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Show D E S S C A V A N S, 4 ¦nenf-aprcs, quelques-uns des-Mcâexttens firerit entendre qu il y avoir un complot entre k Roy 8c (on Armée contrôle Parlement. La pre-pofîticn en fut faite en la Chambre des Communes, & quoy qu'il n'y eût -aucune preuve k^itime > les j"ugcs prononcèrent fur le champ, qu'il y avoir un déliera de faire venir l'Armée pour forcer le Parlement. Xe Roy pro-pofe de Hcentier les deux Armées, & le dif-pofe d'aller en Ecoile pour l'ftâe de"Pacification des deux Royaumes. Les deux Chambres craignant que h le Roy fe trouvoit à la tête de (on Armée , il ne voudrait jamais confentir qu'elle fût ikentiôe > fuppîicrent S. M. de différer fon voyageio Ecoffe, juf-qu'à ce cjue î'Aâc de Pacification fut encio sement-conclu , ks Arraocs licenciée^ & que Ton eue paflê les autres Ades neceflaires. Le Roy partit de Londres pour i'Ecoiïe au milieu du mois d'Août , & laifla les deux Cfiambres feantes à Weftininiier. On voit dans le quatrième Livre fon arri-vce à York. Quoy que les deux Armées euf-font été congédiées.; la Chambre baffe ne laiiFe pas de demander une garde pour la fureté du Parlement* On y propoie d'exclure 1er Evoques de leur feance au Parlement, fous prétexte qu£ hs Charges temporelles & les ljpirituelles font incompatibles. Quelques Tu-rifconfultes appuyent cetee propoiîtion, comme étant conforme à la Loy & à la Coutume, Notre Auteur fe déclare comr'cux i |