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Show INTRODUCTION. étendue et Après avoir quitté une clientèle 22 "‘A AA .\ _ AAAA ÀAÂÔfl;« AAA/\ HHÂ ;« ‘W-‘ favoriser mes travaux. pend aut douze ans, n'ont cessé de lacunes dans mes connais_ et le sentiment des e cut ne le d q parce pratique, iustrnctive au point de vue loppement des maladies, sur 18 …" ure et le déve recherches des vers sauces pathogèuiques me pon ssaient tue ces nombr eux . -- ant dans le monde de la scieu ce : ] - e1ll - meut b1em - ' 1parfinte r -- ai- trouve"a Pari' s un account5 .] …' 1 P ose. (1 ' approcher du but que je m'ét 5 ne rmis e pe tr -ê ut pe t on ts m' en " em encrmrag edh1er, Larrey, reconna issance 21 MM. Andral, Cruv ma ment ière icul part tout ici Je dois exprimer 185, lavemr de lécole des savants pl us _]6U1 eau, qu'à Velp et ainsi ert Rob rd. Rico r, Lenoir, Louis, Baye le Verneuil, auxquels me lie la doub d, Broca, Follin, Leudet, Ch. Robin et - de Paris, MM. tÎl. Bernar scientifiques tout analogues. sympathie de l'amitié personnelle et de teudau ces communications ce féconde d'i nstruction dans les J'ai enfin trouxé des matériaux pré cieux et une sour d'observation. chirurgie, et médicale et les discussions des Sociétés anatomique, de biol ogie, de ". ' r , . ‘ , . ; hôpital, dans les sa Iles duduell (" constamPlace aup>urd [un a la tête du seruce medical d'un grand le er à recueillir des faits pendant tout ment près de cent malades, je suis heureux de pouvoir 0 ontinu a même de toujours vérifier et de contrôler les temps de la publication de cette conne, et d'être ainsi qu'ils se de Paris par celle des faits nouveaux à mesure résultats de mon observation dans les hôpitaux produiront sous mes yeux. dans M. l-B. Baillière Mes etl‘orts auraient été en partie perdus, si je n'avais eu le bonheur de trouver scientifiques les un éditeur aussi entrepreuant qu'éclairé, don tle zèle et le mérite pour les publications M. J.-B. Baillière voudra mieux faites et les plus ditficilcs de notre temps sont au-dessus de tout éloge. bien me permettre de lui exprimer ici publiquement toute ma gratitude. Lorsque j'ai commencé a m'occuper d'études iconographiques en pathologie, j'ai en le bonheur de rencontrer un jeune artiste d'un rare talent, M. P. Lackerbauer. Des années se sont écoulées pendant lesquelles nous avons travaillé ensemble. Dire que de plus en plus j'ai été satisfait de la beauté de son travail et de son inaltérable dévouement, c'est reconnaître la part active qu'il a eue dans l'exécution de No anale sives. nous gêné-n décrh ' cet ouvrage. Plein de reconnaissance pour ceux qui m'ont aidé de leur concours, ayant foi dans l'avenir de l'anatomie pathologique, je termine cette introduction, en la recommandant, ainsi que toute mon oeuvre, à L'l la bienveillance du public médical. logitp régul vati01 l'esto Zürich , decembre 185/l. à l'ét. des a H. LEBERT. gland Le légèr. calib1 Au vaiss< appa1 l'osci L'] prolo ges… fréqu l'hyp . ,- 'y< : W ., -, …- 0--1,u4‘_1_n 4 «= ' « « w " ' ,.. 'Jl‘_ :.y -).\,4 " ".«4,\, + 'i 4. 'r'_+‘« J " *-4;h+ 4. d,hçqfl -,..sçdh ...‘a--' "' ‘ 4-. __n.g+_., _ |