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Show ^Si VK ]'O U R N AL )5 Eveques.-& te D.o&eurs n'a été confulté „ fur tant cie différentes matières que notre 3, faint Db<£hur. Les perfonnes de la première 3, qualité de l'un & de l'autre fexe n'avoient 3, pas plutcrpenfe à virre félon Dieu, qu'eî->5 les avoient recours à faint Jérôme , pour 3, apprendre de luy le mépris du monde & ^ la minière de vivre conformément à TE-3, vàngile. Les veuves des Nobles & des gens yy de Cour, les filles des plus illuftres famil-i les de l'Empire luy demandoient fanscelfc 5, des règles de perfedion ; les perfonnes >v mariées, des préceptes pourl'éducation des ^ enfans ; lespenitens, des remèdes à leurs 5J playes 5 & les juftes, de^ moyens &: des mo-„, tifs deperfeverance dans les voyes delàgra-5> ce. S'élevoit-il quelque nouvelle Herefîe 5, dans les Provinces & dans Rome mëme3auf-w fî-tôt les Prêtres & les Fidèles en donnoient >5 avis à S. Jérôme, & le prioient d'empê-^ cher que Terreur ne fifl: du progrés, &ne *„ corrompît dans les {impies la pureté de la y» foy : enfin ce grand Docteur a été dans ,v le quatrième fîecle l'Oracle de toute TE-3> glife 5 & comme un nouveau Salomon ad-^ miré &-.confuké des plus fages hommes de „ (on temps. Ceft ce qu'on prouve par des pièces originales, & par des Extraits de plufïeurs Lettres du même Saint. Le huitième Livre contient l'Hiftoire uô k defunion fameufe de Rufin & de S. Jero* on y. voit l'origine & les progrès «• |