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Show p* LE JOURNAL pour cette découverte, de grande fecoursde FAnalyfe chymique, qu'il croit tres-infidele;, ce qu'il a de commun avec bien d'autres. Il n*a pas meilleure opinion de la fîgnaturc, c'eft-à-dire, de la reflemblance qui fe trouve entre certains medicameni<, & certaines maladies , ou certaines parties du corps. Il ne s'accommode ni de l'odeur, ni de la couleur, ni même de la faveur, dont les témoignages luy paroiflent tres-fufpe&s en cette occalîon. A quoy-veut-il donc s'en tenir ? Il prend le parti de remonter jufqu'aux premiers principes ; & fur cela il nous répète ce qu'il nous a- déjà débité dans fa première Partie, touchant la Lumière >qu'jlcori(idere comme Paine, de /univers, & dont il place le trône clans le Soleil ; touchant les idées, qui, félon luy, font les limites é, Jes fentiers que forment lesparti-cule s des corps par leur différentetijfure.au îr^* "vers de/quels la lumière efi oblig ée de fe mouvoir , touchant Y&ther , eu cette étendue in* comprehenfîble qui ernbraffe tous les corpsr d'où il fe guindé juftju'à la Divinité, & nous parle de la création du monde , peur fe i'a' battre en fuite fur les életnens des Galeniftes? des Paracelfiftes, des Cartt/ïens, & de Van* Helmont, qui n'adhiet que Veau pour principe. ^Norre Auteur eft aflez de fon avis, pourvu qu'on veuille bien aflbcier à l'eau, la terre , le fel , le foufre, après quoy il met un &c£tera, qui laîfle l'afTortiment fort• in-d II s'attache enfuite àdévelopcrla |