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Show OGIQUE GÉNÉRALE. .\N.\'l‘0)llE P.\Tll0l. . ent dans leur nque. nt souv r; phénomènes qui non- seulement ma leu dou la et r leu que ses cha la , la ravail phlegmamque bien plus -' tumeur a nos yeux les result ats du t "" diflus " .AAAAAAA "°"flfifi .7°°a_ .aA‘AAAM"; I sont ensemble, mais, avant tout, colon éléments constitutifs. que et asthénique, comme prin- bilité des états sthéni ssi mi -ad non la de t lian plus é Nous avons parl r ici contre ces idées dans les Nous ne devons pas … oins proteste €. énii ypér l'li de on cati sifi clas cipes de la méthode antiphlogistique dans le nier la grande utilité de loir vou Sans l'inflammation. sur doctrines encore aujourd'hui générale, de cep endant la tendance, traitement des phlegmasies, nous regardons . prononcé, comme beaucoup tr0p le mot inflam mation est penser toujours aux antipblogistiques lorsque t le résultat de causes bien nuisible. L'inflammatm n étan absolue, et, par cela même, 0 omme souvent que curatif, lorsque n0u5 est bien plus souvent palli atif diverses, le traitement que nous lui opposons ilitant, pendant is rhagh quelquefo déb et a une certaine p ériode plutôt stimulant. Dans d'autres toute sa durée , d'autres fois débilitant d'abord, ' . . . le seul admissible. Il y a e n[in des inflamma tions mrconstances, le traitement tonique ser a d'emblée ique ou scrofuleux par exemple, sous celle du spécifiques, nées sous l'influence d'un é tat général, syphilit souvent être expectant, n'attaquons que les désordres locaux. Il devra de la inéga tacfle àla f La sfluée etcac l'hypé rouge seule par 52 nei it est complexe; dans ces etats, les moyens miasme de la fièvre intermittente, dans lesquelles le traitei [le que les antiphlog15hques pr0prement généraux, spécifiques, devront être mis en usage, en même temps ir itis syphilitique, par les antiphlone guérira pas, par exemple, une arthrite scrofuleuse, une croit] dits. On et peut-être mcomplotement, 51 l on ne met gistiques seuls; ou ne les guénra non plus que lentement, nt plus vite qu'on saura en usage que les préparations iodées et mercurielles; mais on réussira d'auta uniquement une vaine curiosité mieux combiner ces deux éléments. On voit que ce n'est pas pour satisfaire mation, mais que la praque nous cherchons à mettre plus de rationalité dans les doctrines sur l'inflam es. tique journalière de notre art pourra tirer un excellent parti de ces recherch locaux qui Il est donc nécessaire d'avoir constamment présent à l'esprit, que les mêmes phénomènes consliluvnt l'inflammation peuvent «>‘h'e la 71t(llltfl?Sl(llt0ü de causes générales bien différentes entre elles. Nous arrivons à définir ce que nous entendons par état phlegmasique. L'inflammation , comme phéno- propo rnaÈ inflan iiaturi ralen1 indun logiqu sen1en caract mène local, est constituée par un ali]ux sanguin, par une hypérémie, avec contraction d'un certain nombre de petites artères de la partie enflammée qui bientôt est suivie d'une dilatation de ces mêmes profln vaisseaux. Une modification dans l'attraction qui existe entre le sang, les parois vasculaires et les parties extravasculaires doit y concourir, sinon y jouer le rôle initial (Virehow). Par suite de la gêne et du ralentissement de la circulation, qui résultent de la contraction artérielle primordiale, le sang a distendu Ifa sang… les capillaires et les radicules veineuses , et, pour peu que cet état se prolonge, la dilatation consécutive passei ne fait qu'augmenter la gêne circulatoire. inflan1 ausä La Alors se présente un second élément essentiel, l'exsudation. Le liquide exsudé est d'abord semblable dansl Excel… de la portion liquide du sang et au liquide nutritif, mais il en diffère de plus en plus, à mesure phcaU que le travail phlegmasique se prolonge. Ainsi, il peut être résorbé sans traces, et, s'il s'organise, ses elements nejsont susceptibles que d'une organisation tout a fait inférieure, qui ne va pas au delà de la appre presä formation d'un tissu fibroïde, fibrillaire, cicatriciel, connectif (tissu cellulaire des anatomistes). capflh L exsudahon peut être parenchymateuse ou interstitielle, soit infiltrée, soit cavitaire. nnfisr . Dans lexsudahon parenchymateuse, les éléments histologiques subissent une espèce de destruction petüs intripseque, ordinairement granulo-graisseuse. Toutefois la nature graisseuse de la matière qui infiltre parlï hypén . , cependant, on regne un travail phlegmasique dans lequel la - . _ ] , exsurlat10n . « ' : n'a n circulatio . _ pas subi des Meubles p10f0nds, peut devenir hypertrophique: c'est ainsi que du tiSsu osseux nouveau se forme par suite de la Périostite non w . … - la valeur ‘ ' Pour mieux fair e compieiid ie des caracteres anatomiques de l'inflammation que nous venons hibue de ll]enllUnllel', NOUS ]'eliel‘Ûll5 d" . db0i‘d Un tît)ll p (l 7 Ü,ll SUI‘ les *' mantf€st . ' 5 locales al10n.‘ L'i l‘t)ll"Clll‘ infla m ' (… ir…" (]:- -* .- | ' ‘ ' » v_ . ensou que dé et (] e% 'Ôlélle, lu] " 7 l C‘ ]] es quelles se pi e:entent a lobservahon clinique, et dont . - le ieflet . ' , s sont les altér ation:\ anatomique a‘ la fOis et la Cause. -. UHB\T De réunie ‘ ‘ . … ; …"… …0 "…… …… l attention. lulle dépend de l'accumulation des- globules rouves : parla , quethiefois Lav . . . ' . - dans ' fillS (‘s vaissea ux' capillaiies, les petites arteres et dans les veines et sa teinte ., ., , 1,4 "A'" '.4<; ).J .. '>f<' "14. W: ÂW.-' "1 u..., vu.-,,,, 'W‘"' ;_,__,üf:_;ü w: -.-, 4*… " "*" .‘..__,î‘. «:_-311}… L! «un.. " +J)u 4-4 ?; "' - . _, ". 1" 'Af4.‘34-IA:4.-AÀ,+.À 4,_ |