, ; urines rouges, en petite quantité; la l‘anus et a la région du foie; on prescrit la digitale et l'eau de Vichy.) Pendant les jours suivants, l'épanclrenrent du péricardc diminue un son ) rillorrs et des potages et une ptil'.lOtt, et flanc droit; vomissernent de bile verte; yeux caves; il a eu une diarrhée et des peu, les bruits du cœur deviennent plus clairs, et l'on entend un bruit de souffle distinct, fort et prolonge au premier temps a la base du cœur. La malade tousse, la dyspnée et les accès d'étontl‘ement continuent, le pouls devient irrégulier et intermittent, la face se décolorc avec teinte violacée des lèvres, de l'oedèrne survient aux membres inférieurs; elle meurt dans un accès d‘étoufi‘ernent, environ quinze tours après son entrée à l'hôpital. de, étourdissements, mauvais goût a la Autopsie [aile quarante-sfr heures après la mort. - Empreinte des côtes sur le péricarde, épanclrement de sérosité citr'irré dans les deux culs Sir, voix un peu éteinte. -- Le 111, il :oix faible, pouls insensible. Les vomisse- tde l'étlrer sulfurique avec du laudanunr, plèvres d‘environ 500 grammes a gauche, et un peu moins a droite. Le péricarde, très distendu, de 19 centimètres de hauteur sur 1 tt de largeur, et 10 de diamètre antéro-postérieur, renferme entre 1100 et 500 grammes d'une sérosité sanguinolente. Le coeur lui-mème, tres volumineux, offre surtout de l'hypertrophie avec dilatation dans le ventricule gauche; il a jusqu‘à 15 millimètres d'épaisseur; sa colo- rt hémorrhagique dans les deux pierres, d'une bonne consistance; vésicule du tie] presque vide. Rate volumineuse. Veine cave et porte distcndues par du sang; reins très hype- 5, plusieurs infiltrations sanguines. Coeur rémiés, offrant plusieurs ecclryrnosesà leur surface. Rien d'arrormal dans l'aorte. Estomac, intestins et cerveau a l'état normal. molles. Estomac hypérérnie, d'un rouge lune jaunàtre, clair, presque transparent. 5 sont très développés jusqu‘a atteindre la que nous avons, du reste, rencontrée dans d‘autres espèces de cellules. En laissant reposer ce liquide fraîchement extrait du cadavre, on y trs plaques agminées sont saillantes, rétignent leur maximum vers la valvulc, sur ésentériques. Le foie et la rate de volume les degrés de l'altération par irnbibition. D'abord la cellule, ainsi que ses noyaux, parait distendue et augmentée de volume; ensuite on ;il est mou, très vasculaire. Le rein droit granules. Des vésicules pâles et transparentes se trouvent dans l'intérieur ou a l'extérieur de ces cellules; dans plusieurs on les voit aecolées, ration est pàle. Les valvules sont saines, les orifices libres. Çaillots tibrineux dans le cœur droit. Foie volumineux, d'une teinte violacée, (l'est dans l'épanclrement pleurétique de cette jeune fille que nous avons constaté une altération intéressante des éléments cellulaires, trouve un sérum transparent d‘un jaune citriu, et au fond une couche purulente n'ayant quequelques rr.illirnètrcs de hauteur, sur une colonne totale de 15 centimètres. On n'y découvre qu'une petite quantité de cellules normales du pus avec leurs noyaux, et ensuite tous voit des cellules dont les noyaux seuls sont boursoutlés, puis d'autres dont le noyau perd ses contours et est remplacé par un amas de 5, très dilaté, capable de loger un oeuf de pour ainsi dire, au noyau. Ces vésicules pâles n'ont point de contenu grenu ni nucléaire. Il est a remarquer, enfin , que les cellules du pus plus d'un millimètre d'épaisseur, sa con. sont en bonne partie déformées dans leurs contours externes. Nous ne voudrions pas décider si les cor'puscules pelles et transparents surtt de simples gouttelettes ou s'ils sont entourés d'une membrane propre. nant sa vascularité au microscope, je suis mètre de large…-. Je constate une grande 'entjusque sur des troncs dc1/"2 à 1 milits l'inflammation un peti prolongée. l‘O-v A).\'l. l'.\'l'ilOL. -- il" LI\'R. . 13 |