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Show Ia,gflfl e nes …iesêtr O…. sai 0 de 30ns art les pi iii' illimeti‘e ,"da de 0" 1/8 et 0e 10 1/ re ent res ind des_ le cyl J s cel _ e me . m,emblme qu l81-rrCllr …pi-1it sur les mê memeUSS!. conSld et 0" 1/5 ' die =' ein att qui' lenur lai ' ' sai' ent ' ns' biu‘ sqiies" oil… '' ata' tio ' "" des'' dil * pas. a.‘ beaucoup « _ , w…… _ a . , p rès . ., _ _ ' as . . toutefois, n c ca }iilhi < ies , l des- v 'ill.‘; , -- C‘tth ldllOl ""fî:îsaxî «"sÔAAA "- . . > . ‘ ,\NATUMHÇ l',\THOLOGlQUE GENERALE. ct -u-quait outre l'inégalité, un aspe » plus tof. > beaucoup _ ( ! re 3 on mais i0 cahb «Tres »lUs . " ‘ - dun rait pas confondre avec les res norman x état qu'il ne faud llai ' capi des i celu C [ que ux \ ule >edU ond ‘al> tuoux ou / - \ dilatations brusques. et blancs, irregulierement mêlés, rouges sanguins alobules de os.… .,( : Le contenu de ces vaisseaux se comp sations ré' recouvrait ces arbori ' . .p _ . La fausse membr anequt . 7 tous étroitement accolés, mais non alterés. un offrant qm mars , abord d lisse it nce transparente qui p araissa . , . . sentait, sons le mieroscoi)e, une substa et , pus de es bal rm ait une quantite congderable de glo renfe elle rait: déclii la 1'0n lors(p laire aspect tibril sous-cutané voisin. vaisseaux proven ant du tissu cellulaire ques quel par er laris vascu se à it ença comm résultat, que si grand nombr e defois , et toujours avec le même Nous avons répété ces observations un nsité. servir de type, sauf les modifications d'inte la description que nous venons d e donner peut ! gmasiées chez et at tout a fait analogue dans les parties phle No préju vienn Tout le pr I im Du reste, nous constatons souvent ' cas d'inflambeau dess in de cet état, recueilli dans un l'homme. Nous possédons, entre autres, un fort inet rénal, et un autre dessm dune membrane synovmle mation de la membrane muqueuse du bass - individu atteint de rhumatisme articulaire aigu. Les dila enflammée, couverte de pus, observée chez un faudrait pas vues det niner en pareille circonstance. Il ne lotions cylindriques sont celles que nous avons cependant regarder COS ….é gularités de calibre comme type del'étatde l:. vascularit€ dans ] inflammation ammation, chez l'homme, est, intense qui a passé a l'état de xsudation. Le fait le plus général dans l'infl s sont gorgés des parties solides du sang, au contraire celui-ci. que les vaisseaux des parties})lilegmasiée de ou de dilatation uniforme et que les petits vaisseaux et les capillaires ollr ont plutôt un état de plénitu être rare. Nous sommes très disposé, que ces inégalités partielles, dont l'existence, cependant, est loin (I' rité par conséquent, à ne point admettre des modifications constantes et pathognomoniques de la vascu13 ' l *ËRRR .fiñAAAAAA ' ' 7' estfi prod vantt doH subi - peu enfir leum cuci Lt que\ dans l'inflannnation. l'inflammation, Nous passons sous silence les changements dans la composition chimique du sang dans la ré les résultats des travaux modernes sur ce sujet se trouvant aujourd'hui reproduits partout, et d'ailleurs chez nous n'avons pas, a cet égard, de travaux qui nous soient propres. enco parÏ L'influence du système nerveux sur l'inflammation a été considérée comme capitale. C'est ainsi que stagi Henlc admet, dans l'état inflammatoire, une paralysie des nerfs vasculaires avec antagonisme entre tem; ceux-ci et les nerfs sensitifs. D'après Stilling, il y aurait, au contraire, prédominance de l'action réflexe dfià des nerfs sensitifs sur les nerfs vasculaires. on n Loin de nous la pensée de nier l'influence possible du système nerveux sur l'inflammation. Toutefois il nous paraît qu'on l'a singulièrement exagérée. Pour étudier expérimentalementlaquestion, nous avons nutr enlevé le sacrum a des grenouilles , puis nous avons coupé tous les troncs nerveux, au nombre de quatre, vesH qui se rendent au membre inférieur, lequel était alors complétement paralysé. En étudiant alors compa- Féch inuq L' rativement la circulation et l'irritation inflammatoire dans ces membres, privés de tout mouvement, et dans ceux qui n'avaient subi aucune mutilation, nous n'avons constaté aucune différence; bien au con-traire, la section de tous les nerfs rendait ces études plus faciles. Je citerai ici une autre observation, qui rend compte de la cause toute mécanique de la douleur dans pour l‘inflammation. Dans les plaies qui résultent de la perte de substance de la peau , j'ai vu plusieurs fois téfle des nerfs entourés d'une vascularité tellement exagérée, qu'il devait en résulter une compression des fibres larn primitives du nerf. Nous de la de91 les troubles circulatoires, dans l'inflannnation, forment donc un groupe à peine bien délimité de enfla plieiioiiienes locaux, quant au calibre, a la densité du contenu, et àl'alt1‘aution entre les éléments histo= du L logiques au dedans et en dehors des vaisseaux, avec combustion modifiée et augmentée, mais en aucune son façon une espèce pathologique distincte. laqu aflec dans 10… _ ‘....- .»4 ; y, ,'- . * v<t"l‘«. :n}îf _ : ' w -,v ; … .,. *'+"A!Α u,u‘ff…. ‘ ‘4-.,- -r*»_ 4 ., * -"1 4 .,… 4- . 1_' uyæ ‘ . A. ..4-4.. "‘la -,., .. ‘.,_,=4 _J \,v‘ .y< ' g-< ,,-. ,,.._J_u.?- -;_\;+-g ça.-'.. ». |