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Show l'lifltillli5 lili l..\.\‘.\'l'il]lllf l‘.\'l‘lltll.t)tilQl ‘l-Z. ère plus complète information qu'un lischotf est connu éveloppement des .rmal, il était par as-nous la lecture les anomalies en rtie pour la réali- 'ent quelque excès armonie complète matomiques qu'ils : M. le professeur Il. envisagées avec à M. Cruveilhier, peut-être les ren- ilosophique, dont e plus grands ser- " d'établir toutes ses doctrines pathologiques sur les sciences naturelles. Malgr é la défaveur qu'une misé- rable contrefaçon de ses cours, restée anonyme, a pu jeter sur les principes de ce grand clinicien, Fchoenlein n'a pas moins le mérite d'avoir le premier favorisé les applications de la physio logie, et surtout de la microscopie et de la chimie organique, à la pathologie. Comme l'étude la plus appro fondie de l'anatomie pathologique est principalement sortie de ces applications, nous devons le regar der comme le fondateur de l'école qui suit dans ses investigations la méthode des naturalistes, ce qui ne l'a pas empêché de régler sa thérapeutique sur les meilleures notions puisées dans l'expérience des siècles, et d'éviter ainsi le nihilisme ignorant et prétentieux de quelques écoles du jour. Les études microscopiques et chimiques en anatomie pathologique sont de date récente. Nonobstant les travaux de Leeuvvenhoeck et de L\[alpighi, c'est a peine depuis le commencement de ce siècle que l'emploi du microscope s'est généralisé parmi les physiologistes. Nous pouvons en dire autant des re- cherches chimico-physiologiques. L'introduction de ces méthodes, surtout du microscope, dans les études anatomo-pathologiqnes, a une portée bien autrement grande que celle d'un simple perfection nement de nos sens. On peut y voir le besoin de l'intelligence scientifique d'aller au delà de l'examen des caractères tout extérieurs et grossiers dans l'étude des produits morbides, pour rechercher leur composition molé- culaire ainsi que leur mode de développement. Aussi n'avons-nous jamais entendu sans sourire prononcer le nom de micrmp‘up/tes, sous lequel on a voulu désigner, avec un blâme malicieux, les hommes pénétrés de cette nouvelle tendance. ()n a cru cacher sous le dédain la paresse et l'impéritie dans l'étude de méthodes que tout médecin doit connaître. Nous toncbons au moment où l'indifférence que les esprits arriérés affectent encore pour ces recherches appartiendra à l'histoire. Nous pouvons donc, sans discus- l'histoire de l'ana- xs nous trouvons. sion ultérieure, faire un court exposé de quelques-uns des progrès récents sur cette matière. ll est curieux de voir que la découverte de Harvey .il), qui avait déjà inspiré la plupart des recher- ches microscopiques de Leeuvvenhoeck et de Malpighi, est devenue le point de départ aussi de l'étude ions par quelques physiologique de l'anatomie morbide. En 1826, Kaltenbrunner (2) publie son Mémoire sur l'état des allons parler sont matomie patholo- ment donné à son ‘a ces progrès dans ipide sur le déve- vaisseaux dans l'inflammation, inspiré en partie par les travaux antérieurs de Wilson Philipps, de Thompson et de Hastings. Puis, en 1835, paraissent, dans cette direction, les recherches d'lînnnert (21) et de Gluge {fi} sur le même sujet. Bientôt I\liescher (")) publie un travail sur l'intiannnation des os fait avec beaucoup de soin. Abandonnant la route déjà battue de l'étude des altérati<ms circulatoires dans les membranes transparentes, il aborde un des sujets les plus difficiles de la pathologie, en com-- binant l'expérimentation avec l'anatomie pathologique ordinaire et les recherches microscopiques. Les trois derniers ouvrages se ressentent de l'influence du grand pl1vsiologiste .l. Müller, qui fait exécuter iagination les plus des travaux sérieux par ses élèves avant de descendre lui-même dans l'arène. En 1837, les recherches de Giiterbock (6) sur le pus et les granulations sont imprimées a Berlin au moment où Donné (7) fait connaître à Paris les résultats de ses observations sur le mucus et la matière des divers écoulements ant pas été tout a génito-urinaires de la femme. Valentin (8), qui avait fondé son Répertoire, insère dans ce recueil une …e à donner une série de recherches sur les exsudations liquides et solides, sur divers produits accidentels, insiste avec .ie de la nature a énergie sur l'utilité de l'application du microscope et de la chimie a l'anatomie médicale, et ne cesse de travailler dans cette direction. levons citer avant ysiques exacts des :ore d'avoir tenté erbuch der Physiologie, 'n, traduit de l'allemand IV |‘. l"loutens, [lis/otre r/w /n r/w'woul‘Pr/e de {ri/"l'i'r‘u/atimz du au…/. Paris. lSñ'i. (2 /;‘.L'pc1'[utudu circa slaluuz stinyizi:2is el L'usorwu [il [ti/Mummt[uit/f. Stuttgard, 1826, ill-Ji, tt\(‘(‘ 9 plilllt'lll'5 |ifllU!-"'"P‘liées " CUl0flffs' _3\ Illzsrrt'v/[Uiirs ([UŒCÏHH/ mt‘t'i'0St‘tipit'iP [u pm'lihus o…]…(liz/«n [iul/m [vl/, […e/{…la Di»… 1. inaugur,î, llt‘t‘t)l.tll, lh‘îîb, iii-S de M page:, avec une planche. ': (I/n‘l't'l‘H![")/lt'a' uwuzu/læ m[t‘i'riSt‘upicæ [[la «[…/* priwz'/lru dix-u… fu [u/lummw‘z'ouc spchntrs {Dissert. iiittttuttt‘,i. Berolinl'. 1335. [i) [le tu/lauumztiwze oss[uuz corzunque llll(lftltlt" (/Htc1'tlff. llerulini. l«\‘Çlti. {tir l)ep1u‘c cf y1':lnultlliuuê. Berolini_ 1337. ,7‘/ [tee/ze: c/ws m1'crosro,;iqucs sur la nature (les mucus. etc. Paris, 1837. C) [t'r‘pei‘lm‘iuni /ür ;lun/umz'e uml I‘/1ysioloyie, vol. 1, Berlin, 1830: vol. ll-\1ll, llci'n. uml S.-tiallen, lSZEÎ-'ifl. \\\T. r.\rnot.« t" tht‘.. |