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Show $16 LE JOURNAL ceux que Socrate rapporte dans Je fécond Akibiade de PJaron , & qui Signifient ; Grand Dieu , donne-nous les biens que nous te demandons , donne-nous ceux* mêmes que nous ne te demandons point j mais éloigne de nous les maux que l'impruden* ce de nos prières pourvoit te demander, Cette prière exprimée en deux vers Grecs, fe trouve dans l'Aochologie > Se fans nom d'Auteur. De quelque Poëce qu'ils fbient, ils ne font certainement point d'Homère. Nous devons auffi dire un mot fur la manière dont M.Orfi rapporte beaucoup de paf-fâges des Auteurs Grecs, II les cire en Latin ; ce qui nous paroîc défcâueux 5 en ce que, hors la Langue originale, le Latin du Tradudeur n'eft pas plus authentique en foy que l'Italien. Il devoir donc les traduire en û Langue naturelle qu'il parle fi élégamment, puis qu'il ne vouloit pas les citer en Grec, quoy qu'il paroifle le fçavoir fort bien. JOH. CONRADI BECKERÎ PHIL. ET Med. Doûoris 3 &c. Paradoxum Medico-légale, de fubmerfbrum morte fine pora aqua, aliquot cadaverum fedionibus detc-£tum, & ê principiis Mecbanicis illuflra* tu m : cui adjicitur dodeca^ Obfervationum circumftantii*- curâque rarifîïmarum. Gief-feHaflbrumTypisHenningi Mulleri. I7°4-f C'eft-à dire : Paradoxe de Médecin* (S ât |