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Show . . A0 OGIQUE GENERALE. ANATOMIE PATHOL anisés s tard dans les produits Org € lle qui survient plu c de initiale hémorrhagie cette Nous distinguons s s membranes ou des membrane natlül ) des fausse ‘ ,J, X de llOl"€llt ‘Oll . . dans les ldleC&ll " fl]llllllâllûll, « .î «. AA.-\- S ' ) 7 - ' n sa n g nine. -- ' d ' exhalat10 ' sous le nom euone l'on a décrites autrefors '\â.t‘.« j°*°neôfiA,655AA‘" seas; [aaa .jQQ:A,AAAaAfiflÆ_Ç_ ard1ve, mais en mune temps elle pyogéniques. Non-seulement sor . . . ,) bl est sous l'influence de conditions bien differei a e aux hémorrha . . que les vais- dans aires . rupturess capill si fréquente gies ces ce 50… solidité des nouveaux vaisseaux; elle est ainsi compar dans les tumeurs. eaux dc nouvelle formation que l'on rencontre ' ' la lion. ;‘ Il. - Me | ' ensuc de l'inflam ènes locaux . . ' ns l'exsudation comme un des plus importants parmi les phénom d' . tissus, f,des " NOUS "eg3'd0 Elle peut avoir lieu dans le pal-enchyme des organes et dans les .éléments constituants mation. ui en sont notablement modifi és ' comme l'a si bien démontré M. V1r0h0W; e e peut se une dlre . q ' est celle qu1travail nous manière interstitielle, ou enfin sur des surfaces libres. L'exsud ation -…parenchymateuse ca ita] dela nu…uon et du occupera le moins ici , nos recherches et nos conv10ttons sur ce'PÜ.l p bl' _ N renvo ons 0 r phlegmasique étantloin d'être assez avancées pour que.nous P‘l'5510n5 les P‘_1 "î"l OË) [ ineî bien}, lu plus de détails sur ce point, au travail de Virchow, qu1€0üdült, sur ce Sl‘Jel: a tes physiologiques que celles de tous ses prédécesseurs. C " P "5 . Les conditions dans lesquelles l'exsudation survient dans l'inflammation sont, avant tout : une aug- mentation de pression, un tassement des particules solides et corpusculaires dans les vaisseaux capil- laires, la dilatation et la distension de leur membrane, d'où résulte pour elle une .Plll5 grande permea- bilité. Le mode d'attraction entre le parenchyme et le sang, entre la P…… capillaire et les globules rouges, doit aussi être modifié, comme le témoignent les expériences sur l'irritation de la cornée et des cartilages. Peut-être des changements dans la chaleur spécifique interviennent-115 également dans ce travail , fait dont l'importance, dans l'endosmose et l'exosmose, a été démontrée par M. Béclard. Ce n‘est qu'avec réserve que nous voudrions appliquer à l'exsudation les résultats intéressants des travaux récents sur la perméabilité des membranes, tels que ce fait démontré par Bruecke, que la mem- brane de l'œuflaisse d'abord passer les sels, et plus tard seulement l'albumine, et cet autre observé par Graham, que l'albumine, privée de sels, devient, par cela même, huit fois plus dilfusible qu'auparavant. con 1 " d'a exs Tous ces faits physiques sont, à coup sûr, fort intéressants, mais rien ne démontre que la partie liquide mc du sang qui fournit les matériaux essentiels de l'exsudation se sépare en parties salines et libro-albumineuses , et laisse passer les premières d'abord et les autres ensuite. L'augmentation de la porosité de la membrane des vaisseaux capillaires peut faciliter le passage des liquides sans exercer elle-même cette élection qu'offre la membrane de l'œuf. L'analyse des exsudations les plus séreuses y démontre, d'après Lehmann, les mêmes éléments que dans la partie liquide du sang, avec augmentation seulement del'eau, et nous savons, d'un autre côté, qu'un liquide exsudé abondant peut renfermer beaucoup de substances coagulables sans qu'il y ait eu de travail phlegmasique. L'hydropisie fibrineuse en fait foi. L'exsudation inflammatoire se compose donc de la partie liquide du sang, modifiée d'abord par les changements locaux du sang tout à fait physiques : forte pression, spissatz'on, augmentation des glo- bules, diminution du plasma, changement de la chaleur. C'est en vertu de toutes ces modifications que ce liquide ne devient plus apte à la nutrition; car, en dernière analyse, le liquide nutritif n'est également autre chose que le liquide intercellulaire du sang transsudé, mais sans l'intervention des conditions de trouble que nous venons d'énumérer. Outrel'influence de ces changements dans le sang, la nutrition est encore détériorée par l'altération qui survient également dans le parenchyme. Il n'y a plus attraction des spécifique des tissus; le liquide exsudé ne se résorbe plus que partiellement et lentement: au lieu de constituer un liquide tout à fait transitoire, comme dans la nutrition, l'exsudation phlegmilsique se developpe pour son propre compte, sa partie coagulable se réunit sou 5 forme pelliculaire ou gélatiui- forme; ou bien encore il se fait dans ce liquide un travail de développement cellulaire; des vaisseaux A nouveaux, connue nous le verrons plus tard, peuv ent meme pénétrer ces masses . exs udées. Les modifications, enfin, des éléments de l a partie enilammée contribuent, pour leur part à imprimer des chm- , ( --..-.-.,. œz; 5J.4_: _,{ w'vo';;-….‘Ç‘. wï .Î,,_. 4… +../ "...la….[ -‘y …-«, ‘" Jæ;ÿ-4:'w: : . -+-…+u.»+u ,u‘î‘u,u‘f ; w _..…;‘Ç‘-. : -Ÿdlv+-Jz ., ts+-Âb+-Æls+d.s+ (lu< ôtr poi 0Pl dal bou |