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Show '-.. ' nam; . -r - ggs._ IQUE GÉNÉRALE. xnxroxnn PATHOLOG . MAÀ £‘ _ '_ MAMM . _M °"fiàn A ÆÔÂAAAÀ'A' s, comme P"0pres à , _. dans le temp que Gluge avait decuts, es granuleux bul glo les que ain ue. Dansle Il est cert et constan t du travail phlegmasiq façon un élément typique une auc en sont ne n, de qui reatio liqui flamm le l‘in . ,. . granulo-gnisseuse. Dans n l tratio lmfi i sub ont s qu1 nte ule pas ce sont les cellules pur cellules épithéliales. Dans le meme cha ngement pour les constate on muqueuses, couvre les membranes qui ontsubi cette chose que de 5 cellules cancéreuses re aut t son e n leux granu les globu le cancer, les r la p ossibilité de la formation de 1dant, si l'on voulait nie cepc1 loin, trop irait Un re. culiè parti n l'œuf, et infiltratio ns les globules du jaune de da le, exemp par ent, exist cellules granuleuses primitives. Celles-ci souvent par s'entourer agminations granuleuse s qui finissent l'on rencontre dans toute espè ce de tissu des bules du [… A \ circ1 les a plèt« : ett et Sanderson les ont v ues d'une membrane d'enveloppe. Benn se former même autour des glo cert cet . une L ceux raitt sang. granuleuse, vésis le pus de la gr aissc sous forme Outre ces éléments c aractéristiques, on trouve dan lquefois du phosphate venant des os, on rencontr e que pro i celu s dan (cholestérine); cristalline culaire et ferme parfois tuber culeux des poumons, le pus ren ulcères les dans osseuses; parcelles des et calcaire dernier a e pus le 3 éléments du cancer lorsqu ce proc réso lente e dans le des paquets de fibres pulmonaires; on trouv s mn, dans les glande s, à la surface des membrane passé à l'état ulcéreux. Dans les organes sécréteurs part sont mêlés au pus. Des infusoires de divers genres queuses, les produits de sécrétion et les épith éliums ns, des polygastriques, des Ihtzop0des, une peuvent s'y rencontrer. Nous y avons observé des vibrio d'une matrice enflammée. Des filaments fois même des filaires qui se trouvaient dans plusieurs abcès le pus, en se desséchaut, forme des croûtes dans d'algues peuvent s'y développer. A la surface . cutanée,. - "_ ' , ' d'! ép1de1me mcle aux cellules de pus. lesquelles on trouve une quantité plus ou monts cousnlérable altéré, par un état comme nécrosé ou La seule parulente est constituée par un pus considérablement un mauvais état local, tantôtà gangréneux des éléments du liquide exsudé; sa production tient, tantôt à purulentes y ont subi la elle est ordinairement mêlée de globules sanguins; les cellules mon ce ra degr et qt enk: l'abc vers s'ou de s un vice général; e o u ammoniacale. fonte dililuente; la sanie répand, enfin, une odeur fétide, hydrosulfureus la coagul ation membraniLes fausses membranes, dans leur plus simple expression, sont constituées par forme des principes spontanément coagulables de l'exsudation phlegmasique. Mais, le plus souvent, elles la emprisonnent une quantité notable de cellules de pos. Leur couleur est d'un jaune pâle et mat dans souvent première forme, a peu près de celle du pus, dans la seconde. Au commencement, on les trouve des répandues d'une façon réticulée à la surface des vaisseaux de la partie enflammée; plus tard, elles de- du ! viennent confluentes. Lorsque l'inflammation affecte une marche rapide et intense, les cellules du pus en constituent presque l'unique élément corpusculaire. L'exsudation se fait-elle d'une manière plus lente, on trouve des épithélimns, des produits sécrétoires, des éléments fibre-plastiques a la surface ou dans Il nou l'intérieur des fausses membranes; plus tard, les divers éléments cellulaires subissent l'infiltration granu- Iain L que l'abt stati long éléi leuse, et l'on y voit alors aussi les diverses formes de graisse. Au bout d'un certain temps, de quelques jours à peine, dans certains cas, les pseudo-membranes cell deviennent adhérentes et produisent même ainsi des réunions anormales. C'est alors que des vaisseaux s'y ou « développent, en prenant pour point de départ ceux des parties voisines. Cette formation s'opère donc en de 1 vertu d'une espèce de projection ou d'évagination, par laquelle se produisent d'abord des prolongements, des éperons, et plus tard des réseaux entiers de vaisseaux nouveaux. Nous nous sommes convaincu, en commun avec M. Ch.Robin, que non-seulement il y avait alors des artères, des veines et des vaisseaux des (;apillaims, mais même parfois de beaux réseaux lymphatiques, comme le démontre une de nos planches. .es fausses membranes n‘ ' " - ‘ w - . , ‘ \ ' lulaire. Nous y avons coii'stzîtél,"Èiîl'iflîîchîvîoia'ilïâinl'(Îzi'pt'enr-neîlt p‘eu'a Peu les caracœres 'du "55" ce" veaux de ces produits phlegmasiques peuvent se roin )relseÎ'déîere "b'°luleî "Îneuses‘ 'Le valsseaux n0'ua des exsudations secondaires de sérum, de pus de ltibercule" dim-{*lel ' ?" hemO"'""'gles' ou donner lle" due la nutrition des fausses membranes prend dé telles 31.0) 1Î & Lancel, etc. ll arrive enfin quelquef0b de dimension et constituent alors des culottes fibreusesl é'Ui0nî' (Ill e'l'-as augmententconstdél"flblemenl Lorsque lad'une causemanière (lui a plus broduit l'exsudation " l'°_"°be° continue " 'a'surm‘ce (l‘es organes. g…-g…liæ… SUlide et C . [)hl egmas1que a agir, les fausses membranes , HU " 1 l ) onstttuent alors la variété que l'on a appelée membranes py0‘ l01d , 5 1 s .--7, ' «. : v< ; w ‘ vc » -‘ "C:\-"; - , -'Av‘4u + '> 4... +u--4J_u4-)uî‘dtt .... ;4- .+u,' a+ ‘ d‘un--4,4,.,.s4-æl:+al,h4hy‘à+ . '47( -' … '" ' _v il |llglll€ll ' |