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Show DES SCAVANS. 5 fon Livre de l'ancienne Médecine, donc il cire le fameux paflage , touchant Varner > le foie, l* doux^lyacide , i$c. tant rebattu par fe5 Confrères les Philofophes Spagiriques*. Au regard des principes mechaniques 3 il eft d'aflez bon efprit pour ne les pas profcrire ? & il veut bien y avoir recours y pour expliquer plus clairement les différentes propriétés des élcmens chymiques. Il y a beaucoup d'apparence que ces Prolégomènes ont épuifé la meilleure partie des raifonnemens phyfî-ques de l'Auteur , puifque Ton ne remarque pas qu'il en fafle grand ufage , par rapport aux opérations de Chymie dont il traite en-fuite : plus fage en cela que quelques-uns de nos Chymifles modernes, qui fçavent fî pea fe contenir fur cet article, où ils réunifient d'ordinaire affez mal* M. Jungken , dans la féconde Partie de (on Ouvrage , tâche d'appliquer à la guéri-fon des diverfes maladies, non feulement les differens remèdes que luy ont fournis les ope-rations chymiques, mais aufïï plufîeurs autres qui ne font point des dépendances de cet Arr3 & dont il fait diverfes combinaisons avec les premiers. Il fuit icy à peu prés le même ordre qu'il s'eft propofé dans la première Partie ; c'eft à-dire qu'il commence par des Pro » legomenes , où il nous promet d'expliquer phyfiquement les facultez & les vertus des me-oicamens, & leur manière d'opérer dans nos «W II ae juge pas cjus Ton puifle |