| OCR Text |
Show 676 LE JOURNAL pas accommode TAuteur; il a f$G l'arr£tef ou il falloir. Voila tout le premier chapitre fidelemenc" extrait ; il fuffitpourfaire connoitrelecarafle-re de cet Ouvrage ; & nous nous croyons dif. pe.ifez d'dntrer dans aucun detail a regard des autres chapitres. Le Le&eur n'aura pas de peine a fe conrenter de deux ou trois mots que nous avons feulement a en dire. Le fecond chapitre & le troifieme contien-nent plufieurs preuves Phyfiques dont FAu-teur fe fert pour niontrer generalement que l'Ame raifonnable ne f^auroit etre touteen-tiere dans chaque partie du Corps. On voit dans toutes ces preuves le meme tour, la meme clarte d'idees, la meme juflefle derai-fonnement, & dans la plupart la merae force, que dans ce que nous avons deja rapporte, C'eft dans le quatrieme chapitre quenotre Auteur a ramafle los fufFrages d'une foulede S^avans , Anciens , Modernes ; Hebreux, Grecs, Latins, Allemans, Francois, &c.Ra-bins, Peres de TEglife, Tlieologiens, Phi-lofophes, Poetes, &c. qui malgre les diffe-rens fentimens qu'ils ont fur le fiege de FA-me, s'accordenc tous a condamner direftc-ment, ou indiredement l'opinion qui la ^ coute entiere dans touc le Corps3& toute entiere dans chaque partie du Corps. Quelques-unsde ces Auteurs nient formellement que cetre opinion fe trouve dans Ariftote. Dans les deux autres chapitres M |
