OCR Text |
Show D ES SC A VA N S. Gîf La refpirâtiôn s'altère aifément; & de Ta flfênïe manière qu'une liorloge fe dérègle ,fi les roues né font pas bien engrainées", ou fi quelque défaut interrompt le commerce de tant de parties qui agifTent les unes par.les autre?] aufïl h refpiration s'afïbiblit-elle, fî lecœirï, les poumons, les efprits, les nerfs, & tant: d'autres parties qui y concourent, viennent à recevoir les moindre? atteintes. J * L'Auteur, après quelques autres réflexions^ pafîè a l'explication d^s maladies qui a: ta* qtieiit la poitrine. Il raifonne là-.-feflus d'une manière preci-fe, & n'amené rien d'étranger à (on flijér. Il; fait néanmoins quelquefois des digreiîions, mi\s elle*- ne fervent qu'à rendre ihs id^es plus ienfibles. il parle, par exemple, de la /implicite & de la compofîtion des fels ; & ce qu'il en dit fait mieux connoîrre la différence 3 Taftion &c les effets des (-As. Il entre dans le détail des caufes du mouvement du cœur, & ce dérail éclaircit certains endroits du Livre, -qui fins cela pourfoierit être obf-cun. Au reffe ? l'Auteur preferit ; n la fin de cSaque chapi:re.? tout ce qu'il favt faire pour guérir la maladie dont il eft'^ai'ïe d'ans ce ckoare. Les teglès qu'il driine Ir-d'eîTu^ font accompagnées de toutes les p épurions que demandant l'es diflerencer cirbbnftancçs de la malade. O^ fera peiit-ctre furpris qu'il ordonne quelquefois de ne faire ceuains re-'qu'au dedin de- la Eûne'; comme (x D d 4 |