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Show *fe LE JOURNAL <ies pauvres ; & par le témoignage de l'Hj. fionen anonyme de Dagoberr, qui allure qu'avant ce Prince, c'efl-à-dire du ,emps de Clo-taire & de Tes predecefleurs, l'EghfedeS. Denis n'étoit qu'une Chapelle feculiere à la nomination de l'Evêque de Paris. Il n'eû pas moins faux, continue notre Auteur, que fous Clotaire II. la coutume fût de ne faire des legs a l'Eglife de S. Denis que/*r uu très j témoin l'Ordonnance de ce Prince, produite par Dom Mabillon même, où Clotaire confirme nommément le teftament d'un Marchand nommé Jean, qui avoir laiiîé uns partie de fes bkôs à l'Eglife de S. Denis. Le i ère Germon dans fon autre Ouvrage, s'étok déjà appliqué à montrer que les Auteurs àes trois Recueils qui ont été fait' des anciens Titre, de S. Denis, s'accordent affez mal en-femble. Il avoir objedé que l'Anonyme payant trouvé de fon temps qu'un petit nombre d A des écrits fou les Rois Mérovingiens, on ne concevoir pas par quel moyen le Père Doubjet en avoir découvert tanr d'autres dans les mêmes Archives, ni comment le Père Ma-billon en avoit encore trouvé un plus grand Bombre. Ce Père a réonndu que l'Anonyme & Doublet, foit par négligence, foit par qoelqu autre raifon, n'avoiem pas fait une recherche afTez exade. Notre Auteur combat cette reponte par divers réflexions, & fou» tient que ces deux Auteurs-n'ont manqué ni *e diJJ§en€e «i 4e bonne volonté, il rsœaf* |