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Show D E S S C A V A N 3. 7ft jf( II fait voir que fur les autres points da Religion fur lefjuels M. Hokfton fonde fes ^proches , les Grecs penfent précisément les Latins 5 & condamnent de mem-e co ]cs opinions des Proteftans. Si M. Hokflon oe.fe contente pas de ce que B&llarïmn & Arcudius ont écrit pour prouver la même c!io(e, il le renvoyé au Livre que Simeon de Theflalonique a tait depuis peu contre les Herefîes, aux réponiès de Jcremie Patriarche de Conftantinople adreilées aux Théologiens deTubinge, aux Commentaires de Gabriel Severe fur les Sacremens , à TAntirrethique deSyrigus, aux Livres deCoreiTius3aux Ouvrages de Grégoire Protofyncelle de Chio-: il le renvoyé même à (on prétendu Sxint Cyrille Lucar, qui avant qu'il eût mérité la c*rds, enfeignoit les mêmes choies que M. Hokfton a cru voir dans les Prénotions my-ftagogiques. Il joint à toutes ces autorkez celle de Dofithée Patriarche dcjerufalem, & celle de Callinique Patriarche de Confianti-nople5 & confeille charitablement à fon Ad-verfaire de fe mettre les fers aux pieds & aux mains avant que d'achever de lire cet endroit de fa Keponfe, de peur que par defefpoir il Uéluy prenne envie de fe pendre-à quelque arbre, ou de fe précipite* dans le Bofphore-i°* M. Papadopoli montre qu'il y a-bien delà différence entre foumettre t'Eglife Grecque au Pape s & enfeigner que cette Egh'e y a toujours été & y cft encore foumife, gW |